Critique : prison break
Prenez une lampée de La Grande évasion, une grosse louche de 24, un soupçon de Oz, et un fifrelin de Shawshank redemption, laissez mijoter à feux doux pendant
Prenez une lampée de La Grande évasion, une grosse louche de 24, un soupçon de Oz, et un fifrelin de Shawshank redemption, laissez mijoter à feux doux pendant
Damages appartient à cette nouvelle tendance télévisuelle à glorifier les bad guys. Après la police et la médecine, c'est au tour de l'univers juridique
A la manière d'un Richard O., le héros d'Andalucia entraîne le spectateur dans une quête qui le dépasse. Du monde, on ne verra ici que le personnage. A travers
Avec un style visuel brutal, filmé en 16mm caméra à l'épaule, The Shield nous dépeind le quotidien d'un commissariat d'un nouveau genre situé à Los Angeles
A la claire fontaine, Juliette aimerait bien se baigner histoire de retrouver sa pureté. Philippe Claudel (écrivain à succès et auteur, entre autres, de
« Vous avez peur de ne pas être aussi convaincant au-delà de sept minutes ? » Petit pic lancé l'air de rien par Eloïse, 36 ans et clair
Boll contre-attaque ! Armé d'un budget conséquent (25 millions de dollars) et d'un casting aussi irréel pour le bonhomme qu'hétéroclite (Michael Madsen,
Barry Egan est un homme perturbé. Très perturbé.
L'idée de départ était bonne : conter les mémoires du cinéma français depuis la fin de la seconde guerre à l'aide d'interviews de cinéastes qui l'ont
Impossible à la vue de Boogie Nights d'accepter que son auteur est un jeune type de 26 ans.
Ça commence comme un mauvais film d'auteur. L'introduction de Coupable alterne témoignages d'un couple au bord du divorce, face caméra, et images d'une mer
Pour ceux qui ne manient par le ch'timi, il est fortement conseiller de descendre plus bas dans la critique pour en comprendre facilement le sens. CRITIQUE