5 années avant Scoop, Woody Allen avait déjà fait un film avec une intrigue fonctionnant sur un postulat fantastique : la magie. Ici Woody délaisse son double
Il faut garder en tête qu'un petit Woody Allen fait souvent un film très acceptable. Parmi les oeuvres mineures du cinéaste, Escrocs mais pas trop est sans
Celebrity est un peu le Transformers de Woody Allen : il y effectue une synthèse maladroite de son travail passé, s'auto-citant à foison pour créer la connivence
Passé la soixantaine, Woody Allen revient à l'égocentrisme forcené avec son œuvre la plus crue. Harry dans tous ses états s'inspire du travail de l'écrivain
Woody Allen est fan de comédies musicales (et de Groucho Marx). Avec Tout le monde dit I love you, il offre l'un des plus beaux cadeaux de sa carrière. En se
Une décennie avant Match point, Woody Allen se penchait déjà sur le hasard et l'injustice avec un Crimes et délits passionnant. En suivant le destin d'une
Woody Allen est revenu à New York. Sa ville, sa passion, son énergie vitale. La symbiose entre le réalisateur et Big Apple est proverbiale, évidente. Au point
Acte I : l’exposition. Acte II : la consécration. Acte III : la maturité. Qu’elles mettent en scène des super-héros, des ogres verts ou des mammifères
« Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? », s'interrogeait Pedro Almodóvar il y a un quart de siècle. Une question toujours d'actualité, notamment
Il y a trois films dans Fausta. D'abord le portrait annoncé d'une femme brisée par la mort de sa mère, qui lui a transmis un curieux mal-être (le lait de
Petit précis d'histoire à l'égard de ceux qui ne pigent rien à la guéguerre west coast / east coast, Notorious est un biopic totalement cousu de fil blanc
Voilà, Sacha Baron Cohen nous refait le coup du faux documentaire, du faux étranger naïf, du faux accent rigolo et de la vraie bêtise de ses compatriotes américains.
