The saddest music in the world : critiqu
Trouver la musique la plus triste du monde n'est pas une mince affaire.
Trouver la musique la plus triste du monde n'est pas une mince affaire.
Dans le milieu du cinéma comme ailleurs, les grands fauves ne meurent jamais.
Un cow-boy sorti tout droit d'un western avançant à cheval dans une rue parfaitement goudronnée d'un quartier pavillonnaire californien flambant neuf : cette
Phantasm I (1978) Star Wars ne fut pas la seule grande épopée à voir le jour à la fin des années 1970. En effet, pendant que le petit Georges jouait encore
Le tournage de Frankie, ce fut un peu « La Double Vie de Diane » (Kruger) : pendant trois ans, l'actrice profita en effet des pauses dans son planning chargé
Bem-vindo dans l'univers chatoyant limite kitch d'Alice de Andrade, cinéaste fantasque hantée par des personnages hauts en couleur, teintés d'une loufoquerie
Après vingt ans de silence, Terrence Malick revient avec une adaptation du roman éponyme de James Jones. Tout ce que Hollywood compte comme stars se bat pour faire
Tourné en 1976, trois ans après La Balade Sauvage, mais sorti en 1979 suite à deux années de remontages successifs.
Il la voit répéter son numéro de majorette dans le jardin. Il vient juste de terminer sa journée d'éboueur. Elle trouve qu'il ressemble à James Dean Dans
Marock, c'est ce monde si particulier de la jeunesse dorée marocaine, vivant au sein d'une banlieue cossue et protégée de Casablanca, jeunesse qui connaît la
Et si chacun d'entre nous ne menait pas sa vie en solitaire, mais dans un numéro de tandem inconscient avec une personne qui nous est inconnue et pourtant familière
Derrière son titre quelque peu réducteur (le titre anglais, Prime, n'est guère plus avenant), Petites confidences (à ma psy) se révèle être une comédie romantique