Critique : jane
A l'origine du projet Jane, la confirmation en 2003 par le biographe anglais Jon Spence d'une relation amoureuse entre Jane Austen et Tom Lefroy. Pour le commun
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C’est une vieille querelle de cinéphiles, de celles que l’on aime aborder entre connaisseurs, en étalant, avec ce qu’il faut de pédantisme et de provocation,
Suit à l'énorme succès du premier Rush hour, Brett Ratner remet le couvert deux ans plus tard, et comme dit le vieil adage, on ne change pas une recette qui
S'il y a bien un genre du cinéma d'action ayant su faire ses preuves aussi bien en terme d'efficacité que de rentabilité, celui du buddy-movie s'imposerait
Le mari, la femme, l'amant…et la femme de l'amant. Le trio vaudevillesque est remis au goût du jour et d'une époque contemporaine à travers le regard de Bruno
Réalisé par Edmund Golding, cinéaste dandy assez moyen qui officia des années 30 aux années 50 à la MGM avant de passer chez Warner et à la Fox et aujourd'hui
Depuis ses débuts, Ken Loach semble attiré par la misère du monde. D'abord la misère économique et social des classes populaires britanniques qu'il n'a
Précédé d'une sulfureuse réputation, Dog bite dog arrive enfin sur nos terres de France et de Navarre en passant directement par la case DVD. Loué par la
My name is Joe c'est une rencontre entre deux mondes a priori proches : la classe moyenne inférieure, celle qui possède une voiture et touche un chèque à
Agent fédéral du CTU (cellule anti-terroriste), Jack Bauer a 24 heures pour empêcher que des terroristes ne mettent leur plan à exécution...A chaque saison,
La séquelle made in Hollywood n'est décidément pas prête de changer (à quelques exceptions) mais lorsque le succès du film-matrice est là, la tentation
Tobrouk est l'incarnation même du film de guerre à gros budget classique mais efficace produits en masse à Hollywood dans les années 1960 pour un public