Méandre, Saw, The Collector... 10 films où l'horreur nous piège

La Rédaction | 26 mai 2021 - MAJ : 27/09/2021 10:23
La Rédaction | 26 mai 2021 - MAJ : 27/09/2021 10:23

Méandre est en salles depuis ce 26 mai 2021. L'occasion de revenir sur les pièges les plus sadiques de l'histoire du cinéma d'horreur.

Dans Méandre, désormais au cinéma, l'héroïne campée par Gaïa Weiss se réveille au milieu d'un labyrinthe de conduits, dont elle aura du mal à s'extraire... Une situation pour le moins tendue, qui repose sur une mécanique horrifique très particulière : le piège.

L'idée de piéger de pauvres victimes pour les regarder souffrir ou s'entredévorer, tels des rats de laboratoire, est arrivée très vite dans l'histoire du cinéma d'horreur. Les Chasses du comte Zaroff popularise par exemple le procédé dès 1934.

Néanmoins, pour commencer à voir des personnages emprisonnés dans de véritables mécaniques de la mort, il a fallu attendre l'émergence d'un cinéma d'horreur plus vicieux, reconnaissant après les années 1970 la barbarie humaine. Dans les années 2000, avec l'émergence de certains high-concept et la démocratisation de ce que des critiques effarouchés intituleront "torture-porn", le modèle devient genre. Retour sur 10 films iconiques de ce mouvement, dans lequel le mal vient de rouages bien huilés et de bad guys mécaniciens.

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photoMéandre, en salles depuis le 26 mai

  

LA NUIT DE TOUS LES MYSTÈRES

Difficile de vraiment trouver des films "à piège" dans le cinéma antérieur aux années 1970. Si on relève quelques séquences en particulier, peu de longs-métrages s'articulent tout entier autour d'une idée de piège mécanique. La série B culte La Nuit de tous les mystères, réalisée par le grand William Castle, pourrait cependant prétendre à un certain avant-gardisme du genre, puisque son pitch même sous-entend un emprisonnement : on y suit plusieurs personnages auxquels un excentrique millionnaire (Vincent Price) offrira 10 000 dollars s'ils restent la nuit dans une maison supposée hantée.

Mais il ne s'agit pas d'une simple maison, puisque passé minuit, les portes sont verrouillées et les fenêtres sont ornées de barreaux infranchissables. Bref, ce petit monde est bloqué. Et à partir de là, ce qui ressemblait à une histoire de fantôme classique se mue ouvertement en whodunit teinté d'un fantastique factice digne d'Agatha Christie, avec cette question au coeur du scénario : qui a piégé qui ?

Si le sadisme des autres films du corpus ou de Méandre n'a évidemment pas le droit de cité, la situation est la même : enfermés contre leur gré dans un dispositif auquel ils doivent en permanence échapper (outre les murs qui s'ouvrent, on trouve même la traditionnelle cuve d'acide), les personnages se battent contre une machine diabolique mise au point par un esprit mystérieux.

Un concept que le remake produit par Dark Castle en 1999 adaptera d'ailleurs au montage épileptique pré-Saw. Le piège y sera bien plus évident, grâce notamment au milliardaire, transformé en maître de la terreur mécanique dans une séquence introductive aussi absurde que géniale. La boucle est bouclée, enfin presque.

 

photo, Vincent PriceLe leader, Price

 

Crimes au musée des horreurs

Nous sommes en 1959 et les bonnes mœurs triomphent encore, loin d’être attaquées par les soubresauts qui électriseront les sixties sous peu. Et quand le public et la presse vont découvrir Crimes au Musée des Horreurs, ils ne s’attendent pas à découvrir un petit film remuant, qui préfigure tout un pan du cinéma de genre et va alors profondément choquer son audience. 

Avant Massacre à la tronçonneuse, avant même le subversif Blood Feast, le long-métrage d’Arthur Crabtree va mettre en scène des sévices tels que le cinéma n’en avait jamais connu, et ce, dès son ouverture. On y découvre une jeune femme, qui reçoit chez elle un colis, dans lequel l’attendent des jumelles qu’elle imagine adressée par un prétendant. Elle les essaie, mais jaillissent alors de l’objet deux lames qui lui transpercent les globes oculaires, jusqu’à lui ramoner le cerveau. 

C’est qu’un meurtrier adepte des pièges vicelards fait régner l’horreur, au grand dam de Scotland Yard. D’où un festival de cruautés en tout genre, de sexualité pas toujours apaisée, de machines retorses, qui s’entrechoquent dans un marquant musée des horreurs, étalées sous les yeux cabotins de Michael Gough. Évidemment, le film est plus timide que ses descendants actuels, mais découvrir cette étrange pépite, qui anticipe des décennies de cinéma d’exploitation, est aussi intéressant historiquement que divertissant. 

 

photoUn piège qui en met plein les yeux

 

L'Abominable docteur Phibes

Qui dit pièges baroques chelous dit nécessairement Vincent Price, qui trouve peut-être dans L'Abominable docteur Phibes son rôle le plus marquant. Il y interprète un organiste qui s’est fait passer pour mort après le décès de sa femme au cours d’une opération chirurgicale ratée. Bien décidé à se venger de tous les professionnels de la médecine investis dans ce fiasco, il a mis au point un plan diabolique. Inspiré par les 10 plaies d’Égypte, retranché dans une improbable Batcave rococo, ce lointain écho du Fantôme de l’opéra sème la mort avec panache. 

Ici, on tue avec des abeilles, on massacre avec des chauves-souris vampires, on broie la trachée avec un masque de carnaval amélioré (qui a peut-être inspiré un certain Cartel et Saw), quand on ne contraint pas un chirurgien à dépecer son fils vivant pour lui épargner un bon gros bain d’acide. On en passera aussi par un peu d’exsanguination, et un meurtre au gel méchamment efficace. Tous sont mis en scène avec une énergie ludique à peu près unique dans le genre, et un sens de la jubilation étonnant, qui joue constamment sur les couleurs et les textures. C'est notamment le cas d'un massacre à la sauterelle, où une malheureuse se voit enduite d'une mélasse verte et sucrée, qui provoque la gloutonnerie d'insectes affamés.

C’est bien simple, plus d’un demi-siècle après sa sortie, L’Abominable Docteur Phibes demeure un des récits horrifiques les plus créatifs, rythmés, inventifs et marquants de l’histoire du cinéma. Le tout emballé par une prestation ahurissante de Price, entre grandiloquence, folie vénéneuse et exagérations kitsch. Aujourd’hui encore, il n’est pas mécanisme piégeux du cinéma qui ne lui doive pas une bonne partie de ses trouvailles. 

 

photo, Vincent PriceUn bon Vincent, ça n'a pas de Price

 

Théâtre de Sang

Que voilà un étonnant classique énervé, qui accueille quantité de pièges parfaitement affreux. Edward Lionheart est un comédien et metteur en scène qui n’a pas connu les honneurs de la presse, au gré d’une carrière marquée par les recensions négatives, voire assassines, aurait été poussé au désespoir par un célèbre cercle de critiques. Peu après sa disparition, chacun d’entre eux se voit massacrer selon un piège original, inspiré par les chefs-d’œuvre de William Shakespeare. Une occasion rêvée de se rappeler combien tout un chacun rêve de peler vivant un critique trop sûr de lui, tout en se remémorant les saillies plus violentes du théâtre britannique.

Il est des équations parfaitement irrésistibles. Théâtre de sang est de celles-ci puisqu’il réunit : un casting globalement cabotin et investit, l’Angleterre des années 70, une esthétique complètement barrée, qui alterne trips baroques, hommages à la Hammer et trouvailles seventies décadentes, meurtres sophistiqués, radicalement cruels et souvent très graphiques, un Vincent Price en feu et une Diana Rigg magnétique. 

C’est drôle, c’est impressionnant et redoutable. En témoigne l’assassinat aux cheveux, qui donne l’occasion à Vincent Price de se grimer absolument n’importe comment en coiffeur gay, pour mieux brûler vive une méchante journaliste, après un monologue ahurissant. Et ce n’est qu’une seule des folies de cet immanquable classique, dont Saw est allé dupliquer directement plusieurs machines de torture. Il est d'ailleurs frappant de constater, par la seule grâce de sa mise en scène, combien le film tient encore aujourd'hui la dragée haute à quantité de productions moins fauchées ou plus graphiques.

 

photo, Vincent Price"Rien que pour vos cheveux !"

 

Cube

Ce n’est pas un hasard si Cube a marqué la pop culture (au point de donner lieu à une suite et un prequel) et lancé la carrière de son réalisateur, Vincenzo Natali. Instantanément, et en dépit d’un budget modeste, l’oeuvre a posé sa marque, son empreinte, et influencé radicalement toute une génération de créateurs. Il faut dire qu’elle fait office de piège mortel. Après une ouverture magistralement culte, au cours de laquelle un innocent est transformé sous nos yeux apéricube, nous découvrons un groupe d’anonymes pas franchement joyeux. Ils découvrent qu’ils ont été réunis dans une superstructure inconnue, un enchâssement de cubes, dont certains accueillent des pièges létaux. 

La direction artistique simple, mais irrésistible, l’inventivité continue du scénario et sa volonté de développer un univers jamais justifié, mais à peine esquissé (où les causes, raisons et motivations demeurent flottantes), sont particulièrement appréciables. Et c’est bien dans cette veine, aussi impressionnante qu’évocatrice, que se sont inscrits de nombreux longs-métrages depuis. Ce fut le cas de La Plateforme, mais surtout de Méandre, qui n’en reste pas à la surface du concept.

Enfin, la force de Cube, ce sont bien sûr ses inventions monstrueuses, toujours surprenantes et souvent géniales, mais surtout, la capacité de son récit à entremêler pièges tueurs et humains assassins. Que l’homme soit un loup pour l’homme n’est ni foncièrement original ni révolutionnaire, mais la manière dont ce précepte se conjugue avec une idée simple et ravageuse (la société moderne condamne ses membres à avancer à l’aveugle dans un environnement arbitrairement meurtrier, jusqu’à s’entretuer) l'est. Un piège dans le piège, dans le piège, qui trouve avec Méandre un challenger français.

 

Photo Cube"Et pour la caution, c'est combien ?"

 

La saga Saw

Cube avait lancé une petite mode, mais avait échoué à démarrer une franchise vraiment lucrative. James Wan et Leigh Whannell s'en chargent alors avec Saw, microscopique budget au scénario bien craspec et aux twists aussi ingénieux que tirés par les cheveux. De ce succès retentissant (103 millions de dollars de recettes pour à peine plus d'un million de budget), Lionsgate, Twisted Pictures et Darren Lynn Bousman tirent une suite, puis encore une, puis encore une, au point de prouver à un grand public éberlué que le piège sadique soit la nouvelle sensation du cinéma d'horreur.

La franchise, qui vient tout juste de franchir le cap symbolique du milliard de dollars de recette avec Spirale (un score impressionnant pour une licence aussi gore), par sa répétition et son absurdité, établit un modèle du genre dont tous les films suivants dans la liste s'inspirent forcément. Le concept de torture mécanique matérialisant un dilemme moral s'impose, jusque dans Méandre d'ailleurs.

Les pièges de Saw vont de plus en plus loin dans le grandiloquent, en parallèle de la suite de retournements de situation qui constitue sa narration, toujours plus inventive dans le n'importe quoi. Contrairement à Cube, où le spectateur ne sort jamais du piège, la saga fonctionne par à-coups, par séquences-clé. Bien consciente qu'une partie de son public n'attend que des exécutions, elle se conforme finalement plus au slasher, d'autant qu'elle est dotée de son propre Boogeyman, l'immortel Jigsaw. Et avec 9 (bientôt 10 ?) épisodes au compteur, c'est finalement nous qu'elle piège.

 

photo, Sebastian PigottSaw, littéralement

 

Que justice soit faite 

Ce qui rend un piège inoubliable, c’est peut-être sa dimension superflue. Car à bien y regarder, rares sont les mécanismes électrifiés, les roues crantées ou les lames escamotées à être aussi fiables qu’une décharge de chevrotines dans les parties. Par conséquent, recourir au piège, c’est là une forme de sophistication supérieure, d’autant plus délectable quand elle nous provient d’un bon gros bourrin des familles. 

En effet, qui pourrait croire, au premier regard, que ce bon vieux Gerard Butlerrègle ses problèmes autrement qu’avec ses gros muscles et ses gros calibres ? Pas grand-monde. Pourtant, dans Que Justice soit faite, il joue un vengeur pas franchement masqué, spécialiste en ingénierie militaire, qui va massacrer tous ceux qu’il estime responsables de l’impunité dont jouissent ceux qui ont tué sa famille.  

Et le bougre y met les moyens. Passons sur ses techniques les plus brutales ou portées sur la torture, le film n’en manque pas et sait toujours distiller ces effets avec inventivité. Mais admirons la malice jubilatoire avec laquelle le film place dans les mains d’une magistrate un vilain téléphone explosif. Non seulement le concept de transformer un objet aussi courant et à priori anodin en un dispositif mortel est plaisant, mais le piège se referme ici avec un sens du tempo plus qu’appréciable, une gerbe de sang bien dosée, et un montage au rythme qui propulse le film entre le cartoon et le slapstick déviant. Un régal. 

 

photo, Gerard ButlerQuand tu as passé trop de temps devant Maman j'ai raté l'avion

 

The Collector / The Collection

The Collector avait largement été vendu comme un énième ersatz de Saw, principalement parce que son réalisateur Marcus Dunstan était passé sur le scénario des opus 4 et 5 et que le projet a bien failli se transformer en prequel de la saga. Pourtant, il s'avère beaucoup plus inventif et surtout beaucoup plus tendu, notamment grâce à une gestion du huis-clos aussi bordélique que jouissive. Le pauvre Arkin, cambrioleur au grand coeur, se retrouve coincé dans une maison emplie de la cave au grenier de pièges redoutables.

Tourné en 16 mm, parfois extrêmement audacieux dans sa façon de surdécouper et survoler son décor, The Collector (et sa suite, The Collection) est un des plus dignes représentants du mélange entre le torture-porn à la Saw et le home invasion, l'autre exemple étant bien sûr le très amusant You're Next. Mais si dans ce dernier, ce sont ironiquement les victimes qui se défendent, en mode 3615 code Père Noël, les deux essais de Dunstan franchissent plusieurs paliers dans la méchanceté.

Ici, les pièges servent surtout à jouer de l'effet de surprise, et à ménager des effets gores aussi inattendus que sales. Si un piège seul peut s'avérer assez flippant, la multitude de chausse-trappes qui tapissent les parois de cette maison génère un suspense assez truculent. Loin du cynisme de la franchise de Lionsgate, le réalisateur s'inspire du Richard Fleischer de Terreur aveugle pour faire de sa mise en scène un générateur vicieux d'ironie dramatique. Qu'on remarque le guet-apens avant le personnage principal ou qu'on s'y précipite avec lui, le tour de montagne russe ne faiblit jamais, jusqu'à - on l'espère - le fameux troisième volet, le très attendu The Collected.

 

Photo Josh StewartFous ta cagoule

 

La Cabane dans les bois

Et si le piège, c'était le film lui-même ? C'est toute l'idée géniale derrière le scénario de Joss Whedon et Drew Goddard (également réalisateur), conçu comme une déclaration d'amour-haine au genre. Tout le cauchemar prend donc la forme d'une réflexion décalée sur la formule horrifique et ses dérives, où chaque cliché est intégré à l'histoire, dans un exercice de style vertigineux.

Le stéréotype de la blonde stupide ? La victime d'une teinture, créée pour affaiblir ses fonctions cognitives, et en faire une victime en bonne et due forme. L'incontournable scène de sexe ? La conséquence d'une substance chimique lâchée pour exciter les personnages. L'objet magique qui ouvre les enfers ? Une babiole maléfique posée là pour que les héros sélectionnent malgré eux la forme du cauchemar.

La Cabane dans les bois est le film de genre meta par excellence, comme un Scream puissance 10. À l'écran, dans le décor fabriqué de la maison, il y a les acteurs-protagonistes de l'horreur, amenés là pour le massacre et le spectacle. En coulisses, dans les sous-sols, derrière les moniteurs, il y a l'équipe chargée de littéralement mettre en scène le chaos, et activer les événements. Et tout ça pour le plaisir d'autrui, comme un grand sacrifice nécessaire qui renvoie directement à la satisfaction du public de film d'horreur face à la violence.

Mais au-delà du discours malin, il y a un spectacle assuré, avec quelques images absolument délicieuses. Lorsque les deux survivants plongent dans les abysses du meta sous la fameuse cabane, ils découvrent la galerie de monstres disponibles dans l'entreprise, et rangés dans des sucreries dans un distributeur automatique. Le fantasme de les voir tous libérés dans le climax donne lieu à un joyeux massacre (toute ressemblance avec les locaux de l'Initiative de Buffy contre les vampires n'est certainement pas fortuite), truffé de références et de cruauté. Et la conclusion apocalyptique est la cerise sur le gâteau de cette Cabane dans les bois, film d'escape game ultime.

 

photoOn veut bien un Conjuring-movie sur toi plutôt que La Nonne 12

 

Escape Game

Chaque année, à travers tout le pays, et plus particulièrement dans ses grandes villes, ils sont des millions à faire l’expérience de l’escape game. Activité favorite des proto-geeks essayant tant bien que mal de se remettre de leurs souvenirs de colonie de vacances et unique opportunité professionnelle de ceux qui en furent jadis les animateurs, l’escape game est devenu l’emblème d’une génération, souvent sacrifiée à l’occasion du rituel barbare connu sous le nom de “team building”. 

Le cinéma horrifique étant toujours un écho de son époque, il était bien naturel qu’il traduise les heures de cauchemar accumulées dans ces séances de jeu proposant à de courageux consommateurs de simuler un scénario et un enfermement qu’ils doivent fuir. Sauf que forcément, quand Hollywood s’en charge, tout prend des dimensions un peu plus dangereuses et retorses. 

 

photo"Les secrétaires sont toutes mannequins dans cette agence !"

 

Et l’escape game de devenir un processus d’équarrissage rituel pour riches parieurs, tandis que de malheureux candidats doivent traverser une série d’épreuves cruelles et bien sûr létales. Et si le long-métrage que voilà s’adresse avant tout à un public jeune en quête d’adrénaline facile, on pourra apprécier les pièges qu’il tend, tous plutôt inventifs ou cinématographiquement alléchants.

En témoigne l’ouverture et ses murs compresseurs, particulièrement redoutables, mais aussi la première épreuve, qui vise à faire d’une banale salle de réunion un barbecue géant, dont les personnages feront office de grillades. Autant de pièges servis à point !

 

Ceci est un article publié dans le cadre d'un partenariat. Mais c'est quoi un partenariat sur Ecran Large ?

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commentaires
JamesCr
28/05/2021 à 06:25

"transformé sous nos yeux apéricube"

Dans le paragraphe sur Cube.

Cube et le premier Saw : <3

Simon Riaux
27/05/2021 à 15:05

@Mitchoum

Il y a 400 films en attente... mais tous ne sont pas en mesure de pouvoir supporter une jauge à 35%.

Mais pour le coup, les sorties actuelles sont au contraire assez canon et diversifiées.

L'autre
27/05/2021 à 11:22

Tout de même, le premier Saw quand je l'ai vu au cinéma....quelle baffe ! Un vrai grand souvenir de cinéphile !
J'aime aussi beaucoup les 2 Collectors qui mérite d'être vu par les amateurs du genre