Critique : the prodigies
Tandis que les américains nous abreuvent à longueur d'année avec leurs longs-métrages d'animation (3D pour la plupart), il est suffisamment rare d'en voir
Tandis que les américains nous abreuvent à longueur d'année avec leurs longs-métrages d'animation (3D pour la plupart), il est suffisamment rare d'en voir
Il est assez jubilatoire de pouvoir suivre en « live » la carrière de Gus Van Sant.
Le pitch de départ est pour le moins intriguant : Lucy, une jeune étudiante, accepte d'être droguée, endormie, pendant que des hommes font ce qu'ils veulent
Avant même que quiconque l'ait vu, ce nouveau Woody Allen aura fait couler des litres d'encre. Casting international prestigieux, participation de la première
Play a Song for Me, c'est le séduisant paradoxe d'une mise en scène solaire pour évoquer le deuil et la solitude. Parenthèse enchantée, mêlée d'affects
Cinéaste éclectique et pas fainéant (21 films en 34 ans), Ron Howard offre un sacré dilemme à ses potentiels spectateurs qui ne savent jamais s'ils vont
Comme un certain Buñuel, Rajko Grlic dresse unportrait cynique de la bourgeoisie. En brouillant les codes socio-culturels dela société, il nous livre une
Qu'il est bon de retrouver Patrice Leconte en (très) grande forme. C'est que le réalisateur à la filmo tutoyant les 30 longs-métrages avait un peu disparu
La Solitude des nombres premier est un film qui n'en finit pas de dérouter, et l'on ne l'en blâmera pas. Comédie romantique, drame intimiste, film d'horreur,
En France, on a parfois tendance à résumer Roger Corman à une simple casquette de producteur débrouillard et un brin cynique. C'est un tort : on oublie trop
Reese Witherspoon avec des éléphants, Robert Pattinson et Christoph Waltz.
Second documenteur à sortir sur nos écrans en deux semaines, HH, Hitler à Hollywood, se veut une oeuvre à la fois profonde, originale, drôle et ambitieuse.