Critique : touche pas à la femme blanche
Après le succès de La Grande Bouffe en 1973, Marco Ferreri eut carte blanche pour son film suivant. Comme souvent lorsqu'un grand réalisateur se voit offrir une
Après le succès de La Grande Bouffe en 1973, Marco Ferreri eut carte blanche pour son film suivant. Comme souvent lorsqu'un grand réalisateur se voit offrir une
Playboy à saisir n'est nullement la dernière opé marketing du célèbre magazine de charme, mais une énième comédie romantique qui, à l'image du magazine
Broadway, ses planches, ses lumières et ses producteurs véreux. Parmi eux, Max à la recherche de la poule aux ufs d'or. Sa rencontre avec Léo, petit comptable
Il faut souvent se méfier des films primés à Cannes. Sans remettre en cause totalement les choix du jury, ce dernier étant chaque année complètement différent,
Si on y regarde de plus près, le carton au box-office de L'Âge de glace n'est pas surprenant (plus de 350 millions de dollars de recettes dans le monde), tant
La Grande Bouffe fait partie de ces longs-métrages plus connus pour le scandale qu'ils ont généré que pour leur valeur réelle. La découverte (ou redécouverte)
Après vous avoir fait piaffer d'impatience, « Pef » vous fera pouffer de rire avec ce premier film farfelu (répétez 5 fois sans vous arrêter). Cette comédie
Face à une affiche qui annonce fièrement le nouveau chef-d'uvre de Chen Kaige, on ne peut être que circonspect. Et après la vision de Wu Ji, la légende des
Premier film d'une rare maîtrise, The Woodsman réussit le tour de force de traiter d'un sujet on ne peut plus délicat et scabreux.
Succès surprise aux États-Unis (53 millions de dollars de recettes) et s'étant bien défendu en France (un peu plus de 800 000 entrées), Destination finale
Le début de Destination finale est pour le moins intriguant et surprenant : un groupe d'étudiants est sur le point de décoller vers Paris, quand l'un d'entre
Misère, misère.