Les 10 meilleurs dragons au cinéma (Le Hobbit, Disney, Shrek, Cœur de dragon...)

La Rédaction | 10 mars 2024
La Rédaction | 10 mars 2024

La sortie de La Demoiselle et le dragon sur Netflix constitue une superbe excuse pour lister nos dragons de cinéma préférés.

Dans La Demoiselle et le dragonMillie Bobby Brown s'en va occire de la grosse bébete pour Netflix. Et tout le monde aime les dragons, même s'ils sont mine de rien relativement rares au cinéma. Et Ecran Large ne fait pas exception.

On a donc saisi l'occasion pour parler de nos 10 dragons préférés au cinéma. Par soucis de concision, on a décidé de se limiter aux dragons occidentaux. Exit par exemple Falkor de L'Histoire sans fin, dont l'équipe a débattu de la pertinence avant de l'écarter, ou bien entendu la multitude de dragons asiatiques qui peuplent le cinéma oriental.

 

L'Histoire sans fin : photoLes dragons shootés ne comptent pas, désolé

 

Smaug (Le Hobbit)

 

Le Hobbit : La Désolation de Smaug : photoSmaug wins everyday

 

C'est peu de dire que la trilogie de Peter Jackson n'a pas fait l'unanimité. Mais s'il y a bien un aspect qui met tout le monde d'accord, c'est le fameux Smaug, figure centrale du roman attendue le couteau entre les dents par les inconditionnels de Tolkien. En effet, le défi était de taille : non seulement le personnage est massif, littéralement légendaire, mais Bilbo le Hobbit étant un conte pour enfants, il s'agit d'un être intelligent et surtout bavard.

Le cinéaste et son équipe étaient bien conscients de l'attente autour de la bestiole, puisque le premier volet s'achève sur un cliffhanger redoutable annonçant son réveil. Quant au deuxième, justement intitulé La Désolation de Smaug, il s'applique à faire monter la sauce avant une séquence de dialogue chez Picsou et un climax tonitruant, qui montre le dragon affronter la bande de nains. Enfin, il illumine l'ouverture de La Bataille des cinq armées, jusqu'à une mort sublime, inspirée par une illustration chère à l'un des membres de l'équipe technique.

 

Le Hobbit : La désolation de Smaug : Photo Martin Freeman, Benedict CumberbatchDents dures

 

C'est bien simple : ses plusieurs dizaines de minutes d'apparition constituent aux yeux de beaucoup la meilleure partie de la trilogie. Son design est une réussite. Les artistes de Weta Workshop et l'illustrateur John Howe sont parvenus à restituer sa taille plus qu'intimidante, tout en lui donnant un faciès très expressif, surtout au niveau de la bouche, laquelle dit tout du niveau de sournoiserie du monstre.

Mais au-delà de son apparence, c'est aussi sa voix, prêtée par Benedict Cumberbatch et transformée par les sound designers, qui fait sonner sa monumentale cruauté. En salles, les caissons de basses font trembler les murs dès qu'il prend la parole, comme pour nous enfermer aux côtés de Bilbon dans son antre. De quoi rafler le titre de meilleur dragon de cinéma ? Ça se discute.

 

Draco (Coeur de Dragon)

 

Cœur de dragon : photo, Dennis QuaidNe dites plus "VO ou VF ?", mais "Sean Connery ou Philippe Noiret ?"

 

Pas facile de concevoir un dragon qui puisse être à la fois majestueux, menaçant, mais aussi humain et comique. Surtout si, en plus, il faut qu’il ressemble à... Sean Connery. Cette hybridation improbable était celle imaginée par le réalisateur Rob Cohen après sa récupération (quelque peu abusive) du projet écrit par Patrick Read Johnson : Cœur de dragon

Dans ce film d’heroic fantasy sorti en 1996, le dragon est le premier de son genre à être entièrement généré numériquement, d’après les maquettes conçues par Phil Tippett et le sculpteur Peter Konig.

 

Cœur de dragon : photoLe vrai monstre du loch Ness

 

Inspiré des statues de dragons félins gardant l’entrée des temples chinois, le design de Draco emprunte également au serpent et au gorille. Et à Sean Connery, donc, qui prête sa voix à la créature (les enfants des années 90 l’auront découvert à la télévision avec la voix de Philippe Noiret), et dont les expressions du visage ont servi de référence à l’animation de Draco. 

Dans ce film bourré d’idées géniales mais malheureusement trop parasité par le ton familial (si ce n’est enfantin) que Rob Cohen a voulu lui insuffler, Draco fait office de brouillon (parfois un poil grotesque) pour ce que Le Seigneur des Anneaux proposera quelques années plus tard.

Arrivé après le phénomène Jurassic Park (qui décidera Rob Cohen et la productrice Rafaella de Laurentiis à abandonner la piste des animatroniques au profit du numérique) mais avant l’avènement de l’heroic fantasy enclenché par Peter Jackson, Cœur de Dragon est à la fois suiveur et précurseur, succès ponctuel mais éclipsé dans l’histoire du cinéma par les sagas phénomènes qui l’ont fait tomber dans l’oubli. Reste que Draco est, à cette date, l’un des rares dragons de cinéma à être un véritable personnage principal de son film, et une pierre angulaire du progrès des effets numériques dans la fiction.

Vermithrax Pejorative (Le Dragon du lac de feu)

 

Le Dragon du Lac de Feu : photo, Peter McNichollPas si péjoratif

 

Au début des années 1980, Disney fait quelques expériences étonnantes en prises de vue réelles, adressées à un public plus adulte qu'à l'accoutumée. Deux ans après le sympathique film de science-fiction Le Trou Noir, le studio plonge dans la fantasy avec Le Dragon du Lac de Feu, réalisé par Matthew Robbins. Aujourd'hui, il est célèbre pour être l'un des échecs les plus cuisants de la firme et l'une des dernières grosses prises de risque de cette époque.

Mais en réalité, il s'agit d'un film de fantasy hautement respectable, assez malin dans sa narration, et servi par une superbe direction artistique. Et surtout, il a légué à l'histoire du cinéma l'un de ses plus beaux dragons : Vermithrax Pejorative.


Le Dragon du Lac de Feu : photo
La beauté made in 80s

 

"Il y a des choses qui ont été faites sur les dragons que je trouve... selon moi, assez peu de références ont été créées. L'une des meilleures références, l'une des plus fortes, que personne ne peut surpasser, c'est Le Dragon du Lac de Feu. Le design de Vermithrax Pejorative est peut-être l'un des creature designs les plus parfaits jamais faits" clamait Guillermo del Toro himself, lequel avait planché sur un Smaug (chez Coming Soon).

Difficile de lui donner tort : le travail accompli sur la créature est tout bonnement sidérant, qu'il s'agisse de son look général, de ses articulations ou tout simplement de sa mise en scène, qui joue avec les échelles pour écraser le spectateur sous son aura.

Cerise enflammée sur le gâteau : plusieurs plans larges font usage de la technique de la stop-motion, complétant l'arsenal d'effets spéciaux délirant de cette production atypique. Peut-être pas un incontournable pour les fans de Disney, mais absolument inratable pour les amateurs de dragons.

 

Krokmou (Dragons)

 

Dragons 3 : Le Monde caché : photoLe plus mignoooon

 

Comment ne pas citer le meilleur de tous ? Comment passer à côté d'un des meilleurs personnages récents dans le domaine de l'animation grand public ? C'est simple : Krokmou aurait pu n'être qu'une bête mascotte, dont le design A-DO-RABLE aurait eu pour seule finalité de vendre des peluches. Bien sûr, Dreamworks en a profité, mais l'approche n'est jamais gratuite et conduite par le mercantilisme. 

Au contraire, en donnant à la Furie nocturne des airs de chien et de chat dans les traits et la gestuelle, Dragons engendre une compassion immédiate pour la créature, qui traduit en même temps pour le spectateur et pour Harold le changement de perception qu'on doit ressentir par rapport aux reptiles ailés.

 

Dragons 3 : Le monde caché : photoCoup de foudre Eclair

 

Les films de Dean DeBlois font preuve d'une incroyable intelligence en matière de character design, et c'est pour cette raison que Krokmou nous fait autant rire que pleurer. Ces fondations solides auraient presque pu être suffisantes, mais les suites de la saga n'ont jamais cessé de développer le dragon, ainsi que sa relation avec Harold.

De la question des alphas à la notion de parentalité, le personnage grandit en parallèle de son maître, alors même que Dragons n'est au fond que ça : l'arc bouleversant d'un passage à l'âge adulte, avec les joies, les souffrances et les responsabilités qui vont avec.

 

Les dragons (le Règne du feu)

 

Le Règne du feu : photoLondon Burning

 

C'est un incontournable : Christian Bale et Matthew McConaughey dans un Mad Max de dragons, où le monde entier a été cramé suite au réveil de ces créatures ancestrales – une délicieuse idée très lovecraftienne. Petit flop à sa sortie en 2002, le film réalisé par Rob Bowman (The X-Files, le film) a depuis gagné un place à part dans le cœurs des fans, notamment parce qu'il est l'un des seuls représentants du genre. Combien y a-t-il de films à 60 millions où des gens affrontent un dragon, dans un univers non fantasy ?

Mais Le Règne du feu a d'autres arguments, à commencer par les dragons eux-mêmes, voulus plus réalistes et moins fantaisistes. D'où leur allure hybride entre alligator et cobra (selon les mots de l'équipe), et leurs flammes créées par une réaction chimique (une idée qui sera reprise par Harry Potter, Dragons, Gods of Egypt ou Game of Thrones). Transformés en véritables machines à détruire, ils offrent quelques scènes sensationnelles au milieu de décors moyenâgeux, dignes d'un purgatoire hors du temps.

 

Le Règne du feu : photoUn climax sacrément décevant

 

 

Bien sûr, Le Règne du feu a des défauts : l'interprétation de Matthew McConaughey, les seconds rôles inintéressants ("la fille"), le combat final beaucoup trop facile, certains effets visuels très bancals, et une gestion maladroite de l'univers notamment du côté de la taille des dragons. Mais peu importe, le plaisir reste intact grâce à des scènes comme le saut en parachute au milieu des bêtes.

D'ailleurs, on aime tellement qu'on lui a consacré un podcast :


La dragonne (Shrek)

 

Shrek : photoL'amour n'a pas de barrières

 

Parmi les nombreux éléments parodiques de Shrek, l'un des codes récurrents de la saga consiste à retourner sur elle-même une image d'Epinal des contes de fées et du fantastique. Si le dragon est par essence une créature dangereuse, gardien du temple voué à représenter un obstacle pour les personnages, le premier volet détourne avec jubilation ce prérequis. Oui, la dragonne a pour mission de garder le donjon dans lequel est enfermée Fiona, et elle se montre dans un premier temps imposante.

Néanmoins, en tombant amoureuse de l'Ane, elle apporte au film l'un de ses multiples retournements de situation absurdes, sublimé par les contrastes d'échelle entre son corps gigantesque et celui de son "amant". Les autres Shrek s'amuseront même à développer cette simple blague, au point de donner au couple des enfants chimériques. L'air de rien, avant que Krokmou ne rappelle que tous les dragons sont loin d'être des monstres, la dragonne de Shrek a montré qu'un petit coeur peut battre sous la carapace. Et puis, un reptile avec des cils, c'est déjà génial !

 

maléfique (La Belle au bois dormant)

 

La Belle au bois dormant : photoL'art de savoir faire de la couleur avec du noir

 

Figure de conte par excellence, le dragon de La Belle au bois dormant est le protagoniste de l’une des séquences les plus marquantes du chef-d'œuvre de Disney, sorti en 1959. Métamorphose de la grande méchante Maléfique (dont le costume et la coiffe cornue préfigurent la transformation), ce dragon noir et violet crachant du feu vert tente de neutraliser le prince Philippe dans l’affrontement final, avant que le jeune premier aille livrer son fameux bisou à sa donzelle endormie.

Réalisée par l’animateur Wolfgang Reitherman, cette séquence se démarque dans l’univers du studio par son atmosphère très sombre et sa beauté visuelle. L’animation du dragon, particulièrement souple, s’allie à ses couleurs vibrantes pour créer un animal fantastique dont la silhouette et la façon dont elle est mise en scène rappellent l’inénarrable séquence du Balrog dans Fantasia. En somme, la scène est représentative d’une époque à laquelle Disney n’hésitait pas à représenter des menaces visuellement effrayantes, sans aucun effet cartoonesque ou grotesque pour désamorcer l'angoisse.

 

La Belle au bois dormant : photoTop 10 des dragons

 

Au contraire : les effets de perspective créés avec le champ de ronces, le tourbillon de nuage servant d’auréole verdâtre au-dessus de la tête du dragon, la transformation en elle-même qui étire de manière sinistre la silhouette de Maléfique, l’image qui se brouille sous l’effet de la chaleur du feu... Ce morceau de bravoure ténébreux redouble d’ingéniosité pour faire de l'apparition du dragon, certes courte, l’une des images les plus fondatrices de la représentation de ces bestioles au cinéma.  

 

ELIOTT (PETER ET ELIOTT)

 

Peter et Elliott le dragon : photoPeter et Elliott le dragon version 1978

 

Le Dragon récalcitrant, La Belle au bois dormant, Merlin l'Enchanteur, Peter et Elliott le dragon, Taram et le chaudron magiqueMulanRaya et le dernier dragon... Qu'ils n'apparaissent que le temps d'une scène ou fassent pleinement partie de l'histoire, les dragons ont depuis longtemps fait leur tanière chez Disney. Et comme on a déjà évoqué la transformation de Maléfique plus haut, il convient de s'arrêter sur une autre conception inoubliable (et antinomique) de l'animateur Ken Anderson : Elliott, le gentil dragon du film de Don Chaffey, qui emprunte autant à Mary Poppins qu'à Ryuk de Death Note (parce qu'il aime les pommes et que personne ne le voit).

Avec ses traits ronds, ses baragouinages et sa touffe de cheveux roses, Elliott est aux dragons ce que Denver est aux dinosaures. Mais c'est bien pour son caractère gaffeur et protecteur (qu'on associerait plutôt aux dragons asiatiques) qu'il a naturellement conquis les coeurs et les rayons des magasins de jouets. À l'origine pourtant, il était prévu qu'Elliott reste constamment invisible, ne se révélant au yeux du public qu'une seule fois, à la fin du film.

 

Peter et Elliott le Dragon : Peter et ElliottOn ne l'oublie pas

 

Finalement, quelqu'un s'est dit que ce ne serait pratique ni pour la narration ni pour vendre des peluches. Le long-métrage est ainsi devenu un véritable défi technique, mobilisant entre 80 et 90 personnes (dont un certain Don Bluth en tant qu'animateur).

Quant à Peter et Elliott le Dragon, le remake de 2016 réalisé par David Lowery, il a intelligemment repensé le design du dragon pour le rendre à la fois majestueux et rassurant, avec sa fourrure verte et ses grosses patounes qui lui donne un aspect plus félin (mais avec quelques airs de Dogue allemand). 

 

Themberchaud (Donjons et Dragons)

 

Donjons & Dragons : l'Honneur des voleurs : photoToujours quelqu'un pour piller le buffet

 

Il n'y a pas que dans le cinéma d'animation que les dragons peuvent être domestiqués ou tournés au ridicule – volontairement ou non –, même si ce genre de traitement reste plutôt rare dans les films ou séries en prises de vues réelles. C'est pourquoi le dragon bouffi (pour ne pas dire obèse) du dernier Donjons & Dragons : l'Honneur des voleurs trouve peu d'équivalents, sinon aucun. 

Themberchaud n'apparaît que le temps d'une séquence, mais celle-ci s'avère bourrée d'idées de mise en scène comique, si bien qu'on croirait voir la version dragon de Felicia, l'énorme chat de Basil Détective Privé, ou de Lucifer dans Cendrillon.

Ce dragon, aussi incongrues que soient ses méthodes de chasse (qui consistent à glisser sur le ventre comme un pingouin pour choper ses victimes comme des curly), reste une arme de destruction massive redoutable. La séquence reprend l'idée de l'éléphant dans le magasin de porcelaine, avec sa créature dodue qui détruit tout sur son passage par pure maladresse (essayez de ne pas rigoler roulés-boulés après s'être pris les pattes dans ses chaînes). C'est encore plus cocasse quand la bête en question est un des éléments les plus iconiques de la franchise, qui a eu le bon goût de ne pas se prendre au sérieux (mais sans se foutre de nous). 

 

Jabberwocky (Jabberwocky)

 

Jabberwocky : photoOn est loin de La Belle au bois dormant

 

Après Sacré Graal, Terry Gilliam revenait à la fantasy, cette fois en solo. Son Jabberwocky, inspiré du poème de Lewis Carroll du même titre compris dans la suite des aventures d'Alice au pays des merveilles, est logiquement entièrement articulé autour d'une créature mystique étrange. À vrai dire, sa présence dans ces colones est encore sujet à débat, puisqu'elle n'est pas techniquement un dragon, même si elle en partage bien des caractéristiques : les ailes, la force destructrice et surtout la réputation.

Comme dans les grandes épopées de fantasy, la vaincre est un véritable défi. Le chevalier qui parviendra à la terrasser remportera la main de la princesse. Évidemment, Gilliam oblige, le long-métrage est une parodie à la fois délicieusement absurde et très sombre du genre. Ainsi, son Jabberwocky est un dragon qu'on aurait défiguré jusqu'au grotesque. Et même sa mort travestit les codes, permettant au héros de faire un choix-non conventionnel sous la menace des conventions. Du Gilliam tout craché.

Enfin, outre le design franchement dérangeant du bestiau, il faut souligner la technique qui lui a donné vie, assez rare au sein du cinéma américain. Le Jabberwocky est bel et bien animé grâce à la suitmation, soit un homme dans un costume. Le procédé est généralement utilisé pour donner vie aux Godzilla et autre Kaiju Eiga et il est complètement détourné ici par le cinéaste pour ajouter encore une touche de bizarrerie à son oeuvre. Probablement pas le meilleur dragon, mais assurément le plus original.

Tout savoir sur La Demoiselle et le dragon

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commentaires
siko
12/03/2024 à 00:18

c est pas completement un dragon mais j aurais bin glissé un petit Fafnir, des Nibelungen de Fritz Lang. Deja parce qu il est important pour l histoire, et la scène a un certain charme. De plus il n avait pas du y avoir beaucoup de dragon jusqu alors dans l histoire du cinéma

OZiris46
11/03/2024 à 17:50

Il manque Saphira, même si le film est une véritable honte à la saga littéraire Eragon, c'est quand même un des rares films avec un dragon en perso principal. Mais merci pour l'article sur Coeur de Dragon que j'avais loupé, un de mes films madeleine que je ne me lasse pas de revoir :)

Najid
11/03/2024 à 12:52

Le dragon à double têtes de Willow a marqué toute mon enfance ! Avec son côté dérangeant et un peu dégueu.

Et puis saphira dans Eragon est très réussie, ... mieux que le film en tout cas.

gazer
11/03/2024 à 10:32

Le remake de Peter et Elliot m'a fait tellement chialer ! Même si je trouve pas que ce soit le dragon le plus réussi en terme de design

Si je devais n'en retenir qu'un c'est Smaug ! comme vous le dites c'est la plus grande réussite de cette horrible trilogie qu'est le Hobbit et le seul truc encore regardable et qui ne vieilli pas !

après j'ai un faible pour Krokmou, parce que son petit coté chien et hyper expressif est vraiment cool... et parce qu'il m'a aussi fait chialer lui !

Enfin même si c'est une série, force est de constater que le boulot fait sur les dragons de house of dragon est assez cool afin de caractériser chaque dragon

Karlito
11/03/2024 à 09:56

Dans ma liste je mets:

- Harry Potter 8 et son dragon agonisant.
- Donjon et Dragon (2023) et son dragon fainéant,
- Sacré graal et son dragon amusant.

Mx
11/03/2024 à 09:24

Même si ce n'est pas un dragon au sens strict, le morwen d'outlander m'a impressionné, aussi...

Bibi67
11/03/2024 à 06:52

Le plus beau dragon est imho celui du film Le dragon du lac de feu.
Pour info: "plusieurs plans larges font usage de la technique de la stop-motion". En réalité, ILM a utilisé une nouvelle technique, la go-motion, permettant des mouvements "plus fluides" avec du motion blur.

Aktayr
10/03/2024 à 22:51

Le dragon doré de "La légende de Beowulf" est aussi pas mal dans le genre et pour ce qu'il symbolise.

Marc en Rage
10/03/2024 à 21:13

Les DRAGON du Règne du Feu ( 2002 ) les plus réaliste mais évidemment SMAUG dans Le Hobbit : La désolation de Smaug ( 2013 )