Rick et Morty Saison 4 Episode 3 : critique qui ne se braque pas
Pour Rick et Morty, ça continue. Et maintenant que la saison est bien partie, il n'est plus question d'introduire quoi que ce soit.
Pour Rick et Morty, ça continue. Et maintenant que la saison est bien partie, il n'est plus question d'introduire quoi que ce soit.
Comme beaucoup, on y croyait pas nos yeux, mais on s'est fait à l'idée. Et puis on a pris connaissance du budget. Et depuis, on en croit pas nos yeux.
Forcément, cette semaine, tous les yeux sont tournés vers ce qui devrait être la bombe familiale de cette fin d'année. Et celle-ci ne déçoit pas.
Produit par Sony, le premier remake de Jumanji avait surpris tout le monde, grâce à son approche mais surtout ses résultats au box-office.
Depuis son lancement, Amazon Prime ne cesse d'accumuler les gros projets, afin de tenir tête à Netflix, et désormais à Disney+.
Qu'on apprécie ou pas son cinéma, difficile de nier que les deux films de Jordan Peele ont pas mal influencé le cinéma américain, d'horreur en particulier.
Disney a prévu de frapper fort cette fin d'année. Avec Star Wars et La Reine des neiges 2, ils risquent bien de dévorer les recettes du box-office.
Netflix continue de produire local. Après Marianne, le fantastique est encore une fois à l'honneur, avec des ados dotés de pouvoirs par un mystérieux dieu.
Le Dark Universe avorté concocté par Universal ne finit pas de revenir dans l'actualité. En fait, il se pourrait même qu'il ne soit pas vraiment enterré.
Les deux premiers films au classement cette semaine viennent de sortir, et ont reçu une exposition médiatique importante, pas pour les mêmes raisons.
"Le vieil homme et la merde" : avec un tel titre, on ne s'attendait pas à beaucoup de finesse dans cet épisode 2. On avait tort.
Disponible depuis quelques semaines aux Etats-Unis, au Canada et aux Pays-Bas, Disney+ fait le bonheur de tout ses utilisateurs. Enfin, presque.
On ne va pas épiloguer sur le succès incontestable de Joker, drame social ayant brisé tout les records et surtout la symbolique barre du milliard de recette.
Mourir peut attendre (No Time to die en VO) devrait marquer un tournant dans la très longue histoire de James Bond au cinéma.
Sorti en 1974 aux Etats-Unis, Massacre à la tronçonneuse est clairement un des films d'horreur les plus capitaux dans l'évolution du genre.
On croyait que c’était la fin. Après la débâcle de Justice League, Batman et Superman n'étaient plus vraiment des priorités pour DC.
David Fincher et Netflix, c'est décidément une affaire qui marche. Après House of Cards et Mindhunter, le réalisateur est déjà sur un nouveau projet.
Jour après jour, semaine après semaine, les personnages de l'adaptation du jeu de baston le plus gore de l'univers se dévoilent les uns après les autres.
Ce n'est pas trop se mouiller d'avancer que les saga Star Wars et Marvel sont les deux principales sources de revenu de Disney, ce qui n'est pas peu dire.
Difficile de mettre la main sur les chiffres d'audience de The Mandalorian, la série Disney+. Mais le service de VOD est lui en grande forme.