Critique : fog
Nouvelle tentative de remaker un « classique » du cinéma d'horreur des années 70-80, The Fog 2005 est une abomination filmique de 103 minutes. Tout y est absolument
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Qu’il soit un elfe, un journaliste, un coureur automobile et maintenant une star du patinage artistique, Will Ferrell est un véritable caméléon et surtout
Étonnamment, peu de cinéastes s'étaient jusqu'ici intéressés aux pompiers, aux dangers qui les guettent à tout moment, à la drôle de fascination exercée
Est-il possible qu’un film de studio américain puisse passer aujourd’hui entre les filets des projections-test ? La question mérite d’être posée lorsque
Dans les années 1960 deux groupes anglais dominent le rock : les Beatles et les Stones. Les premiers ayant refusé l'offre de Godard de participer à son film,
1er avis Un accident, une miraculée, un lieu abandonné étrangement attractif, des apparitions diaboliques, une dimension parallèle : le décor est
Road-movie magnifique où le sens visuel et esthétique de Ridley Scott fait merveille (rarement la beauté du paysage américain n'aura été aussi bien mis en
Figure mythique du cinéma d'horreur des années 80, véritable icône pop à l'aura démentielle.
Dans The eye, le plus gros succès des frères Pang, une jeune aveugle recouvrait la vue suite à une greffe de cornée, sans savoir qu'elle allait plonger peu
Chef-d'œuvre du cinéma expérimental japonais des années 1960, la Femme des sables est une expérience cinématographique rare. Entre allégorie et réalisme
Plus encore que le déjà gratiné la Terreur des morts-vivant, Réveillon sanglant est un irrésistible nanar d'horreur qui cumule tout ce qui peut réjouir dans
C’est un euphémisme de dire que Park Chan-wook était attendu au tournant après sa trilogie sur la vengeance. Découvert pour beaucoup avec Sympathy