Critique : vaillant, pigeon de combat !
Après une fin d'année 2004 particulièrement faste (Le pôle express, Les indestructibles et, dans un autre registre, Ghost in the shell : Innocence), puis un
Après une fin d'année 2004 particulièrement faste (Le pôle express, Les indestructibles et, dans un autre registre, Ghost in the shell : Innocence), puis un
Une série qui côtoie au quotidien ou presque la mort avec un grand « F » (pour Faucheuse), voilà un concept qui ne pouvait que surprendre.
Énième exemple de ce nouveau cinéma français qui essaie de se donner les moyens de faire du gros cinéma hollywoodien mais ne parvient qu'à brasser du vent,
Ours d'Or à Berlin en 2004, Head-On brasse une multitude de thèmes mais garde en ligne de mire son sujet principal, récurrent dans le cinéma social contemporain
Protégé de Katsuhiro Otomo (Akira, Steamboy), le réalisateur japonais Satoshi Kon s'émancipe en 1997 avec le thriller animé, et dérangé, Perfect Blue, qui
Hong Sang-Soo n'a qu'un seul point commun avec Kim Ki-Duk, l'autre réalisateur coréen à la mode actuellement en France : depuis qu'ils ont été découverts,
Comme pour Mensonges et Trahisons, Luc Besson aime à donner un coup de pouce à un jeune auteur via sa boîte de diffusion Europacorp. C'est le cas avec Le Souffleur,
Le meilleur moyen de juger une comédie n'est-il pas de mesurer le taux de rires pendant une projection de presse ?
De loin, le nouveau film du réalisateur de Pour le pire et pour le meilleur a les allures d'une gentille comédie américaine un peu mal foutue aux entournures.
À l'heure où Disney a supprimé son département d'animation 2D, il est bon de se replonger avec nostalgie dans Bambi, au travers de cette réédition numérique
L'auteur d'Othello sert ici de background culturel à un film qui décortique laborieusement l'ambivalence des sexes à travers une relation amoureuse pour le moins
Le cinquième épisode.