Critique : 7h58 ce samedi-là
On avait laissé Sidney Lumet en très bonne compagnie, entouré qu'il était d'une histoire vraie où la mafia new-yorkaise s'étripait à coup d'effets de
On avait laissé Sidney Lumet en très bonne compagnie, entouré qu'il était d'une histoire vraie où la mafia new-yorkaise s'étripait à coup d'effets de
Probablement le film de guerre le plus insoutenable jamais réalisé (et en cela peut-être aussi le plus grand), Requiem pour un massacre possède une aura
Malgré une romance inutile entre un clerc de notaire et une roturière écossaise qui perturbe le rythme de l’action, Bons pour le service est l’un des
Librement inspiré de l'opéra comique de Daniel François Esprit Auber et de l'histoire vraie d'un brigand italien de la fin du 18eme siècle, Fra Diavolo est
Comme dans tout cinéma populaire, le succès de titres phares engendre une vague de films de plus ou moins bonne qualité. Ici, Le parrain noir de Harlem semble être
Encore une adaptation de Stephen King.
Les films classés « Blaxploitation » ont brassé bien des genres du cinéma mais le film révolutionnaire fut le moins prisé. Si la Blaxploitation fut
Dans le sillage d'un Collision ou d'un 21 Grammes, The Dead girl essaie d'analyser l'impact d'un événement dramatique sur les vies de personnages très différents.
Comme chaque année, le festival de Deauville s'est évertué à inclure dans sa compétition des films indépendants calqués sur un certain formatage made in
Avec ce troisième film, sept ans après l'enragé Les Démons à ma porte, Jiang Wen prouve de nouveau qu'il est possible de faire un film libre et débridé
Bien qu'octogénaire, Youssef Chahine ne semble pas avoir perdu l'espoir d'un monde meilleur. Il fait partie de ces cinéastes engagés qui continueront jusqu'à
Plutôt que de souligner la vacuité parfois abyssale du premier film de Zoé Cassavetes (fille de), nous préférons dédier quelques lignes au talent de Parker