Les nouveautés films et séries à voir sur Amazon Prime en mars

Mathieu Jaborska | 8 mars 2021 - MAJ : 09/03/2021 15:58
Mathieu Jaborska | 8 mars 2021 - MAJ : 09/03/2021 15:58

Parce qu'il n'y a pas que Netflix dans ce monde et que d'autres plateformes voient leur catalogue grandir chaque jour, chaque semaine et chaque mois, on a décidé de faire le point sur les nouveautés prévues sur Amazon Prime VideoChaque début de mois, Ecran Large reviendra donc sur quelques nouveautés ajoutées par Amazon Prime Video dans son catalogue, films et séries confondus, originaux ou pas, dans une liste non exhaustive.

Alors, quels sont les films et les séries à ne pas manquer sur la plateforme de streaming en ce mois de mars ?

 

photo, Martin FreemanC'est parti pour l'aventure !

 

déjà disponible

Grey's Anatomy - saison 16

Ça parle de quoi ? Entre deux coups de bistouri et d’énièmes problèmes de couples, les médecins du Grey Sloan Memorial continuent leurs longues aventures, tandis que Meredith a été renvoyée après une faute grave. 

Pourquoi il faut le regarder ? Dans le domaine des curieux accidents industriels, la seizième saison de Grey’s Anatomy s’est transformée en objet déliquescent absolument fascinant. À cause de la Covid-19, la production de la série s’est retrouvée soudainement stoppée, et a obligé la chaîne ABC à se contenter de 21 épisodes se concluant en eau de boudin.

Mais surtout, la création phare de Shonda Rhimes a dû faire face au départ précipité de l’acteur Justin Chambers, l’interprète du docteur Karev. Pas de bol, sa sortie de champ a été sacrément ratée. Alors que la série a cherché en permanence à se renouveler, Grey’s Anatomy n’a désormais plus que son personnage-titre pour conserver l’héritage des premières saisons. Il serait peut-être de penser à conclure... 

 

photo, Justin Chambers"Et c'est une fin de tournage pour Justin !"

 

4 films de Terrence Malick (Le Nouveau MondeÀ la merveilleKnight of Cups et Song to Song le 30 mars)

Ça parle de quoi ? De Pocahontas, de nature magnifique, et du sens de la vie ausculté par la caméra d’un grand cinéaste.  

Pourquoi il faut les regarder ? Amazon s’est montré d’humeur généreuse en allant récupérer quelques films du maître Terrence Malick, à commencer par l’un de ses chefs-d'œuvre : Le Nouveau monde. Pour sa relecture de l’histoire de Pocahontas, le réalisateur a délivré un regard aussi personnel que sublime sur la naissance de l’Amérique.

Son habituelle longue focale a, non seulement, capté avec force une nature sauvage, mais aussi les tourments d’êtres perdus dans cette immensité qu’ils cherchent à apprivoiser. Pour autant, Malick a également tissé une histoire d’amour déchirante, portée par la force d’évocation d’un montage d’une maîtrise totale.

 

photo, Q'orianka KilcherUn film qu'il est beau

 

Si Le Nouveau Monde est un long-métrage finalement assez limpide (à l’échelle de Malick), il est possible de se perdre dans sa trilogie plus expérimentale, réalisée après le sacre de The Tree of Life et composée d’A la merveille, Knight of Cups et de Song to Song.

L’auteur s’est entièrement plongé dans un exercice de montage déstabilisant, où les plus grands acteurs en activité (Christian Bale, Natalie Portman, Natalie Portman, Cate Blanchett, Ryan Gosling, Michael Fassbender, Rooney Mara...) lui ont servi de réceptacle pour interroger ses doutes, ses peurs, et ses questionnements sur la foi avec une sensibilité bouleversante. Pour peu qu’on accepte de se laisser emporter, le voyage dans ce labyrinthe de symbolisme nébuleux en vaut clairement la chandelle.  

 

Photo Rooney Mara"I'm giving you a night call to tell you how I feel"

 

La Cité de l'ombre

Ça parle de quoi ? Pour que l'humanité survive à la fin du monde, la cité sous-terraine d'Ember a été installée dans les profondeurs de la Terre. Pendant 200 ans, elle devra rester coupée du monde, et les secrets pour s'en échapper resteront enfermés dans une boîte précieuse. Mais au fil des années, le savoir se perd, et Ember commence à se détériorer. Face aux pannes d'électricité qui menacent la survie de la population, deux adolescents décident de trouver une solution.

Pourquoi il faut le regarder ? Parce que c'est l'adaptation d'un livre très amusant de Jeanne DuPrau, scénarisée par Caroline Thompson (scénariste d'Edward aux mains d'argent et La Famille Addams), et qui marquait les premiers pas du réalisateur Gil Kenan dans les prises de vue réelles après Monster House. Avec Saoirse RonanHarry Treadaway (Penny Dreadful), et un joli casting de seconds rôles (Bill Murray, Toby Jones, Mary Kay Place, Tim Robbins, Martin Landau). Bref, une belle équipe sur le papier.

Sorti en 2008, avant la grande et triste vague de films young adult (Hunger Games, Le Labyrinthe, Sublimes créatures, Divergente), La Cité de l'ombre se déroule dans un univers excitant, visuellement plus soigné que la moyenne. Dommage que le spectacle ne soit pas à la hauteur en termes de rythme, aventure et magie, laissant l'impression d'un bon rendez-vous manqué. Le film a d'ailleurs été un flop à sa sortie.

 

Photo Saoirse RonanLa chasse au trésor a commencé

 

Super 8

Ça parle de quoi ? Alors qu'ils tournent un film en super 8, un groupe d’adolescents est témoin d'une spectaculaire catastrophe ferroviaire. Ils ne tardent pas à comprendre qu'il ne s'agit pas d'un accident. 

Pourquoi il faut le regarder ? Avant d’aller tâter du Star WarsJ.J. Abrams s’est associé à son idole de toujours Steven Spielberg pour livrer un pur hommage aux années 80 et à l’esprit Amblin. Annonçant à sa manière le phénomène Stranger Things, Super 8 a pourtant transcendé son postulat nostalgique et opportuniste.

Derrière sa dimension de film SF sous inspirations, Abrams a signé un bel hommage à la cinéphilie et aux cinéastes en herbe. Si l'auteur a toujours été fasciné par les séquences purement visuelles, Super 8 n’a pas dérogé à la règle au vu de son introduction à la puissance d’évocation dévastatrice. Mais surtout, le film s'est tout entier porté sur des personnages en quête de communication, alors que son jeune héros (un alter-ego clair du réalisateur) s’est réfugié dans le septième art et la pop culture pour éluder son deuil. Un portrait semi-autobiographique touchant, et sans nul doute l'un des meilleurs films du réalisateur.

 

photo, Joel Courtney, Kyle Chandler, Elle Fanning, Ron EldardQuand tu regardes Abrams se crasher avec Star Wars IX

 

Un Prince à New York 2

Ça parle de quoi ? Dans le luxuriant pays royal du Zamunda, le nouveau roi Akeem et son fidèle confident Semmi se lancent dans une toute nouvelle aventure comique à travers le monde, en partant de leur grande nation africaine jusqu’au quartier du Queens, à New York - où tout a commencé.

Pourquoi il faut le regarder ? Le revival des années 1980 continue à exploiter l'absolue intégralité des succès de l'époque. La filmographie d'Eddie Murphy avait été plus ou moins épargnée jusqu'ici. Mais certains se sont souvenus du succès économique indéniable d'Un prince à New York, et se sont mis en tête de prolonger la formule, histoire de draguer les fans de l'acteur, nostalgiques de son apogée.

Si les origines du projet ont tout du calcul mercantile, son développement a de quoi rassurer les puristes, ou les cinéphiles amateurs de comédies enjouées. À commencer par le casting, qui fait évidemment rempiler Murphy (on n'ose imaginer l'échec de la chose sans lui), mais aussi Arsenio Hall, interprète de Semmi, James Earl Jones et Shari Headley. Plusieurs nouvelles têtes font également leur apparition, comme Jermaine FowlerLeslie Jones, vue dans S.O.S. Fantômes, le Tracy Morgan de 30 RockKiKi Layne, inoubliable dans Si Beale Street pouvait parler ou même Wesley Snipes, venu s'occuper du vampire de Brooklyn.

Quant à la réalisation, elle sera assurée par un artiste bien connu des fans de Murphy. Craig Brewer s'était occupé de Dolemite is my name en 2019, diffusé sur Netflix. Quoi de plus logique qu'il finisse cette fois sur Prime, accompagné par David Sheffield et Barry W. Blaustein, les co-scénaristes de l'original ?

Notre critique du film

 

photo, Eddie Murphy, Arsenio HallBack in town

 

Charmed - L'intégrale

Ça parle de quoi ? De trois (mais en fait quatre) sœurs sorcières, qui affrontent plein de problèmes et monstres à San Francisco.

Pourquoi il faut la regarder ? Parce que la Trilogie du samedi est bien loin. Le temps a depuis fait son travail, et révélé à quel point Charmed n'était vraiment pas le meilleur de cette époque côté série. Car à l'époque, la série créée par Constance M. Burge et notamment produite par Aaron Spelling (Beverly Hills, Melrose Place, 7 à la maison) était un petit phénomène, dans la veine de Buffy contre les vampires lancée un an et demi plus tôt.

C'était notamment grâce à la popularité de Shannen Doherty malgré son départ de Beverly Hills, et celle d'Alyssa Milano, éternelle Samantha de Madame est servie. D'autant que l'idée d'origine était amusante, puisque centrée sur une famille dysfonctionnelle, dotée de pouvoirs directement liés à leurs personnalités : Prue, l'aînée qui veut tout maîtriser, déplacera les choses par la pensée ; la benjamine insouciante aura des visions de l'avenir ; et la cadette, coincée entre ses soeurs énervées, pourra suspendre le temps.

 

photo, Alyssa Milano, Shannen Doherty, Holly Marie CombsOn se souvient de cet épisode, bien sûr

 

Mais Charmed a très mal vieilli, la faute à une production très symptomatique des années 90-2000 : une écriture très simplette, une mise en scène transparente, des effets visuels laids et desservis par la direction artistique, et finalement rien d'autre qu'un petit divertissement destiné à vieillir (contrairement à Buffy, au hasard).

Les meilleurs moments ont finalement été forcés par le destin (le départ de Shannen Doherty, et la mort brutale de son personnage), et l'arrivée de Rose McGowan pour reformer par magie un trio n'a pas aidé - et encore, on ne parle pas de la dernière ligne droite, avec Kaley Cuoco. Charmed a donc vite sombré dans le triple Z télévisuel. Mais ça peut rester drôle à revoir, pour les nostalgiques.

 

photo, Kaley CuocoLe pouvoir des trois ne nous délivrera pas à ce stade

 

BIENTÔT DISPONIBLE

Vanguard - 15 mars

Ça parle de quoi ? Une équipe de sécurité privée protège un businessman et sa fille contre les menaces d’une organisation terroriste.

Pourquoi il faut le regarder ? Jackie Chan. Jackie Chan. Et Jackie Chan. Le comédien est toujours en pleine forme, même s'il ne peut s'empêcher de parodier son âge, comme le font beaucoup d'action star des années 1980 et 1990. Et pour ça, il retrouve le cinéaste Stanley Tong qui l'avait déjà dirigé dans Kung Fu YogaThe Myth ou encore, bien plus tôt, dans Jackie Chan dans le Bronx et plusieurs Police Story.

Chan fait donc son propre Red où il aime souligner qu'il n'est plus le pro de la cascade, tout en prouvant le contraire et en défouraillant à tout va. Son personnage et ses collègues se battent sur un porte-avion, en pleine ville, au bord d'une cascade, à coups d'overboard, d'ananas, contre des méchants, des lions, des hyènes... Bref, comme souvent avec l'acteur - et le réalisateur -, c'est la générosité qui prime. Qu'importent une photo apparemment pas fameuse et des dialogues probablement vraiment bêtes.

 

photo, Jackie ChanToujours debout, toujours la banane

 

Trois souvenirs de ma jeunesse - 20 mars

Ça parle de quoi ? Après plusieurs années à avoir voyagé à travers le monde, Paul Dédalus est arrêté par la DGSE lors de son retour en France. Interrogé, il se remémore son passé et notamment d'Esther, pendant ses années lycée.

Pourquoi il faut le regarder ? Parce que c'est une des plus belles propositions récentes d'Arnaud Desplechin tout en étant la continuité de ses deux films précédents consacrés à son personnage Paul Dédalus, à savoir Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle) et Un conte de NoëlInjustement boudé par Thierry Frémaux à Cannes, le film avait illuminé la Quinzaine des Réalisateurs. Il faut dire que Trois souvenirs de ma jeunesse est une proposition quasiment unique du teen movie porté par le parfait duo Quentin Dolmaire-Lou Roy-Lecollinet.

Film sur l'adolescence mêlant à la fois la douceur et délicatesse de cette période à sa rudesse et ses désillusions, le cinéaste français y incorpore surtout une grande dose de romanesque. Le moyen de faire de son long-métrage une grande quête sur le soi, mais aussi une bal(l)ade complexe, quasi labyrinthique, sur les sentiments, l'amour et le souvenir évidemment. 

 

Photo Quentin Dolmaire, Lou Roy-LecollinetDes regards, des non-dits, des sentiments...

 

La trilogie Le Hobbit - 23 mars

Ça parle de quoi ? D’individus poilus et de petite taille qui s’allient pour libérer une montagne du vilain dragon qui l’occupe. Une saine aventure, qui engendrera moult péripéties et une guerre totale.

Pourquoi il faut le regarder ? La seconde trilogie consacrée par Peter Jackson à l'oeuvre de J.R.R Tolkien est très loin d'avoir fait l'unanimité, et pourtant, elle mérite sans doute d'être appréhendée avec plus d'indulgence qu'initialement. Contient-elle des connexions inutiles au Seigneur des anneaux ? Son choix du quasi-tout numérique retire-t-il une partie de son charme à la direction artistique ? Sans doute, mais ce n'est pas pour autant que le réalisateur a oublié de nous en mettre plein la figure.

Comptant parmi les récits d'aventures les plus spectaculaires et généreux de ces dernières années, loin devant les remugles du MCU, la trilogie du Hobbit est une mine d'idées démentes, d'affrontements vertigineux et de trouvailles visuelles. Le casting n'est pas en reste, et si le premier chapitre a un  peu du mal à nous offrir de grands moments d'interprétation, tout s'améliore dans les deux films suivants, où les figures de Richard ArmitageMartin Freeman et Luke Evans gagnent beaucoup en épaisseur. Enfin, impossible d'oublier l'ultime bataille qui compose un troisième épisode en forme de climax, lequel compte toujours parmi les accomplissements les plus délirants de Jackson.

Notre retour sur le premier volet de la trilogie

Le duel Seigneur des anneaux vs Le Hobbit : quelle est la meilleure saga

 

photoC'est plus ce que c'était Interville

Alliés - 23 mars 

Ça parle de quoi ? La guerre c'est difficile, mais quand il faut en plus, s'infiltrer chez les nazis, réussir sa mission tout en tombant amoureux avant de s'assurer que l'élu de son coeur n'est pas un agent double, on commence à voir flou.

Pourquoi il faut le regarder ? Sorti dans l'indifférence générale, ce film de Robert Zemeckis vaut infiniment mieux que sa réputation de resucée vieillotte du cinéma d'espionnage. Loin du classicisme qu'il feint de revendiquer, le cinéaste s'amuse à pervertir progressivement les figures classiques qu'il invite dans son récit, pour nous livrer une belle fable méta. Plutôt que d'essayer de nous passionner pour la Seconde Guerre mondiale, Zemeckis nous pose deux questions passionnantes.

Toute fiction est-elle forcément un mensonge, et comment l'amour s'affranchit-il de la vérité ? Porté par des jeux de miroirs à la fois cruels et pervers, Brad Pitt et Marion Cotillard jouent avec nous devant une caméra qui maîtrise parfaitement l'espace et transforme progressivement chaque image en un champ de bataille sur le point d'imploser, jusqu'à un final tragique et émouvant.

Notre critique du film

Dix scènes cultes du cinéma de Robert Zemeckis

 

Photo Brad Pitt, Marion Cotillard"Et ça, c'est pour Dark Knight Rises"

 

Birdman - 24 mars

Ça parle de quoi ? Riggan Thomson, ancien interprète de Birdman à Hollywood, est devenu un acteur oublié tourmenté par ses choix, son ego et son entourage. Il tente de faire un comeback sur les planches de Broadway.

Pourquoi il faut le regarder ? Parce qu'il serait idiot de se passer d'un des grands films de ces dernières années. Prouesse technique de Alejandro González Iñárritu et de son chef opérateur Emmanuel LubezkiBirdman est un long-métrage construit autour d'un unique (faux) plan-séquence qui vient retracer les tourments, émotions, doutes, regrets et finalement pensées de son personnage principal Riggan Thomson. Introspection fascinante autant visuellement (la photo de Lubezki) que techniquement (le défi du plan-séquence donc), le film est également une réflexion ironique et tragi-comique sur l'industrie du cinéma, la critique, et la frontière fine entre fiction et réalité.

L'oeuvre quadruplement oscarisée (dont meilleur film) a d'ailleurs un propos profondément meta avec Michael Keaton en rôle principal, lui qui a perdu de son aura après avoir incarné Batman deux fois pour Tim Burton. De fait, Birdman se transforme, en plus d'être un tour de force visuel, en un portrait amer du showbiz, entre poésie et surréalisme, sobriété et grandiloquence, douceur et ardeur. Bref, en une oeuvre vivante et brillante.

Notre critique du film

 

photo, Michael KeatonMichael Keaton, dans le rôle de sa vie ?

 

Invincible - 26 mars

Ça parle de quoi ? Un tout jeune homme, fils du plus grand super-héros à n’avoir jamais existé, découvre ses propres pouvoirs, et réalise que l'héritage paternel est moins glorieux qu'il n'y paraît.

Pourquoi il faut le regarder ? Voici une série animée qui fera l'évènement à plus d'un titre. Tout d'abord, parce que la plateforme Amazon, plutôt que de jouer la surenchère de grand spectacle héroïque familiale à la Marvel, a opté avec le carton planétaire de The Boys, pour une approche critique et agressive. Et comme sur le papier, ce récit a plusieurs arguments pour s'inscrire dans une veine similaire, tout le monde se demande si Invincible connaîtra un succès comparable.

Enfin, le dessin animé est l'adaptation des comics écrits par Robert Kirkman, qui n'est pas exactement le dernier des tâcherons en matière de narration, puisqu'on lui doit également une création qui a passionné des dizaines de millions de personnes de par le monde. Avec The Walking Dead, il s'est imposé comme un des grands conteurs, scénaristes et producteurs de ce début de XXIe siècle et on est logiquement curieux de voir la forme que prendra la suite de sa carrière.

 

photoQuand Ecran Large t'offre un poste de stagiaire

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commentaires
Stavos
08/03/2021 à 16:39

Je ne trouve pas "La Cité de l'Ombre", vous êtes sûrs qu'il est dispo sur Prime ?

alors la
08/03/2021 à 12:40

HA ! Carrément d'accord, need terriblement cette saison 4 de The Good Fight :(

Sha'Romnin
08/03/2021 à 11:47

Mais où est la saison 4 de The Good Fight :'-(