L'odyssée spatiale de Brian De Palma Misson to Mars est bien un film « depalmien ». Certes débarqué tardivement sur un projet impersonnel pour remplacer au
Outrages n'est pas un film de guerre et encore moins un film sur la guerre du Viêt-Nam, c'est un film sur les crimes et les atrocités que l'on peut être amené
Bregman / Pacino / De Palma : le trio responsable de Scarface se reforme quinze ans plus tard. C'est en quelque sorte le retour de Tony Montana que nous proposent
Avant de réaliser l'un de ses meilleurs films (L'Impasse), Brian De Palma commet à l'aube des années 90, l'une de ses oeuvres les moins abouties, celle que
Premier film de studio pour De Palma dont les précédents films ont été initiés par des producteurs indépendants (Ed Pressmann en tête) et distribués par
S'il est bon de se replonger dans les premiers essais cinématographiques de Brian de Palma, cette découverte doit se mesurer à l'aune de toute l'uvre d'un des
Brillante adaptation du livre de Tom Wolfe, Le Bûcher des vanités constitue une nouvelle preuve de la maestria technique de Brian De Palma. Et ce, dès la scène
Brian De Palma a toujours été un peu mort. Pas moyen de trouver une de ses réussites qui ne soit pas construite à partir d'un matériau préexistant, comme
Dès les premières minutes de Obsession, vrai-faux remake de Vertigo, Brian De Palma avoue tout, pas besoin de longs discours cinéphiliques...
Coincé entre deux de ces plus grandes réussites, Furie et Pulsions, Home movies apparaît comme une espèce de happening festif où Brian de Palma, non content
Wise guys (Mafia salad en VF : beurk !!!) est une immense anomalie dans la carrière de Brian De Palma. Qualifié de « bizarre et idiot » par son propre auteur,
Récompensé par le grand prix du festival d'Avoriaz en 1977, Carrie (on peut aisément se passer du racoleur « au bal du diable » rajouté au titre original par
