10 films de science-fiction à (re)voir sur Amazon Prime

La Rédaction | 1 mai 2020 - MAJ : 09/03/2021 15:58
La Rédaction | 1 mai 2020 - MAJ : 09/03/2021 15:58

Il n'y a pas que Netflix dans la vie : sélection de 10 films de science-fiction à (re)voir sur Amazon Prime.

A ceux pour qui le catalogue Netflix rayon SF n'est pas suffisant, trop moyen ou trop attendu, il y a toujours de quoi faire du côté d'Amazon Prime Video. Blindé de films et séries, cet autre service de SVoD a quelques petits classiques, plus ou moins populaires et connus, qui méritent d'être (re)vus.

Sélection de 10 films de SF à (re)consommer sans modération.

Retrouvez notre sélection de 10 films d'horreur disponibles sur Amazon et celle des dix séries cultes à (re)voir sur la plateforme.

Retrouvez sinon les meilleurs films de SF de 2019 sur Cinetrafic.

 

PhotoPuisqu'on vous dit que faut les voir et les revoir ces classiques 

 

DARK CITY

De quoi ça parle : D'un homme qui se réveille amnésique, à côté d'un cadavre, et dans une ville infernale. Poursuivi par un détective et d'étranges créatures, il va devoir comprendre qui il est, et ce qui se passe dans cet endroit cauchemardesque.

Pourquoi c'est bien : Plus de 20 ans après, Dark City reste d'une puissance folle, et inégalée en la matière. Avec ses décors gothiques, son architecture au-delà du réel, son atmosphère de néo film noir, ses créatures terriblement cauchemardesques, sa nature de pure fantaisie qui explose dans le climax, et sa révélation finale vertigineuse, le film d'Alex Proyas est un petit classique du genre, et probablement l'un des meilleurs films du réalisateur de The Crow, légèrement paumé depuis avec I, RobotPrédictions et Gods of Egypt.

Particulièrement anxiogène et ténébreux, Dark City emprunte le chemin classique du thriller (héros amnésique accusé de meurtre, femme semi-fatale et mélancolique, détective borné, scientifique lugubre) pour mieux amener vers des zones étranges et fascinantes, tordant tous les clichés avec un plaisir manifeste. Rufus Sewell est excellent en première ligne, entouré de Kiefer Sutherland, Jennifer Connelly, William Hurt, et Richard O'Brien et sa bande en affreux chauves.

A noter qu'Amazon Prime ne propose pas la version director's cut, qui n'a par exemple pas de voix off sur l'intro.

Ça te plaira si t'aimes : Matrix (qui en a recyclé quelques décors en studio sur le premier épisode), Brazil, Metropolis

Notre dossier sur ce bijou noir est à relire par ici.

 

Photo Jennifer ConnellyPrequel d'Un silence de mort, épisode culte de Buffy

 

UNDER THE SKIN

De quoi ça parle : D'une alien arrivée sur Terre sous la forme de Scarlett Johansson, pour séduire et consommer des hommes.

Pourquoi c'est bien : Parce que presque rien ne ressemble à ce cauchemar qui frôle l'abstraction muette, et utilise un pitch de série B pour orchestrer une odyssée hallucinée et incroyable. Jonathan Glazer avait déjà marqué des esprits avec Sexy Beast et Birth, et signe ici un des films les plus envoûtants, ténébreux, tortueux et évocateurs de ces dernières décennies, générant des images d'une puissance formidable - surtout pour ceux qui ont vécu l'expérience dans une salle de cinéma.

Scarlett Johansson rappelle ici qu'entre deux Marvel et autres films hollywoodiens, elle est une actrice potentiellement fantastique, avec une prise de risque réelle vu son rôle et la nature de certaines scènes. Et si Under the Skin est un film qui ne peut que créer des réactions extrêmes, il mérite certainement d'être vu et revu, rien que parce qu'il est la preuve que ce cinéma existe.

Ça te plaira si t'aimes : La Mutante et 2001, l'Odyssée de l'espace, et que tu rêves d'un mix obscène entre les deux.

Notre critique d'Under the Skin est par là.

 

photo, Scarlett JohanssonRare image où le noir ne possède pas l'écran

 

LA CITÉ DES ENFANTS PERDUS

De quoi ça parle : De Krank, un vieil homme incapable de rêver, qui veut voler les rêves des enfants avec ses machines, dans sa base perdue au milieu de l'océan. De ses hommes de mains, qui les kidnappent dans une ville portuaire proche. De One, une bête de foire qui veut protéger son petit frère adopté. De Miette, une orpheline avec qui il se lie d'amitié. Et de beaucoup d'autres choses folles et farfelues.

Pourquoi c'est bien : Avec Delicatessen, La Cité des enfants perdus est l'autre joyau inimitable de Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro. Superproduction ambitieuse et franchement inouïe dans le cinéma français des années 90 (budget de 90 millions de francs à l'époque, équivalent de presque 19 millions d'euros), avec des images numériques alors à la pointe de la technologie, et un Ron Perlman qui ne parlait pas français, cette aventure surréaliste est une bulle de fantaisie, de poésie et d'inventivité toujours aussi merveilleuse, 25 ans après.

C'est le paroxysme de ce cinéma débridé, d'une richesse flamboyante, qui déborde de détail et d'idée dans chaque plan, et s'amuse avec absolument tous les outils du cinéma (les gueules, les costumes, les couleurs, la musique, les effets spéciaux), pour offrir un voyage sensationnel. Avec à la musique, Angelo Badalamenti, le compositeur connu pour ses films avec David Lynch (et qui utilise la mémorable Who Will Take My Dreams Away de Marianne Faithful), et Darius Khondji à la photo. Une merveille de tous les sens, qu'on vous dit.

Ça te plaira si t'aimes : Les contes de fées avec des monstres, et un mariage étrange entre Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain et Dante 01.

 

Photo , Judith Vittet, Ron PerlmanLa petite belle et la bête muette

 

A.I. : INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

De quoi ça parle : David, un enfant robot adopté par une famille, programmé pour aimer comme un vrai petit garçon... et qui va partir dans une quête pour véritablement devenir un vrai petit garçon, dans un monde terrible.

Pourquoi c'est bien : A.I est parmi les chefs d'œuvre encore un peu oubliés de Steven Spielberg. L'histoire de David à l'écran est presque aussi magique que celle en coulisses, puisque le projet était d'abord celui de Stanley Kubrick, qui a rêvé pendant des années de ce Pinocchio futuriste, attendant que la technologie soit suffisamment avancée pour être à la hauteur de ses ambitions. Lancé, repoussé, mis en pause plusieurs fois dans les années 80 et 90, et proposé à Spielberg par Kubrick plusieurs fois, le projet a retrouvé une raison de vivre après la mort du cinéaste culte, en 1999. De quoi nourrir beaucoup de fantasmes et débats sur ce que Spielberg a ajouté, souvent de l'ordre de l'illusion puisque Teddy et la fin sont majoritairement de Kubrick, par exemple.

Peu importe, l'alliance entre ces deux visionnaires a donné l'un des films de science-fiction les plus ambitieux, fascinants et riches des décennies récentes. Porté par un Haley Joel Osment renversant dans un rôle lumineux, A.I. : Intelligence artificielle est une magnifique histoire d'humanité, qui mute en cours de route, pour dépasser l'imagination et se terminer dans une émotion d'une pureté époustouflante. Au passage, Spielberg y filme le futur dans un mélange d'optimisme et de terreur, orchestrant quelques scènes particulièrement effrayantes et mémorables.

Déclaration d'amour à ce grand film à relire par ici.

Ça te plaira si t'aimes : Battlestar GalacticaPinocchioEx MachinaBlade Runner.

 

Photo Jude Law, Haley Joel OsmentEt puis il y a Jude Law

 

METROPOLIS

De quoi ça parle : Dans une gigantesque cité futuriste, où les travailleurs se tuent littéralement à la tâche pour permettre aux élites de vivre dans l’opulence de ses étages supérieurs, un androïde prépare un soulèvement.

Pourquoi c'est bien : Quasiment un siècle après sa sortie, Metropolis est un de ces chefs d’œuvres du cinéma muet dont la richesse donne l’illusion d’un film inépuisable, dont les innombrables trouvailles ne cessent de renouveler la force, le sens, et la pertinence. Véritable concentré de tous les conflits sociaux qui traversèrent l’occident du XXe siècle et l’agitent toujours, le film est toujours un condensé de concepts visionnaires. Poétique et toujours d'une incroyable intelligence en matière de science-fiction, il recycle génialement les utopies en vogue alors pour en pointer les limites, comme il questionne avec force le tout technologique, l'industrialisation du monde, soulignant avec une acuité étonnante que les travailleurs devenus esclaves ne pourront plus trouver à se rebeller que sous l'impulsion... d'une machine (Marx ? vous avez dit Marx ?)

Le métrage capture si bien les idées qui le traversent, que depuis des décennies, il continue d’inspirer quantité de créations de science-fiction. De Bioshock, en passant par District 9, jusqu’à la vision de Midgar dans Final Fantasy VII, on ne compte plus les multiples manières dont la vision de Fritz Lang s’est répandue dans la culture populaire. La redécouvrir aujourd’hui, c’es lever le voile sur un film génial, qui parvient, à travers les années, sans dialogues, à nous inoculer encore son grandiose venin.

Ça te plaira si t'aimes : La verticalité écrasante de Blade Runner, le look de C3PO dans Star Wars, les autres films de Fritz Lang.

 

photo

 

BARBARELLA

De quoi ça parle : En l'an 4000, l'astronaute Barbarella, alors en vacances, se voit confier par le président de la Terre une mission spéciale. Elle doit retrouver Durand-Durand, un savant disparu il y a quelques années, inventeur de l'arme absolue, qu'il veut vendre à une planète ennemie.

Pourquoi c'est bien : Adapté d'une bande-dessinée culte, le film de Roger Vadim est considéré par ses quelques détracteurs et ses hordes de fans comme un summum insurpassable de kitsch, et les deux parties ont bien raison. Barbarella est probablement l'un des films les plus pop jamais produit par nos amis américains, multipliant les séquences colorées et inventives à un rythme industriel, pour le plus grand plaisir des esthètes, des vicieux et des amoureux du carton-plâtre.

Souvent vu (et conçu ?) comme une sorte de trip hallucinogène, cumulant dans un exercice de style en équilibre précaire les plaisirs multiples de la rétine, il se vautre dans un érotisme codifié à l'extrême, une iconographie baroque sans limite aucune et un second degré assumé. La déesse Jane Fonda se mue un peu plus en égérie à chaque plan, au fur et à mesure que les décors et les personnages hauts en couleur défilent. Réussir à détourner à ce point les codes du space opera sans passer par l'humour force le respect. La réputation de cette sucrerie généreuse n'est pas faussée, loin de là.

Notre dossier sur les super-héroïnes avant l'ère MCU et DCEU, pour le meilleur et pour le pire

Ça te plaira si t'aimes : Les pages "lingerie" des catalogues La Redoute, Flash GordonDanger: Diabolik !

 

photo, Jane Fonda, Milo O'SheaUne machine particulière

 

TOTAL RECALL

De quoi ça parle : 2048. Doug Quaid rêve chaque nuit qu'il est sur la planète Mars à la recherche de la belle Melina. Il va bientôt s'apercevoir que son rêve était artificiel et que sa femme est une espionne chargée de veiller à son reconditionnement mental.

Pourquoi c'est bien : Oubliez l'atroce remake avec Colin Farrell. La première adaptation de Souvenirs à vendre est un beau melting pot du meilleur de la période américaine de Paul Verhoeven. Comme souvent, il s'agit d'une commande (confiée auparavant à David Cronenberg) que le cinéaste hollandais prend un malin plaisir à pervertir grâce à une bonne dose de violence et un sens de la satire aussi subtil que jouissif.

Comme dans Starship Troopers, il s'amuse à reproduire la formule cinématographique hollywoodienne pour mieux la transgresser, histoire de rappeler en permanence à son spectateur son statut de consommateur avide de démembrements. Le scénario mélant constament rêve et réalité, inspiré de Philip K. Dick, est donc le terrain de jeu rêvé.

Blindé de suspense et parfois épique, la production est aussi un divertissement redoutable, baladant un Arnold Schwarzenegger hébété dans un univers de science-fiction bourrin visuellement très efficace. A cela s'ajoute la partition irréprochable du grand Jerry Goldsmith. On aurait presque envie d'effacer sa mémoire pour en profiter à nouveau.

Toutes les explications sur le final de Total Recal

Et pour un grand retour sur les univers SF de Philip K. Dick, c'est ici

Ça te plaira si t'aimes : Starship TroopersRunning ManUpgrade

 

photo Total RecallPremier visionnage

 

INCEPTION

De quoi ça parle : Dom l'extracteur (Leonardo DiCaprio) et son équipe doivent accomplir une mission originale et délicate : implanter une idée dans un esprit. Brigandage d'un nouveau genre, il ne s'agit pas de voler des informations, mais d'en ajouter dans l'inconscient d'un individu pour le manipuler.

Pourquoi c'est bien : On peut revoir ce film encore des dizaines de fois, il y aura toujours un élément qui nous aura échappé. Difficile à comprendre de long en large, Inception s'est imposé comme un des meilleurs casse-têtes filmiques jamais réalisés - la preuve, dix ans plus tard, DiCaprio n'a toujours rien pigé.

La mise en scène magistrale soutient un scénario extrêmement calibré, dont les enjeux métaphysiques provoquent l'impression de perte en avant. Mélange de noeud de Moebius et de mise en abyme, le film se construit dans des histoires emboîtées et dépendantes les unes des autres. L'action se greffe sur la psychologie bouleversée d'un monde où l'on pénètre les rêves d'autrui et où l'on trafique son imagination de l'intérieur.

Problème supplémentaire dans la narration retorse, l'histoire d'amour de Dom avec Mallorie (Marion Cotillard). Elle apparaît dans des flashbacks, partit dans l'autre monde... à moins qu'elle ne soit retournée dans le réel ? Quand créer des univers devient une drogue à laquelle on est addict, c'est Inception

Ça te plaira si t'aimes : les films prise de tête, comme Mulholland Drive, ou Eyes Wide Shut (dans des registres très différents).

 

photo, Leonardo DiCaprioElle s'arrête cette foutue toupie ou pas ?!

 

TIMECRIMES

De quoi ça parle : Intrigué par une jeune femme se déshabillant dans la forêt, Hector part à sa recherche, mais lorsqu'il la retrouve inanimée, un homme masqué l'attaque au couteau. C'est le début d'une série de catastrophes imprévues.

Pourquoi c'est bien : Parce que derrière ses airs de simple film de science-fiction autour du voyage dans le temps, Timecrimes est également un thriller terriblement cruel, un drame psychologique tordu ainsi qu'un slasher particulièrement angoissant. C'est ce qui fait tout le charme de ce premier film espagnol signé du réalisateur Nacho Vigalondo (depuis derrière Colossal entre autres) extrêmement généreux et ambitieux dans le déroulé de son récit, malgré son apparente simplicité.

En mêlant les genres et en jouant des ruptures de ton, le film réussit à surprendre en permanence alors que son casse-tête prend forme petit à petit. Le moyen de déployer une palette d'émotions et de sensations impressionnante en seulement une heure et demie, d'autant plus accentuée grâce à sa mise en scène réfléchie et son rythme solide. Il y a évidemment quelques défauts ici ou là (c'est un premier film), mais l'ensemble est toujours assez captivant pour conserver un bel intérêt jusqu'à ses derniers instants. Un must-see.

Ça te plaira si t'aimes : LooperTriangleRetour vers le futur et la plupart des films impliquant les voyages temporels.

 

photoÊtes-vous vraiment devant un film de SF ?

 

DISTRICT 9

De quoi ça parle : Il y a des années, des extraterrestres sont tombés en panne au dessus de l'Afrique du Sud et sont depuis réfugiés dans le district 9 à Johannesburg, un bidonville géant.

Pourquoi c'est bien : District 9 est un long-métrage de science-fiction passionnant qui s'appuie sur un univers unique et réfléchi pour explorer les affres contemporaines à travers un récit d'une profondeur et d'une intelligence rare. Pour son premier film, le cinéaste sud-africain Neill Blomkamp frappe un grand coup à tous les niveaux. En jouant habilement sur un style documentaire percutant et un réalisme troublant, District 9 propose des réflexions pertinentes et alarmantes sur l'humanité et nos politiques (migratoires notamment) derrière son allégorie évidente de l'Apartheid.

Avec, en plus, des effets spéciaux bluffants, un scénario qui explose litteralement dans son dernier acte, un cynisme grinçant et un Sharlto Copley fou furieux, District 9 est indéniablement l'un des plus grands films de SF de ces dernières années. Il est d'ailleurs produit par Peter Jackson, ce qui a sans doute aidé à la qualité du rendu final.

Ça te plaira si t'aimes : Avatar étudie des thématiques proches sur l'humain et l'étranger, sinon, la plupart des films avec des extraterrestres de La Guerre des mondes à Edge of Tomorrow en passant par les jeux Halo (une série est d'ailleurs dans les tuyaux aux dernières nouvelles).

 

Affiche française

 

Tout savoir sur Inception

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commentaires
Nico1
04/05/2020 à 15:40

Magnifique sélection mis à part timecrimes qui est d'une ineptie assez incroyable. avec un personnage principal dont la stupidité rend le visionnage dès le départ pénible.

Didier
02/05/2020 à 23:18

Les langoliers impossible a trouver pourquoi?et la quatrième dimension ?

Seringas
02/05/2020 à 20:24

PLANÈTE INTERDITE est aussi un précurseur comme film de science-fiction

D@rk
02/05/2020 à 20:14

Vous auriez pu rajouter dans votre liste des ovnis de la science-fiction comme :

Strange days | Kathryn Bigelow
L'armée des 12 singes | Terry Gilliam
Outland | Peter Hyams

Travailler le 1er mai, c'est un sacrilège !

Geoffrey Crété - Rédaction
02/05/2020 à 16:44

@Mikeno

Pas d'abonnement spécial non. On a trouvé ces films normalement... :/

Mikeno
02/05/2020 à 15:16

J'ai recherché sur Amazon Prime 3 titres mais sans succès, faut-il un abonnement spécial ?

Geoffrey Crété - Rédaction
02/05/2020 à 01:10

@Ch'Dom

Parce qu'avec une sélection de 10, forcément, y'aura toujours des films omis.
Mais Strange Days, par ex, on lui a consacré un article entier
https://www.ecranlarge.com/films/dossier/986904-le-mal-aime-strange-days-le-grand-film-de-sf-cyberpunk-imagine-par-james-cameron

Hasgarn
01/05/2020 à 23:37

Dark City est à voir IMPÉRATIVEMENT dans sa version longue !
C’est une perfection. Et je dis ça en sachant que la version ciné est déjà une perfection.

Ch’Dom
01/05/2020 à 21:58

Comment ne pas mettre Strange Days et bienvenue à Gattaca ??

Kyle Reese
01/05/2020 à 20:02

Dark city: chef d œuvre indémodable car hors mode déjà à l’époque et ce twist.

AI: chef d œuvre j’ai toujours du mal à me remettre de cette fin si déchirante.
Et cette vision du future à la fin tellement épurée à la limite de l’abstrait qui m’avait schotché.

Under the skin: une grosse claque pour cette petite production absolument fascinante.
Un thème façon au delà du réel. Scarjo y est très troublante et montre qu’elle a un talent fou au delà de son charme naturelle qui plait tant. Un bijou comme on en voit assez rarement.


Rah Total recall grand souvenir de cinema et cette musique de générique qui vous fait déjà frissonner.

Que du bon.
Vive la SF
Inception: chef d œuvre un de mes Nolan préféré. A dream within a dream. Mais quel scénario de fou.

District 9: chef d œuvre de série b. une claque, drôle, subversive, violente, déganté, poétique et tendre. Un réal inconnu, (Sauf pour son superbe court métrage avec une 3d bluffante pour l époque, inspiré des méchas japonais) un acteur inconnu qui crève l’écran. Je n’en pouvait plus quand j ai découvert l’exosquelette et les gadgets. Chappie était très sympa mais pas aussi bien que D9

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