Arnold Schwarzenegger : les 10 Meilleurs Films d'un acteur que tout le monde aime

La Rédaction | 20 avril 2024 - MAJ : 20/04/2024 14:53
La Rédaction | 20 avril 2024 - MAJ : 20/04/2024 14:53

Quels sont les 10 meilleurs films avec Arnold Schwarzenegger ? Ecran Large a fait sa petite sélection.

Culturiste, acteur, producteur, gouverneur, homme d'affaires (notamment dans l'immobilier et les restaurants)... De son Autriche natale jusqu'aux collines de Hollywood, Arnold Schwarzenegger alias Schwarzy est devenu l'une des plus grandes stars de son époque, particulièrement dans les années 80-90 où il a enchaîné les succès et films cultes.

Et comme on l'aime d'amour chez Ecran Large, on a eu envie de lister ses 10 meilleurs films (classés par ordre chronologique, sinon ça aurait été la guerre dans l'équipe).

 

Running Man : photo, Arnold SchwarzeneggerQuand tu verras que ton chouchou n'est pas dans notre top 10

 

CONAN LE BARBARE

  • Sortie : 1982
  • Durée : 2h09

 

Conan le Barbare : Photo ConanLundi matin

 

Avant Hollywood, il y a eu Pumping Iron. À l'époque, Arnold Schwarzenegger avait déjà commencé sa carrière d'acteur, notamment dans le très bis Hercule à New York, mais il restait le monsieur muscles de services. C'est bien le documentaire dramatique culturiste, couronné de succès, qui lui a valu l'attention de l'industrie... et son premier personnage iconique.

Sur le coup, bien qu'il ne soit pas une vedette absolue, ce choix de casting était judicieux : Conan est un amas de force brute inarrêtable, dont l'accent à couper au bazooka trahit un déracinement violent. Engager une icône du culturisme n'allait toutefois pas sans quelques risques dont s'accommodait la série B italienne, notamment un jeu en pilote automatique. Ce que les premiers producteurs Edward Summer et Edward R. Pressman ont repéré dans Pumping Iron, c'est justement le charisme derrière les biceps. Pas subtil pour un sou, le chêne autrichien révèle une spontanéité instantanément attachante.

La dernière pierre des fondations de sa carrière : le talent de John Milius, qui fait de Conan le barbare non pas une série B de luxe, mais un poème martial grandiloquent, où absolument tout est violence, méchanceté et vengeance. Puis geste épique, défouraillage et hurlements de rage. Sans lui et sans la musique démentielle de Basil Poledouris, Schwarzenegger ne serait probablement jamais devenu Schwarzy, et ça aurait été foutrement dommage.

 

TERMINATOR 1 ET 2

  • Sorties : 1984 et 1991
  • Durées : 1h47 et 2h17

 

 

Terminator : photo, Arnold SchwarzeneggerSoirée techno qui tourne mal

 

Bon, ok, on triche un peu, étant donné que le T-800 de Terminator premier du nom n'a pas vraiment de rapport avec celui du deuxième film. Et en même temps, ça en dit beaucoup sur le talent d'Arnold Schwarzenegger, qui a non seulement donné à la franchise un visage identifié, mais aussi la capacité à en changer la valeur. 

A l'origine, l'acteur voulait s'accaparer le rôle de Kyle Reese, mais James Cameron a réussi à le convaincre d'incarner avec son visage anguleux et sa masse musculaire la force inarrêtable du robot venu du futur pour tuer Sarah Connor. Dans cette course-poursuite permanente, son mutisme (d'aucuns diraient les limites de son jeu) fait des merveilles, puisque la motivation du Terminator est dénuée de toute humanité, de toute colère. Il ne s'agit que d'un programme, qui impose au film son rythme, une fuite en avant éreintante où la silhouette de Schwarzy suffit à inquiéter.

 

Terminator 2 : Le Jugement dernier : Edward Furlong, Arnold SchwarzeneggerLe Nokia 3310 des robots tueurs

 

Le contrepoint de Terminator 2 : Le Jugement dernier n'en est que plus brillant. Tout en restant intimidant, l'acteur joue cette fois-ci les protecteurs, ce qui renouvelle avec brio le postulat de la franchise. Le T-800 devient le "fish out of water" ultime, devant autant s'adapter à une autre époque qu'aux émotions de ses créateurs, qu'il essaie désespérément de comprendre et d'émuler. Tout ça, au milieu de punchlines toutes plus mythiques les unes que les autres. La grande classe !

 

COMMANDO

  • Sortie : 1986
  • Durée : 1h28 

 

Commando : Commando Stallone et SchwarzyArnold Schwarzenegguerre 

 

L'affiche parle d'elle-même : dans Commando, tout est disproportionné, du scénario va-t-en-guerre à Arnold Schwarzenegger, qui campe un surhomme capable de soulever un tronc d'arbre à mains nues (c'est d'ailleurs la première image qu'on a de lui). Ajoutez à ça le dictateur sud-américain fou, le mercenaire en cosplay de Freddy Mercury et les exécutions cartoonesques, et le film de Mark L. Lester flirte dangereusement avec le nanar patriotique telles que les années 80 en avaient le secret.

Pourtant, après avoir incarné des figures d'heroic fantasy (Conan et Kalidor) et l'impitoyable T-800, la machine à tuer commence ici à s'humaniser. Le chêne autrichien joue cette fois au papa gâteau – qui troue tout ce qui se met sur son passage, certes –, mais qui se rapproche malgré tout des héros plus ordinaires qui s'imposeront dans la seconde moitié de la décennie à Hollywood. Dépouillé de tout cadre fantastique ou SF, Arnold Schwarzenegger (naturalisé américain depuis 1983) devient ici le totem d'une virilité exacerbée, l'affirmation d'une puissance militaire sans équivalent, et presque de l'invulnérabilité naturelle des États-Unis.

Le film a beau être kitsch et plus souvent risible que spectaculaire, il reste le précieux témoin d'une époque, de la politique et de la philosophie des États-Unis post-Vietnam. Et puis, comment ne pas craquer pour un film dans lequel le méchant hurle : "C'EST PAS ENTRE LES YEUX QUE JE VAIS TE BUTER, JE VAIS TE BUTER ENTRE LES COUILLES" juste avant de se faire empaler par Schwarzy ?

 

PREDATOR

  • Sortie : 1987
  • Durée : 1h47

 

Predator : Photo Arnold SchwarzeneggerWelcome to the jungle

 

Quand les producteurs Joel Silver et Lawrence Gordon ont proposé le rôle de Dutch Schaefer à Schwarzy, ils lui ont dit que Predator serait le contraire de Commando : un personnage ancré dans le réel plutôt que dans le cartoon, et une véritable histoire de héros. Car le film réalisé par John McTiernan s'emploie à détruire la figure du soldat américain (l'emphase sur les muscles et les armes... complètement inutiles face au Yautja) pour mieux faire renaître celle d'un guerrier pur et intemporel. C'est là toute l'intelligence de ce récit de SF horrifique hanté par le spectre de la guerre, et du choix de Schwarzenegger dans le rôle d'un homme qui n'a finalement pas besoin de ses biceps.

La route n'a pourtant pas été de tout repos. Lorsque les frères Jim et John Thomas ont écrit ce scénario dans leur coin avant de le proposer aux studios, ils ne pensaient pas attirer l'attention de producteurs proches de Schwarzenegger. Ils ne pensaient pas non plus que Predator (titré au départ Hunter) allait devenir un gros film avec des problèmes tout aussi énormes – le design de la créature a été modifié en cours de route, la production a été mise en pause, et il a fallu convaincre le studio avec un premier montage pour terminer le tournage.

Les coulisses de Predator sont croustillantes, mais ce n'est rien comparé à la réussite du film lui-même, qui reste un modèle absolu en la matière. La mise en scène de John McTiernan (c'était son premier film hollywoodien, après Nomads et avant Die Hard), le design de la créature (merci Stan Winston, engagé pour sauver la situation), les effets visuels, la musique d'Alan Silvestri... à peu près tout est inoubliable dans Predator.

 

JUMEAUX

  • Sortie : 1989
  • Durée : 1h47

 

Jumeaux : photoDeux salles, deux ambiances

 

Après s'être imposé comme nouvelle icône d'un cinéma américain reaganien perfusé aux stéroïdes, Arnold Schwarzenegger a voulu donner un tournant à sa carrière, et prouver aux studios qu'il n'avait pas besoin de tenir un gros couteau ou un gros flingue pour attirer les spectateurs en salles (ce dont les studios doutaient fortement). C'est donc vers la comédie que l'acteur autrichien a tenté de se réinventer.

Mais pour faire ses preuves dans un registre aussi exigeant, il fallait que quelqu'un lui donne l'occasion de les faire. Ce quelqu'un, c'est le réalisateur Ivan Reitman qui a décelé le potentiel comique et la candeur de l'acteur alors qu'ils étaient en vacances dans la même station de ski. Pour ce premier saut dans le grand bain, c'est Danny DeVito qui lui a donné la réplique, c'est-à-dire un acteur opposé presque en tout point au culturiste, aussi bien physiquement que professionnellement. C'est cette différence à l'extrême qui sert ainsi de postulat à Jumeaux et lui confère tout son charme et sa bonhommie, l'histoire ayant tendance à partir dans tous les sens et à se perdre en chemin.

Dans Jumeaux, la brute épaisse que le public connaissait se libère de son encombrant carcan de héros viril et se transforme en gentil monsieur muscles, en grand nigaud sensible qui chante sous la douche et désarme par son innocence. Et le public a été réceptif à ce touchant Schwarzy grand sourire, puisque le film a été un joli succès au box-office, dépassant même Rambo 3 et Piège de Cristal.

 

TOTAL RECALL

  • Sortie : 1990
  • Durée : 1h53

 

Total Recall : Photo Arnold Schwarzenegger"Consider dis a divorce"

 

Dans une autre dimension, le personnage de Douglas Quaid aurait été incarné par Richard Dreyfuss, William Hurt, Christopher Reeve, Jeff Bridges ou Patrick Swayze, peut-être même avec David Cronenberg derrière la caméra (qui a travaillé sur le projet un moment, avant de s'en aller). Mais Total Recall a finalement attiré l'attention d'Arnold Schwarzenegger, qui a convaincu les producteurs Andrew G. Vajna et Mario Kassar de le récupérer, et qui a engagé Paul Verhoeven après avoir vu RoboCop.

En faisant ça, l'acteur s'est offert sur un plateau d'argent au cinéaste. Verhoeven s'est aussitôt saisi de l'absurdité de la proposition (Schwarzy dans le rôle d'un homme ordinaire qui n'est finalement pas ordinaire) pour approcher l'adaptation de Philip K. Dick avec une certaine légèreté, et surtout un sens du décalage qui fait tout le sel de ses films hollywoodiens. Comparé aux autres acteurs envisagés, le corps extraordinaire de ce no ordinary man devient le contraire d'un twist.

 

 

A ce stade de sa carrière, Schwarzenegger avait un pouvoir immense, mais n'en a pas fait n'importe quoi. D'un côté, il a fait sa loi en s'accaparant le projet et en demandant des réécritures, touchant finalement un salaire de 11 millions et 25% des recettes du box-office. De l'autre, il s'est mis au service d'un cinéaste anti-conformiste, et s'est laissé utiliser. Après avoir tourné avec James Cameron et John McTiernan, il savait très bien ce qu'il faisait. Total Recall reste donc l'une des plus belles preuves de l'intelligence de l'acteur Schwarzy.

 

UN FLIC à la maternelle

  • Sortie : 1991
  • Durée : 1h50

 

Un flic à la maternelle : photoTerrain miné 

 

Entre John Matrix et John Kruger (dans L'Effaceur), il y a eu John Kimble, flic et prof de maternelle sous couverture. Après sa première tentative réussie dans l'humour avec Jumeaux, Arnold Schwarzenegger a recollaboré plusieurs fois avec Ivan Reitman, notamment dans Un flic à la maternelle, qui s'appuie une fois de plus sur un pitch absurde pour le faire jouer à contre-emploi. Cette fois, l'ambiance est moins détendue puisque Ivan Reitman comme Schwarzenegger ont dû composer avec une donnée sensible : les très jeunes enfants. 

Le film part d'une parodie de héros d'action bougon avec la barbe de trois jours, lunettes noires et l'imper pour compléter la panoplie. Une pirouette scénaristique plus tard, le voilà transformé un grand et pauvre gaillard malmené par une horde de têtes blondes (brunes, rousses...). Et c'est tout ce qu'il faut pour faire d'Un flic à la maternelle un film doudou par excellence. Ça et les punchlines balancées par les enfants sans aucun filtre : "mon papa est chauffeur de taxi, et ma maman espère qu'il va mourir dans pas longtemps."

Évidemment, le flic bourru s'adoucit progressivement, cassant non seulement son image de rustre insensible, mais aussi des dynamiques de genres en faisant de John Kimble une sorte de super papa-fantasme. Après le succès commercial du film, le fait de confronter des montagnes de muscles à des enfants est presque devenu un exercice à part entière, ne serait-ce qu'avec Vin Diesel dans Baby-Sittor ou Dwayne Johnson dans Fée malgré lui. Dolph Lundgren s'y est d'ailleurs aussi essayé... dans Un flic à la maternelle 2 sorti dans l'indifférence en 2016.

 

last action hero

  • Sortie : 1993
  • Durée : 2h10

 

Last Action Hero : photo, Arnold SchwarzeneggerEnfin un rôle de composition

 

Sur le papier, c’est l’équation parfaite : un Schwarzenegger encore au sommet de sa carrière qui retrouve McTiernan et Shane Black, le tout dans une comédie d’action parodiant allégrement leurs filmographies respectives. Sauf que Last Action Hero est le fruit d’un bel enfer de production, où la star a du faire entendre son point de vue à de multiples reprises, exerçant son influence sur l’industrie. Scénario retouché de partout, délais intenables, tournage mégalo, postproduction chaotique, promotion à côté de la plaque… Tous les problèmes pouvant accabler un tel projet se rencontrent, avec à l’arrivée un joli bide et une réception tiède.

Pourtant, le film reste l’un des meilleurs Schwarzy, justement pour ce qu’il dit, consciemment ou malgré lui, du statut de son héros. Face à un Jurassic Park sorti 1 semaine auparavant et qui va allégrement lui voler la vedette, il s’agit d’un vieux dinosaure hollywoodien, déterminé à faire sauter Los Angeles avant l’extinction. Kamikaze, parfois carrément incohérent, il va trop loin, tout le temps, achevant d’ériger le comédien comme le symbole absolu de la démesure des années 1980, archi-bourrin, archi-musclé, archi-tout, quitte à se foutre allégrement de la gueule de son homologue/rival Sylvester Stallone.

 

Last Action Hero : Photo Arnold SchwarzeneggerQuand quelqu'un bouffe du popcorn en faisant du bruit

 

Plus qu’une parodie basse du front, Last Action Hero est un authentique Baroud d’honneur, rappelant que le délire pyrotechnique qu’il moque s’accompagne aussi de vrais moments de bravoure formelle : McTiernan se lâche complètement sur certaines séquences, notamment sur une poursuite qui reste un tour de force technique et visuel unique en son genre, jouant avec les focales en plein milieu de travellings furieux.

Ce n’est pas encore exactement l’ultime film d’action décérébré américain (cet honneur revient plutôt au prochain film de la liste), mais il annonce assurément la fin d’un monde, que McTiernan en personne viendra achever avec son pétaradant Die Hard 3. Shakespeare n’a plus qu’à se rhabiller.

 

true lies

  • Sortie : 1994
  • Durée : 2h24

 

True Lies : photo, Arnold SchwarzeneggerOui mais, si on danse ?

 

On y est : le dernier gros blockbuster d’action de sieur Schwarzenegger. Bien sûr, il s’accrochera à cette image dans L’Effaceur, Batman et Robin, A l’Aube du sixième jour, Terminator 3, Expendables et autres Evasion. Il parviendra même à timidement la retrouver dans le sympathique Dernier Rempart. Mais soyons sérieux 5 minutes : a-t-il jamais retrouvé l’énergie et la démesure de sa dernière collaboration avec James Cameron ?

Mis à part quelques archétypes pas franchement nécessaires, True Lies est la quintessence du blockbuster hollywoodien, à la fois drôle, malin et truffé de séquences ultra-spectaculaires, notamment dans un triple climax dont le réalisateur de Terminator a le secret, culminant avec peut-être la meilleure réplique jamais crachée par le comédien : "You're fired !". Le caster dans le rôle d'un représentant en informatique cachant on ne sait comment son métier d'agent secret alors qu'il pourrait encore battre Hulk au bras de fer, c'est déjà drôle. Mais quand Iron Jim s'occupe d'empaqueter tout ça dans une comédie d'action débridée, on sait qu'on va passer un très bon moment.

 

True Lies : photo True LiesUn tournage normal avec James Cameron

 

 

 

Au-delà du divertissement réglé au plan près, le film allie toutes les carrières de l'acteur. Lui qui est en train de développer son talent comique, il joue aussi bien sur le terrain de l'humour que de l'action bien musclée, aux côtés d'une Jamie Lee Curtis qui restera l'une de ses partenaires les plus mémorables. Clairement, son personnage complètement fantasque n'aurait convenu à aucun autre de ses collègues. C'est avec une facilité déconcertante qu'il passe de l'un à l'autre des registres, avec une rigueur dans l'exercice que ses successeurs ne parviendront jamais à reproduire. Il n'y a bien qu'un Schwarzy et il le prouve ici.

 

la course au jouet

  • Sortie : 1996
  • Durée : 1h26

 

La Course au jouet : photo, Arnold SchwarzeneggerVive le vent dans ta face

 

Il faut le dire : Arnold Schwarzenegger a rarement été aussi drôle que dans cette comédie de Noël (et promis, ce n'est pas que la nostalgie qui parle). Déjà, la simple idée de faire de cette montagne de muscles autrichienne un homme d'affaires respectable et père de famille aimant est savoureux. Comme s'il ne se rendait pas compte qu'il faisait une tête de plus que tout le monde, l'acteur essaie de normaliser son corps de colosse, et engendre par sa seule présence un décalage amusant.

En fait, Schwarzy aide à faire de La Course au jouet une sorte de cartoon en live action plus malin qu'il n'y paraît, où la dimension ultra-consumériste de Noël est gentiment parodiée par l'exaspération progressive du protagoniste et les séquences improbables qui s'enchaînent. D'une baston avec une armée de Pères Noël jusqu'à un final où Arnold devient lui-même le jouet commandé par son fils, le film de Brian Levant permet à ce dernier de se racheter pour son horrible adaptation de La Famille Pierrafeu.

Il exploite au mieux le physique improbable de sa star, en plein exercice d'auto-dérision, à interroger sa propre reproductibilité d'action man. Un incontournable familial pour les fêtes.

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commentaires
gazer
23/04/2024 à 10:30

@Geoffrey Crété - Rédaction : je ne suis pas abonné mais je l'avais vu passé lors sa publication ! mais je sais déjà que c'est un bon film ! L'époque où je ponçais les VHS de Stallone et Schwarzy ça n'a pas de prix ! Pour peu jme demande si Over The Top et Running man n'étais pas sur la même VHS :'D

Daddy Rich
22/04/2024 à 17:27

Il y a bien supérieur à LA COURSE AU JOUET (du niveau d'un téléfilm pourrav') un truc indigne que je trouve bien plus naze que ARRÊTE OU MA MERE VA TIRER!
(déjà JUMEAUX et JUNIOR c'est pas reluisant...)
Il y a donc un cran largement au dessus!
A commencer, par DOUBLE DETENTE! Un Walter Hill efficace et bourré de punchlines!
Puis DERNIER REMPART!
MAGGIE ou il est magnifique de justesse!
SABOTAGE! Explosif!
Même RUNNING MAN, LA FIN DES TEMPS et LE CONTRAT sont bien plus jouissifs!

Geoffrey Crété - Rédaction
22/04/2024 à 15:57

@gazer

Du coup, vous avez vu le lien vers le dossier entièrement dédié à Running Man !

gazer
22/04/2024 à 15:40

dès la première illus avec la légende j'ai compris... pas de Running Man... pourtant sub zero en mode sapin de noel et ses guirlandes Action c'était quelque chose !

Commando ça reste son meilleur film boom boom pan pan complètement débile, c'est vraiment un film marqueur de l'actionner des années 80 ! mais bordel qu'est ce que c'est c** comme film :)

Billy
22/04/2024 à 12:52

COMMANDO ????????????? Kékeu ça fou la ???? MDR

Même a l'époque il c'est fait défoncé par la critique, c'est le cliché même d'un nanard le film!

Sentenzaa
22/04/2024 à 10:23

In flic à la maternelle et la course au jouet et Jumeaux sont donc meilleurs que Double Détente ! Pauvre Walter Hill...

AltATou
22/04/2024 à 09:50

"Des babiles débiles, des babouins nubiles"

Sinople
21/04/2024 à 23:44

@TofVW : comment comptes-tu claquer des doigts pour tes molosses une fois que je t'aurai bouffer les pouces des 2 mains ? ;-)

Neji
21/04/2024 à 22:43

La course au jouet cette daube.
Vous oubliez.
Sabotage
Aftermath
Maggie
Ok pas des chefs-d'œuvre, mais des bons petits films avec chacun leur qualité et leur originalité.

Snake
21/04/2024 à 20:38

A la fin de la liste je me suis dit ils abusent quand même ils mettent les conneries de Reitman et pas Copland...puis j'ai réalisé...

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