Don't be afraid of the dark : critique
Une production Guillermo Del Toro.
Une production Guillermo Del Toro.
Quelques années après le choc frontal et gorasse d'À l'intérieur, les duettistes de l'horreur made in France Alexandre Bustillo et Julien Maury reviennent.
Jamais on ne dira assez à quel point Peter Watkins est un cinéaste majeur, trop peu connu, souvent mis à l'écart mais l'un des plus importants de sa génération. Britannique,
On avait quitté Coppola avec un magnifique Tetro, laissant espérer que l'homme du Parrain était bien revenu aux affaires, éclipsant avec ce film les récentes
Ne rentrons pas ici dans cette guerre marketing qui voit deux films adaptés du livre écrit par Louis Pergaud en 1912 sortir à une semaine d'intervalles. D'ailleurs, pour
Fini Beyrouth et son institut de beauté, après Caramel, Nadine Labaki nous emmène dans un petit village perdu, sur le point de s'embraser dans le cadre d'un
Sous l'influence littéraire du Ça de Stephen King, qui faisait de la figure inoffensive du clown un synonyme de terreur, les films fantastiques grand public
Michael Ritchie est à l'image de nombreux réalisateurs ayant faits leurs preuves dans les années 1970, l'homme d'une décennie. Voire même l'homme de trois films,
De L'Arche Russe et son plan séquence délirant, en passant par Moloch et son führer au bord de la folie, le cinéma de Sokurov a cet immense mérite de toujours
Il y a une raison pour laquelle les spectateurs ne devraient pas entrer dans la salle d'Apollo 18 : il n'y a rien à y voir... ou si peu !
Shakespeare est-il le plus grand dramaturge que la Terre ait jamais porté ?
Voir Brad Pitt succomber à l'attrait d'un film sur le baseball, paraît logique tant le comédien suit ici une longue lignée de beaux gosses hollywoodiens