Star Wars : qui peut réanimer et sauver la saga après L'Ascension de Skywalker ?

La Rédaction | 27 décembre 2019 - MAJ : 09/03/2021 15:58
La Rédaction | 27 décembre 2019 - MAJ : 09/03/2021 15:58

Après J.J. Abrams et Rian Johnson, et alors que le futur de la saga au cinéma est encore flou, on partage des envies et fantasmes.

Alors que Star Wars : L'Ascension de Skywalker referme trois trilogies, avec la quasi impossible mission de rassembler tant de générations autour d'une ultime aventure (la preuve : toute la rédaction trouve le film raté), le futur de la saga au cinéma est encore à écrire. Même si Taika Waititi vient d'être officiellement annoncé sur un nouveau film.

Le projet des créateurs de Game of Thrones est plus ou moins abandonné, la trilogie de Rian Johnson toujours floue, et malgré quelques annonces de Disney et Lucasfilm, la franchise va continuer : des Star Wars sont prévus pour décembre 2022, décembre 2024 et décembre 2026.

Une nouvelle trilogie ? Des films indépendants ? Le retour des spin-off après le four Solo : A Star Wars Story ? Quelque chose en rapport avec les séries Disney+, comme The Mandalorian et la future série sur Obi-Wan ?

En attendant que la machine de guerre dévoile son plan d'attaque, la rédaction a réfléchi aux réalisateurs-trices qui seraient de bonnes pioches pour rejoindre cette galaxie. Inutile de dire que certains relèvent du fantasme, du plaisir pervers, ou de perversité.

 

photo, Adam Driver, Daisy RidleySimple discussion de producteurs dans un contexte apaisé

 

JOSS WHEDON

Avant de propulser le MCU vers les étoiles de l'enfer du succès-monstre grâce à Avengers, d'être violemment critiqué pour Avengers : L'Ère d'Ultron qui l'a motivé à passer à autre chose, et d'être bêtement considéré comme le responsable du ratage Justice League (dont il a encadré les reshoots dans des conditions extrêmes, sans avoir le final cut et sans être crédité ailleurs qu'au scénario), Joss Whedon est le créateur de Buffy contre les vampires... et Firefly. Et cette série entre western et science-fiction, qui a abouti au film Serenity : L'ultime rébellion n'est pas étrangère à la galaxie Star Wars.

Diffusée sur la Fox en 2002, la série suit une bande de pirates de l'espace, au 26e siècle, dans un monde où l'humanité a fui la Terre pour investir un nouveau système stellaire. Dans un contexte tendu, entre les planètes centrales et privilégiées, et les plus isolées qui ont été laissées pour compte, Whedon ouvre les portes d'une science-fiction proche du Far West, où les héros visitent des zones désertiques sans foi ni loi, pour survivre et trouver leur place dans une galaxie froide.

 

PhotoStar Firefly : Le Retour en Force

 

Nathan Fillion en Malcolm Reynolds a des airs de Han Solo avec son allure de cowboy, son caractère bien trempé, et son flegme aussi charmant qu'exaspérant. Gina Torres, Alan Tudyk, Morena Baccarin, Jewel Staite ou encore Summer Glau forment autour de lui une troupe charismatique, et toute l'histoire est bâtie sur un mélange de fantaisie, d'aventure, d'humour, de politique et de quête d'humanité.

Avec Serenity, Joss Whedon a pu aller plus loin, assumant plus clairement l'ambition spectaculaire de son monde, et les aspects plus épiques de sa mythologie - et malgré un budget serré. De là à se dire que Joss Whedon rêvait de son Star Wars, il n'y a même pas un pas à faire, et que lui-même a assumé. D'autant que The Mandalorian a depuis pris cette approche western, et que même les anti-Whedon peuvent reconnaître le talent du monsieur pour créer de bons personnages. Soit ce qui fait défaut aux récents Star Wars.

Le cinéaste a certes parlé d'une expérience compliquée sur Avengers 2, mais n'a pas officiellement planté la hache de guerre avec Disney. Et alors qu'il prépare une série, The Nevers, après avoir abandonné Batgirl chez la Warner, son futur au cinéma est encore flou. Donc, tout est possible.

 

PhotoQuand tu annonces ton départ au Captain



DAVID TWOHY

Non, personne ne rêve de voir le reflet d'un sabre-laser sur le crâne lustré de Vin Diesel. Mais David Twohy est un sacré réalisateur, qui a prouvé son amour de la science-fiction avec Pitch Black et surtout Les Chroniques de Riddick. Boudée par la critique et le public à sa sortie, cette suite baroque orientée space opera est pourtant féroce, avec un amour de la série B qui ferait du bien à Star Wars.

Des néo-nazis Necromangers montrés comme une sorte de secte alien, à la prison sur une planète que le soleil dévore, en passant par l'étrange Aereon et ses pouvoirs d'Elementaire, le film témoigne de l'imaginaire passionnant du cinéaste. La dimension politique, la notion d'anti-héros et de destin orageux, et la férocité des personnages secondaires (Alexa Davalos en guerrière et Thandie Newton en Lady MacBeth à écailles), laissent rêver d'une entrée plus gothique dans l'univers Star Wars. D'autant que David Twohy a tiré profit d'un budget d'une centaine de millions et emballé quelques scènes d'action et de spectacle particulièrement solides.

Si on compte aussi l'intéressant Abîmes, l'efficace et amusant Escapade fatale et le moyen mais maîtrisé Riddick, il y a de quoi imaginer que Twohy serait un choix certes inattendu et risqué, mais fort excitant et inspiré.

 

photo, David Twohy"C'est là que Riddick arrive, caché sous sa capuche de Sith et filleul de Palpatine"



DOUG LIMAN

La Mémoire dans la peau, Mr. & Mrs. Smith, Jumper, Edge of Tomorrow, Barry Seal : American Traffic... Doug Liman a touché à bien des genres, pour se forger une belle réputation au fil des années. Et c'est parce qu'il n'a jamais participé à une grosse franchise (il a lancé Bourne qui a continué sans lui) qu'il ferait un bon candidat.

Doté d'un savoir-faire technique indéniable, et d'un sens du rythme et de la narration classique, qu'il a adaptés aussi bien à la comédie qu'au film de science-fiction, il serait un choix très solide. Connu pour quelques dépassements de budget et productions compliquées, il a naturellement la peau dure, suffisamment pour affronter la machine Lucasfilm... ou déserter avant que ça ne soit trop tard. Son expérience avec des acteurs aussi énormes que Tom Cruise, Brad Pitt et Angelina Jolie, va dans ce sens.

Par ailleurs, puisqu'il vient du cinéma indépendant et jongle entre différents budgets (The Wall était un tout petit film par exemple), il pourrait manier les deux aspects d'un bon film hollywoodien, entre le spectacle et l'humain.

À noter que son prochain film, Chaos Walking avec justement Daisy Ridley, est dans les limbes suite à des demandes de reshoots pour arranger ce conte post-apocalyptique.

 

PhotoSur Edge of Tomorrow

 
ANDREW NICCOL

Pas le choix le plus évident puisqu'il n'a jamais manié de gros budget jusque là - comme Rian Johnson oui. Sauf qu'Andrew Niccol a un amour de la science-fiction évident, qui pourrait creuser les thématiques de Star Wars comme jamais jusque là.

Le réalisateur et scénariste a explosé avec Bienvenue à Gattaca en 1997, tout en signant le scénario de The Truman Show. Depuis, il a mis en scène Simone, Lord of War, Time Out, Les Ames vagabondes, Good Kill et Anon. Sans cesse, il revient vers le futur, le film de genre, la technologie et comment elle modifie le tissu social et les esprits.

Alors que la saga arrive à un stade où elle doit se réinventer, explorer de nouveaux territoires (comme le prouve The Mandalorian) et prendre des risques, l'esprit d'Andrew Niccol pourrait être un atout pour aborder la mythologie d'un autre point de vue.

 

Photo Andrew NiccolAndrew Niccol qui prend des notes

 

SAM RAIMI

C’est bien simple, Sam Raimi réunit toutes les qualités pour diriger un vaisseau amiral aussi massif que Star Wars. Venu du cinéma indépendant, il a dirigé plusieurs blockbusters novateurs et exigeants sur le plan technologique (Spider-Man, Le Monde fantastique d’Oz), et s’avère aussi à l’aise avec les effets spéciaux pratiques à même le plateau que leur évolution numérique. De plus, il s’est déjà frotté à la charge que représente l’adaptation d’une franchise adorée, et sait respecter une œuvre en se ménageant une zone de créativité.

Plus intéressant encore : Sam Raimi serait en mesure d’apporter quelque chose d’inédit au sein de la saga, de par la manière dont il utilise la caméra. Cette dernière, depuis au moins Evil Dead 2, fait quasiment office de personnage à part entière dans son cinéma. Presque toujours en mouvement, capable d’envolées virtuoses, conférant une énergie folle à l’action et une personnalité dingue à ses films, elle pourrait offrir à Star Wars des élans bienvenus et un dynamisme neuf.

 

Photo Sam RaimiSam Raimi, des étoiles plein les yeux

 

LES WACHOWSKI

Les sœurs Wachowski ont donné dans la saga culte de science-fiction, et il n’est pas interdit de penser qu’en réalisant Matrix, elles ont réussi un tour de force qui les place tout près de George Lucas. La question de leur compétence ne se pose pas vraiment, tant les frangines ont su mener à bien d’énormes projets aux effets spéciaux délirants et aux innombrables personnages, toujours situés au coeur d'univers complexes et stimulants.

Elles possèdent surtout une qualité indispensable à la maîtrise d’un univers tel que Star Wars : leur capacité à maintenir intacte une candeur véritable. Leurs récits font toujours la part belle aux émotions des personnages et choisissent souvent de se situer dans le registre du conte. Enfin, leur décrié (mais génial pour certains dans l'équipeJupiter : Le Destin de l'univers est sans doute un des plus vibrants hommages jamais réalisés à l’œuvre de Moëbius et à l’ADN de la trilogie originale pensée par George Lucas. Avec un tel pedigree, on espère que The Matrix 4 sera annulé et qu’elles iront nous faire la guerre dans les étoiles.

 

Photo Halle Berry, Lana WachowskyLes Wachowski ont tout ce qu'il faut pour supporter l'hyper-espace

 

JOE WRIGHT

Le box-office ayant rarement été tendre avec Joe Wright, son nom n’est pas le plus connu, mais son talent demeure éclatant, et son goût pour les grandes fresques, délicieux. De Reviens-moi à Hanna, en passant par Les Heures sombres et Anna Karénine, le metteur en scène a multiplié les expérimentations, les tests, et les trips, mariant les différents registres et techniques. Ensuite, les héros de Joe Wright ont toujours un rapport très fort à la passion et à l'engagement, un positionnement qui les amène à se questionner sur le sens de leurs actes et leur volonté. De là à considérer qu'on cause quasiment de la Force...

Mais plus encore que tous ces excellents films, c’est son formidable et sous-estimé Pan qui emporte le morceau. Wright démontre ici qu’il n’aime rien tant que revisiter ses classiques, les réinterpréter et leur donner de nouveaux atours. Et c’est précisément ce dont a besoin Star Wars : un auteur qui pense au récit avant ses délires, et qui comprenne comment greffer ces derniers à une trame qui le dépasse, pour mieux la servir. Ajoutons que ce bon Joe a un vrai sens du cadre, qui sied très bien au divertissement de facture assez classique qu’est Star Wars.

 

Photo Joe WrightJoe Wright, préparant son Pan-dawan

 

DENIS VILLENEUVE

Le réalisateur québécois a mis du temps à se faire un nom sur la scène mainstream. Pourtant, il a toujours été un sacré réalisateur. Depuis Incendies, Denis Villeneuve a enchainé les films aux narrations poussées (EnemyPremier contact) et aux mises en scène chiadés (PrisonersSicario), prouvant en seulement quatre ans qu'il était un des grands réalisateurs du moment.

Techniquement, il n'a donc plus grand-chose à prouver, d'autant plus après son Blade Runner 2049 visuellement sublime. Et même si le récit de ce dernier (et son incapacité à trouver sa propre identité sans lorgner du côté du film de Ridley Scott) a été largement critiqué, Villeneuve pourrait bien réussir à convaincre tout le monde avec Dune fin 2020. Si c'est le cas, personne ne sera mieux placé que lui pour raconter une histoire de l'envergure de Star Wars tout en l'agrémentant d'un cachet visuel impressionnant (et si absent de la saga ces derniers temps).

 

Photo Denis VilleneuveDenis Villeneuve, un maestro de la mise en scène

 

DEBORAH CHOW

Un Canadien pourrait cacher une Canadienne puisque le pays nord-américain recèle de talents dont la jeune Deborah Chow. Certes, la réalisatrice n'a pas autant d'expériences que les metteurs en scène cités précédemment. Elle est passée par Jessica JonesAmerican GodsBetter Call Saul ou Mr. Robot pour les plus prestigieuses séries et n'a fait qu'un seul petit film indépendant en 2011. En revanche, elle est sans aucun doute celle qui filme le mieux l'univers Star Wars actuellement.

C'est elle qui s'est occupée de l'épisode 3 de The Mandalorian, offrant une des séquences de batailles les plus maitrisées de la série, et de l'épisode 7, composé d'une séquence nocturne divine et reliant efficacement chaque arc pour se recentrer enfin sur l'intrigue principale. La mettre à la barre d'un film aurait donc de quoi mettre largement en confiance les producteurs de la saga, la réalisatrice connaissant bien l'univers créé par George Lucas.

Les exécutifs de Disney sont d'ailleurs tellement confiants sur son potentiel qu'ils lui ont déjà confié la série sur Obi-Wan. Autant dire que si c'est une réussite, il ne serait pas impossible de la voir s'occuper d'un film très prochainement.

 

Photo Deborah ChowDeborah Chow sur le plateau de The Mandalorian

 

NICOLE KASSELL

Parce qu'il n'y a pas que les hommes qui peuvent (et doivent) diriger un Star Wars au cinéma, sûrement pas. Si Deborah Chow a été la première à pouvoir donner sa vision de l'univers et a un fort potentiel, sa jeunesse lui fera peut-être défaut tout autant que son agenda déjà bien rempli pour s'occuper d'un film. En revanche, l'Américaine Nicole Kassell pourrait être un choix judicieux et prometteur.

La réalisatrice a été remarquée avec son premier film The Woodsman en 2006 et s'est forgée depuis une belle expérience sur le petit écran avec The LeftoversAmerican CrimeThe Americans ou WestworldLa série menée par Jonathan Nolan et Lisa Joy lui avait permis de montrer sa capacité à jongler avec une narration très élaborée (notre critique de l'épisode en question) tout en créant une ambiance fascinante. Un talent réitéré dans les trois épisodes de Watchmen qu'elle a réalisés et notamment le huitième (sublime morceau du petit écran).

La faculté de Kassell à construire un récit d'une fluidité impressionnante malgré un scénario complexe atteste d'une ingéniosité qui correspondrait parfaitement à l'univers de Star Wars. À la fois capable de suivre une trame très précise pour un studio tout en donnant une véritable identité au produit final (sans dénaturer la vision d'origine), elle nous semble un choix attractif. Reste à espérer que Disney ait les mêmes envies.

 

Photo Louis Gossett Jr., Nicole KassellNicole Kassell (à droite) sur le tournage de Watchmen

 

JOSEPH KOSINSKI

Dès son premier film, Tron - L'Héritage chez Disney, il s'est imposé comme un cinéaste visuellement ambitieux, doué et visionnaire. Dans les limites d'une production très cadrée, il a emballé des scènes éblouissantes, techniquement folles, avec un sens de la mise en scène qui donne le tournis. La suite de Tron a bien des détracteurs, mais ici, on considère le film comme une réussite.

Depuis, Kosinski a confirmé son goût de l'aventure, de la science-fiction et de l'action avec Oblivion, tentative moyennement convaincante de créer son propre univers. Le film n'a pas été à la hauteur, artistiquement et financièrement, mais après Line of Fire, il a retrouvé Tom Cruise pour Top Gun : Maverick. Là encore, il s'agit de rallumer un flambeau éteint depuis des années, et nul doute que le cinéaste en a profité pour expérimenter visuellement avec les scènes de voltige. Son expérience avec Disney (qui aurait pu continuer, si le troisième Tron n'avait pas été abandonné), sa maîtrise très précoce des gros budgets et la confiance d'un acteur-producteur aussi puissant que Tom Cruise en disent long sur son talent.

Avec lui, Star Wars pourrait retrouver son attrait originel : l'appétit de modernité, le désir de repousser les limites. Comme la prélogie qui a exploité aveuglément les possibilités du numérique, Joseph Kosinski pourrait ouvrir en grand les portes de la 3D, réécrire les codes visuels et faire un bond visuel plutôt que suivre les codes établis jusque là. Et son très bon goût en matière de musique n'est pas à négliger s'il faut écrire le futur de la saga sans John Williams.

 

Photo , Joseph KosinskiLes yeux dans le bleu

 

GORE VERBINSKI

Que de chemin parcouru par le réalisateur de La Souris qui, après l'échec du Mexicain, a eu une ascension folle. Après le succès de Le Cercle - The Ring, un très bon et beau remake, il a construit et gravi la montagne du pognon made in Disney avec la trilogie Pirates des Caraïbes. Dans cette machine à fric ultime, tirée d'une pauvre attraction, il a démontré un fantastique talent de conteur et metteur en scène, convoquant aussi bien le film d'aventure old school, le grand récit romanesque et romantique, la comédie screwball et même le film fantastique qui lorgne vers l'horreur. Il a rassemblé massivement les spectateurs et la critique, démontrant ses talents de réalisateur à la tête de blockbusters, sans pour autant oublier les acteurs et l'émotion.

En parallèle et depuis, il y a eu The Weather Man, Rango, A Cure for Life, et surtout Lone Ranger, naissance d'un héros. Toujours chez Disney, ce film d'aventure est surtout connu pour sa production compliquée et son four au box-office. Ce serait presque suffisant pour faire oublier les qualités de ce spectacle généreux, qui déborde d'un peu partout certes, mais rappelle son savoir-faire en matière d'aventure, humour et action. En emballant d'incroyables et irrésistibles scènes comme l'interminable climax sur le train, Gore Verbinski se replaçait comme l'un des réalisateurs hollywoodiens les plus talentueux.

Pirates des Caraïbes est une carte de visite ultime pour prouver ses compétences dans une galaxie comme celle de Star Wars, Rango prouve la précision de son regard technique vu la rigueur du processus d'un film d'animation, et Ring et A Cure for Life montrent à quel point il est capable de créer des ambiances puissantes, et générer des images fortes. C'est donc un candidat vraiment idéal. D'autant plus qu'il a failli récupérer Gambit avant que le projet ne soit annulé pour la quatorzième fois, preuve qu'il ne serait pas contre revenir dans une grosse machine. Et pourquoi pas chez tonton Mickey qu'il connaît si bien ?

 

Photo Lone RangerGore se cache sous un chapeau : sauras-tu trouver lequel ?

Tout savoir sur Star Wars : L'Ascension de Skywalker

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commentaires
Murphy
31/12/2019 à 02:56

Je pensais comme danny_1952 je vois bien Christopher Nolan ou Jonathan Nolan voire tous les 2, Christopher Nolan a très bien réalisé la Trilogie Batman et Inception, son frère Jonathan a bien créé écrit et produit la série Person of Interest qui a été un succès je pense que son frère et lui devraient sauver Star Wars

Perdu
29/12/2019 à 17:06

Je l’ai vu 2 fois déjà... et je sais tjrs pas quoi en penser... je regrette la vente de georges lucas... mais après sans la vente Georges aurait-il fait d’autre projet? Je sais pas... bref perdu... c’est bien et c’est pas bien voila mdr

MisterW
29/12/2019 à 14:14

Il faut la réalisatrice du reboot Drôle de dames; comme ça la boucle sera bouclée et la franchise enterrée, merci.

MisterM
29/12/2019 à 12:45

Vous n'avez vraiment que ces noms à l'esprit ??? Mon Dieu... à part Raimi, tous sont soit à fuir soit absolument inenvisageables.

prometheus
29/12/2019 à 10:44

Brad Bird me paraît être un bon candidat.
Sens de la mise en scène et du spectacle, intérêt pour les personnages.
Cf Les Indestructibles, Tomorrowland.

Sandro
29/12/2019 à 09:49

James Wan. Son (à mon sens formidable) Aquaman montre qu'il maîtrise le divertissement moderne à la perfection. Et il m'a pas mal fait penser à la prelogie dans ce sens.

zimmerfan
29/12/2019 à 07:57

c'est la periode des voeux…..et pourquoi pas faire rempiler ce bon vieux george lui meme,et qu'il choisisse son propre staff,et bien sur qu'il ai les mains libres..c'est pas un fantasme qui a de la gueule?????

prof west
29/12/2019 à 06:19

Ce qui m'intéresse le plus c'est pas qui va le faire car de toute manière les réalisateurs n'ont plsu aucun controle sur leur film c'est les productions !!!

Une trilogie préquel sur les siths ou les jedi noirs serait la bienvenue enfin yen a marre des histoires de jedi ça soule .

danny_1952
28/12/2019 à 23:55

Pourquoi pas Christopher Nolan pour redonner un nouveau souffle à Star Wars ?

JANGO567000
28/12/2019 à 22:05

Grosse bouse cette trilogie ! je viens de voir le 9 ème épisode hier soir, un vrai désastre.
Rien a sauvé, une vrai honte !

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