
Barbarella : Critique
Avant d'être un mauvais film, "Barbarella" est assurément un film
étrange.
En l'an 40 000. Sur ordre du président de la Terre, la jeune Barbarella doit retarder ses vacances sur Vénus pour tenter de retrouver et d'arrêter le redoutable professeur Durand Durand, qui vient de mettre au point une arme effroyable : le rayon positronique, aussi appelé «polyrayon 4», qui met en danger l'équilibre de l'amour universel. Un atterrissage forcé sur Lytheion vaut à Barbarella d'être capturée par deux gamines qui la livrent à des poupées-robots. La jeune femme est sauvée par l'intervention de Mark Hand. Elle apprend en outre que Durand Durand se trouve sur la planète Sogo, sur laquelle son appareil s'écrase. La malheureuse tombe entre les griffes de la féroce Reine noire...
Avant d'être un mauvais film, "Barbarella" est assurément un film
étrange.
Sommet absolu du kitsch et de la culture des années 1960, le Barbarella de Roger Vadim avec Jane Fonda a une histoire bien à lui.
Cela fait des années qu'on entend parler d'un remake Barbarella et presque aussi longtemps que NWR y est rattaché. Mais il va falloir se faire une raison.
Dino De Laurentiis est toujours vert. Déjà, le producteur n'a pas eu peur d'assurer lui-même la promotion londonienne du fort peu convaincant Hannibal rising.