À la merveille : Critique
Œuvre mineure, décalcomanie maniériste de la précédente, panthéisme de
bazar, élégie poseuse et superficielle... on entend au sujet de À la
merveille
Même s’ils se sont connus sur le tard, la passion qu’ont vécue Neil et Marina à la Merveille - Le Mont-Saint-Michel - efface les années perdues. Neil est certain d’avoir trouvé la femme de sa vie. Belle, pleine d’humour, originaire d’Ukraine, Marina est divorcée et mère d’une fillette de 10 ans, Tatiana. Désormais, le couple est installé dans l’Oklahoma. Leur relation s’est fragilisée : Marina se sent piégée. Dans cette petite communauté américaine, elle cherche conseil auprès d’un autre expatrié, un prêtre catholique nommé Quintana. L’homme a ses propres problèmes : il doute de sa vocation… Marina décide de retourner en France avec sa fille. Neil se console avec Jane, une ancienne amie à laquelle il s’attache de plus en plus. Lorsqu’il apprend que rien ne va plus pour Marina, il se retrouve écartelé entre les deux femmes de sa vie. Le père Quintana continue à lutter pour retrouver la foi.
Œuvre mineure, décalcomanie maniériste de la précédente, panthéisme de
bazar, élégie poseuse et superficielle... on entend au sujet de À la
merveille
Plus excessif et éthéré encore que The Tree of Life, A la merveille repousse les limites de l'abstraction Malickienne.
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Alors que son film Une Vie Cachée était projeté à Cannes à l’occasion de sa 72e édition, Terrence Malick travaillerait déjà sur un nouveau projet.