Le bûcher des vanités : critique
Brillante adaptation du livre de Tom Wolfe, Le Bûcher des vanités constitue une nouvelle preuve de la maestria technique de Brian De Palma. Et ce, dès la scène
Brillante adaptation du livre de Tom Wolfe, Le Bûcher des vanités constitue une nouvelle preuve de la maestria technique de Brian De Palma. Et ce, dès la scène
Brian De Palma a toujours été un peu mort. Pas moyen de trouver une de ses réussites qui ne soit pas construite à partir d'un matériau préexistant, comme
Coincé entre deux de ces plus grandes réussites, Furie et Pulsions, Home movies apparaît comme une espèce de happening festif où Brian de Palma, non content
Wise guys (Mafia salad en VF : beurk !!!) est une immense anomalie dans la carrière de Brian De Palma. Qualifié de « bizarre et idiot » par son propre auteur,
Second long-métrage de Brian De Palma, Hi, mom ! est déjà dominé par deux des obsessions futures du réalisateur : la place prépondérante donnée à la caméra,
Récompensé par le grand prix du festival d'Avoriaz en 1977, Carrie (on peut aisément se passer du racoleur « au bal du diable » rajouté au titre original par
John Travolta piégé dans un complot politique qui lui coûtera très cher : c'est Blow Out, l'un des meilleurs films de Brian De Palma.
Tron fut en son temps, c'est à dire il y a déjà de cela plus d'un quart de siècle (que ceux dont la mâchoire pendouille devant cette prise de conscience du
Une saga parfaitement réglée comme un piège du Jigsaw.
« Oui. Je l'ai tué. Pour l'argent et pour une femme. J'ai pas eu l'argent. Et j'ai pas eu la femme. » C'est par cette confession que démarre Assurance sur la
Etrangement emporté par la vague de films dédiés au danger atomique qui triomphait au début des années 50 et qui nous donna des chefs-d'uvre du niveau du
Adapter le roman d'initiation sentimentalo-érotique écrit dans les années 1920 par D.H. Lawrence, c'est se préparer un chemin semé d'embûches tant cette uvre