Les nouveautés films et séries à voir sur Amazon Prime en janvier

La Rédaction | 8 janvier 2021 - MAJ : 25/03/2021 11:44
La Rédaction | 8 janvier 2021 - MAJ : 25/03/2021 11:44

Parce qu'il n'y a pas que Netflix dans ce monde et que d'autres plateformes voient leur catalogue grandir chaque jour, chaque semaine et chaque mois, on a décidé de faire le point sur les nouveautés prévues sur Amazon Prime VideoChaque début de mois, Ecran Large reviendra donc sur quelques nouveautés ajoutées par Amazon Prime Video dans son catalogue, films et séries confondus, originaux ou pas, dans une liste non exhaustive.

Alors, quels sont les films et les séries à ne pas manquer sur la plateforme de streaming en ce mois de janvier ?

 

photoAmazon and chill

 

Déjà disponible

Transformers 3 : La Face cachée de la Lune

Ça parle de quoi ? De la mission Apollo 11, qui avait pour but caché d’explorer un vaisseau ayant appartenu aux Transformers. Et non, cet alunissage-là n'a pas été filmé par Stanley Kubrick...

Pourquoi il faut le regarder ? Tout juste sorti du catalogue Netflix, Transformers 3 complète la saga pétaradante de Michael Bay dans la collection de Prime Video (surtout après la sortie du cinquième opus en décembre 2020). Plus que jamais, le réalisateur de Rock joue avec le cinéma pour réécrire l’Histoire dans une prémisse excitante. Alors que l’image est ramenée à sa pure artificialité, Bay en profite pour ouvrir les vannes, et délivrer un film d’action aussi boursouflé que généreux.

Si La Face cachée de la Lune souffre de sa mise en place laborieuse (d’autant plus que Megan Fox a été remplacée au pied levé par Rosie Huntington-Whiteley, imposant l’introduction d’un nouveau personnage), son cinéaste y trouve une occasion en or pour dépeindre une guérilla urbaine façon La Chute du faucon noir. Bay épouse l’architecture de Chicago pour en faire un champ de bataille en constant renouvellement, jusqu’à défier les lois de la gravité dans une tour au bord de l’écroulement... L’un des meilleurs volets de la franchise, et le film de samedi soir parfait avec des potes et des bières (sauf si vous n’avez pas d’amis). 

 

photoBeau comme un camion !

 

Star Trek : Sans Limites

Ça parle de quoi ? En pleine crise existentielle, le Capitaine Kirk dirige l’USS Enterprise toujours plus loin dans l’exploration du cosmos, jusqu’à ce que son équipage tombe sur une menace à même d'ébranler la Fédération... 

Pourquoi il faut le regarder ? Doté d’une promotion catastrophique, Star Trek : Sans limites a été quelque peu boudé à sa sortie. Pourtant, ce troisième opus, faisant suite au reboot de J.J. Abrams, a su retrouver de manière plus directe l’esprit de la série originale de Gene Roddenberry.

En déroulant une aventure en vase clos, le film de Justin Lin s’amuse avant tout avec l’équipage de l’Enterprise, en attroupant ses personnages dans des groupes à même de faire des étincelles. Certes plus humble dans sa démarche que les blockbusters énergiques d’Abrams, cet opus déploie néanmoins de très belles idées de mise en scène (dont une course-poursuite à plusieurs niveaux dans les galeries de la station Yorktown). Se dégage de l’ensemble un sens du dépaysement certain, magnifié par la musique stellaire de Michael Giacchino.

 

Photo Chris Pine, Sofia BoutellaUne mécanique bien huilée

 

Mission : Impossible - Rogue Nation 

Ça parle de quoi ? De vilains terroristes qui souhaitent abattre le monde libre, mais à qui personne n’a expliqué que leur projet était ridicule tant qu’Ethan Hunt restait en circulation.

Pourquoi il faut le regarder ? Chacun trouvera, selon ses goûts et la patte des metteurs en scène, le chapitre de la saga qui lui correspond le mieux. Grandiloquent et baroque avec Woo, malicieux avec Bird, virtuose avec De Palma... mais Rogue Nation demeure peut-être le chapitre le plus équilibré de toute la saga, grâce au sens de l’orfèvrerie de son réalisateur Christopher McQuarrie

Peut-être conscient de ne pas être un styliste de l’extrême, il s’efforce de composer un grand spectacle dont chaque image et chaque numéro de castagne ou cascade vire au ballet. D’une maîtrise folle, son film se paie en plus le luxe d’attraper au vol l’appétit de la saga pour le “toujours plus”, entamant son récit par sa plus invraisemblable performance physique, jusqu’à ramener progressivement l’intrigue vers un récit d’espionnage classieux et classique, qui se conclura par une séquence londonienne affolante de classe, qui respire l’âme de la série originelle.

Notre dossier sur le film

 

photo, Tom CruiseUn film qui va vite

 

120 battements par minute

Ça parle de quoi ? Au début des années 90, en pleine crise du sida, la vie d'un groupe de militants d'Act Up qui se battent contre l'indifférence générale. Ils luttent, ils aiment, ils crient, ils meurent, ils se relèvent.

Pourquoi il faut le regarder ? Le film réalisé par Robin Campillo (Les Revenants, Eastern Boys) a vite été réduit à un vulgaire film-pamphlet politique, impossible à ne pas aimer et défendu par principe dès sa présentation à Cannes (Grand Prix du Jury), et jusqu'aux César (six prix, dont meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Antoine Reinartz et meilleur espoir pour Nahuel Pérez Biscayart). C'est bien simpliste.

120 battements par minute déborde de cinéma, que ce soit lorsqu'il filme les débats tendus dans les amphithéâtres, ou la Seine teintée d'un rouge cauchemardesque. Sans oublier cette fantastique fin, où la mort, la vie, le sexe, le combat, le plaisir et la rage s'entremêlent pour apporter la touche finale à ce déchirant portrait d'une génération qui trouve son oxygène dans les hurlements.

Porté par une troupe d'acteurs et actrices de talent (notamment Arnaud Valois et Adèle Haenel), et la musique vibrante d'Arnaud Rebotini, 120 BPM est à revoir, sans hésitation.

 

Photo Arnaud ValoisRésiste, prouve que tu existes

 

Les Infiltrés

Ça parle de quoi ? De deux flics infiltrés dans la pègre bostonienne. L'un cherche à faire tomber le gang de Billy Costigan, tandis que l’autre informe ce dernier des agissements de la police.  

Pourquoi il faut le regarder ? Les Infiltrés est non seulement l’un des plus grands films de Martin Scorsese, mais aussi une œuvre d’une évidence totale. Ce remake d’Infernal affairs ne pouvait que revenir entre les mains de celui qui a inspiré le film d’Andrew Lau et Alan Mak. En résulte une pure masterclass d’écriture et de mise en scène, comme si le roi reprenait tranquillement son trône.

Porté par le talent incandescent de Leonardo DiCaprioMatt Damon et surtout Jack Nicholson, Les Infiltrés se savoure comme un thriller haletant aux accents de tragédie grecque, où mort et folie se mêlent dans un torrent d’émotions puissantes. Car derrière sa structure millimétrée se cachent des êtres en perdition, en quête d'une humanité qu’ils ont accepté de laisser au vestiaire. Une occasion rêvée pour Scorsese de travailler son obsession de la monstruosité. Indispensable ! 

 

photo, Leonardo DiCaprio, Martin SheenQuand tu expliques à ton papy pourquoi Les Infiltrés est un chef-d'oeuvre

 

13 Hours

Ça parle de quoi ? Des attentats en Libye du 11 septembre 2012. Alors que l’ambassade américaine et une base de la CIA sont attaquées, six agents de sécurité tentent à eux seuls de repousser une armée. 

Pourquoi il faut le regarder ? Décidément, Michael Bay est partout sur les plateformes de streaming, et ça tombe bien, car c’est l’occasion de (re)découvrir l’un de ses films les plus mésestimés. Sorti pendant la campagne électorale de 2016, 13 Hours a été injustement accusé de pro-trumpisme, l’horreur de Benghazi étant une bourde conséquente sur le CV d’Hilary Clinton. Pourtant, le long-métrage se prive de donner des noms, pour plonger à corps perdu avec sa troupe de soldats en proie au chaos. Qu’importe le camp ou l’appropriation politique, on est ici dans l'immédiateté, au coeur des heures les plus dures que ces six agents ont traversées.

À vrai dire, 13 Hours a même l’intelligence de rapidement se transformer en film de survie, empruntant dans son esthétique au cinéma catastrophe, voire de zombies, au point de déconstruire le conflit qu'il dépeint. La mise en scène éclatée de Michael Bay fait parfaitement sens dans cet enfer où les tirs vrillent de tous les côtés. Et surtout, le long-métrage est épaulé par la photographie du génial Dion Beebe (déjà à l'oeuvre sur l'indispensable Collatéral de Michael Mann) pour rendre une mosaïque nocturne électrique. Autant redonner une chance à ce film de guerre trop vite oublié.

Notre critique du film

 

Michael BayUn Michael Bay nuancé ? C'est possible !

 

Gone Girl

Ça parle de quoi ? Un jour, Amy Dunne disparaît sans laisser une trace. Son mari Nick affronte l'enquête, les médias, l'angoisse et les doutes, alors que la vérité sur ce mariage commence peu à peu à se révéler.

Pourquoi il faut le regarder ? Parce que c'est l'un des meilleurs films réalisés par David Fincher, cinéaste ô combien talentueux, derrière Seven, The Game, Millenium - Les hommes qui n’aimaient pas les femmes, The Social Network ou encore Mank. Il s'essayait ici à la formule a priori plus classique du thriller à twist, adapté du livre à succès de Gillian Flynn (qui a elle-même écrit le scénario). Mais de la même manière qu'il avait magnifiquement perverti les modèles du polar et enquêtes avec Seven et Zodiac, il déroule ici un parfait piège.

La perfection est le moteur de Gone Girl, pour l'héroïne tordue comme pour Fincher, qui a réuni de grands talents autour de lui. Rosamund Pike trouve ici le rôle d'une vie, Ben Affleck a rarement été si bien employé et dirigé, les seconds rôles sont parfaitement castés (Carrie Coon a notamment quelques moments parfaits), la musique de Trent Reznor et Atticus Ross est tour à tour envoûtante et cauchemardesque, la photo de Jeff Cronenweth rend brillamment service à la mise en scène glaciale du cinéaste... Et Gone Girl apparaît alors comme un grand film, ni plus ni moins.

Notre critique de Gone Girl

 

photo, Rosamund PikeMéfiez-vous de l'eau qui dort

 

BIENTÔT DISPONIBLE

American Gods – Saison 3 - 11 janvier

Ça parle de quoi ? De la lutte d’Odin et son fils pour mettre une vilaine peignée aux nouveaux Dieux, qui veulent supplanter leurs aînés, et manquent méchamment de classe. 

Pourquoi il faut la regarder ? Était-il seulement possible d’adapter la série de Neil Gaiman dans le cadre d’une super-production télévisuelle ? En tout cas, alors que se profile la troisième saison de cet OVNI hébergé par Amazon, fans de la passionnante œuvre originale et spectateurs ébahis devraient encore débattre longuement.

En choisissant de réinventer les plus anciennes mythologies européennes pour les confronter aux masques et aux colifichets d’un occident consumériste et en mal de grands récits, cette aventure inclassable joue de nos représentations symboliques, et le fait avec une direction artistique toujours aussi fastueuse. Un tour de force, quand on sait combien la production de l’ensemble a été mouvementée, à force de reports et de changement de direction du côté de la production. Il nous tarde d’autant plus de découvrir le résultat de cette nouvelle fournée.

Notre critique de la saison 2

 

photo American GodsOdin vieillit bien

 

Star Trek: Lower Decks  - 22 janvier

Ça parle de quoi ? Les aventures de l'équipage du vaisseau le plus insignifiant de la flotte Starfleet. En 2380, à bord de l'U.S.S. Cerritos, Mariner, Boimler, Rutherford ou encore Tendi s'efforcent d'accomplir leurs devoirs, tout en poursuivant leurs vies, même lorsqu'ils sont secoués par une multitude d'anomalies.  

Pourquoi il faut la regarder ? La machine Star Trek est repartie, et où va-t-elle s'arrêter ? Après deux films réalisés par J.J. Abrams et un troisième opus qui n'a pas tellement été à la hauteur que la saga est encore en pause au cinéma, la série Star Trek : Discovery a rouvert la voie à Star Trek : Picard. Et CBS All Access compte bien tirer sur la corde de la saga culte de Gene Roddenberry, avec une nouvelle version animée (la première date des années 70).

Lower Decks est clairement adressée aux plus jeunes, et le rire sera au premier plan. L'histoire suivra donc des anti-héros, c'est-à-dire ceux qui sont normalement les figurants dans l'action, cantonnés aux coursives inférieures des vaisseaux. Deux saisons ont été commandées d'un coup, preuve qu'ils y croient beaucoup.

Pour les adultes, et hormis la saison 3 de Discovery, le prochain rendez-vous de trekkie sera Star Trek : Strange New Worlds, série dérivée qui verra les retours de Spock (Ethan Peck), Pike (Anson Mount) et Number One (Rebecca Romijn).

 

 

Breaking surface - 8 janvier

Ça parle de quoi ? Quelques jours après Noël, Ida et sa soeur Tuva organisent une sortie plongée hivernale dans un coin reculé de la côte Norvégienne. Pendant la plongée, un éboulement coince Tuva sous l’eau.

Pourquoi il faut le regarder ? Parce que comme nous, vous aimez sûrement 47 Meters Down et tous les autres survival sous-marins du genre, ceux qui nous donnent l'impression de nous noyer et dont on sort avec une grande inspiration d'air frais. Pas de requin au rendez-vous a priori dans Breaking Surface (il faut dire que l'eau n'est pas des plus chaudes), mais un simple éboulement, qui va mettre les nerfs et les poumons de deux soeurs à rude épreuve.

Doté d'une photographie glaciale et probablement bien tendu aux vues de la bande-annonce, le long-métrage de Joachim Hedén était déjà disponible en VOD depuis quelques semaines en France, mais comme vous, on était trop occupés à se gaver de victuailles et de films de Noël. Rien de mieux donc qu'un petit survival pour revenir plus brutalement dans 2021.

 

photoEnsemble sous un rock

 

One Night in Miami - 15 janvier

Ça parle de quoi ? Après avoir décroché le titre de champion du monde de boxe, Mohamed Ali (Cassius Clay à l'époque) est obligé de fêter son sacre à l'écart des autres sportifs à cause de la ségrégation raciale du pays. Cette nuit du 25 février 1964 à Miami, il la passe donc à discuter avec ses amis Malcolm X, Sam Cooke et Jim Brown pour définir un monde meilleur.

Pourquoi il faut le regarder ? Parce qu'après avoir prouvé ses grands talents d'actrice au cinéma (oscar de la meilleure actrice dans un second rôle pour Si Beale Street pouvait parler) et en séries (WatchmenThe LeftoversAmerican CrimeSeven Seconds et quatre Emmys en tout), on a très envie de voir ce que l'actrice Regina King peut donner en réalisatrice.

Regina King s'est déjà adonné à l'exercice pour le petit écran, mais One Night in Miami est sa première incursion sur le terrain des longs-métrages. Et il semblerait que ce soit une jolie réussite puisque le long-métrage a été sélectionné en hors-compétition à la Mostra de Venise 2020 tout en recevant un accueil puissant à Toronto, nommé First runner-up par le public du festival (soit deuxième film préféré du public en gros) derrière Nomadland.

Bref, une place de luxe dans ce top 3 qu'ont trusté nombre de films nommés aux Oscars quelques mois plus tard (Marriage StoryParasiteRomaCall Me by Your Name3 Billboards - Les panneaux de la vengeanceMoi, Tonya, Jojo RabbitGreen Book : Sur les routes du Sud, Si Beale Street pouvait parler pour ne citer que les trois dernières années). Vivement donc.

 

photoUne nuit pour rêver et espérer

 

Songbird - 15 janvier

Ça parle de quoi ? D’une version mutée et encore plus dangereuse de la Covid-19, qui a imposé un confinement strict depuis quatre ans. Et au milieu de tout ça, une vague histoire d’amour. 

Pourquoi il faut le regarder ? D’abord distribué en VOD, Songbird a été attaqué de toutes parts depuis son annonce. Jugé opportuniste, ce premier film jouant sur l’actualité de l’épidémie aurait pu être un objet socio-historique intéressant. Malheureusement, il aurait fallu pour cela qu’Adam Mason n’écrive pas son scénario en quelques jours et filme le tout comme un lemming neurasthénique.

Malgré deux-trois idées qui auraient mérité à être approfondies (notamment sur les conflits de classe que peuvent provoquer une telle situation de crise), Songbird se perd sous une avalanche de sous-intrigues insipides. À recommander pour la curiosité malsaine, ou si vous voulez vous infliger une bonne dose d’anxiété.  

Si vous voulez en savoir plus sur Songbird, notre critique est par ici.

 

photo, K.J. Apa, Sofia CarsonUn nouveau type de relation à distance

 

Paradise Hills - 21 janvier

Ça parle de quoi ? Uma est une jeune femme qui se réveille piégée sur une île bien étrange. À première vue, tout paraît idyllique. Or, le paradis tourne bientôt au cauchemar. En effet, l'île est un centre de redressement pour les jeunes mariées rebelles. Uma et ses nouvelles amies vont tenter par tous les moyens de s'échapper de l'île.

Pourquoi il faut le regarder ? Sillonnant les festivals depuis presque 2 ans et déjà sortie dans beaucoup de pays, cette sorte de dystopie localisée au casting pour le moins hétérogène (Emma Roberts, la Danielle Macdonald de Patti Cake$, la Awkwafina protégée de Disney, la Eiza González de Baby Driver et la Milla Jovovich de tous ces films que vous voulez oublier) débarque enfin en France sur la plateforme.

Si les critiques américaines, très mitigées, ne vous refroidissent pas, c'est donc l'occasion de rattraper le temps perdu et profiter d'une esthétique indéniablement pop et multicolore et d'un scénario bien sûr probablement frontalement féministe. Le film se veut une sorte de croisement entre un Alice au pays des merveilles adolescent et un Black Mirror au féminin. Espérons qu'il soit à la hauteur de ces références.

 

photo, AwkwafinaUn astucieux casque anti-pigeons

 

The Personal History of David Copperfield - 26 janvier

Ça parle de quoi ? La vie de David Copperfield, de son enfance dans la pauvreté à son succès en tant qu'auteur, soit l'adaptation du roman éponyme de Charles Dickens.

Pourquoi il faut le regarder ? Parce que le film est enfin disponible depuis le temps qu'on l'attendait. Après avoir été plus que salué lors de son passage au festival de Toronto en septembre 2019, le film a reçu une multitude de récompenses au British Film Independant (scénario, second rôle pour Hugh Laurie, costumes..) et a malheureusement disparu des écrans radars. Prévu pour une sortie en mai 2020 aux États-Unis, le film a subi la crise pandémique et est finalement sorti un peu en catimini le 28 août (alors que Tenet monopolisait les écrans et l'attention).

Depuis, on espérait le voir sur les écrans français et c'est donc grâce à Amazon que le long-métrage sera visible chez nous. Autant dire que c'est une jolie prise pour la plateforme puisqu'il s'agit tout de même du nouveau film de Armando Iannucci, aka le réalisateur des amusants La Mort de Staline et In the loop, mais aussi créateur des séries délirantes The Thick of It et surtout Veep.

Notre critique de l'ultime saison de Veep

 

Photo Dev PatelEh oui, c'est Dev Patel qui joue Copperfield

 

Mais aussi...

New York, unité spéciale - saisons 11 à 13, James May: Oh Cook!South Park - saison 23, Jessy & Nessy - saison 1, Terminator : GenisysNinja Turtles 2La Famille AddamsUn Crime dans la têteVery Bad DadsJours de TonnerreGhostLa Fièvre du samedi soirDiamants sur canapéUne merveilleuse histoire du tempsPattayaL'ArnacœurBabysittingMission : Impossible...

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commentaires
fuck
09/01/2021 à 11:20

Pratiquement que du réchauffé. Amazon Prime c'est vraiment pas bon pour le moment.