Critique : Damages
Damages appartient à cette nouvelle tendance télévisuelle à glorifier les bad guys. Après la police et la médecine, c'est au tour de l'univers juridique d'être autopsié sous l'œil inquisiteur et omniscient du tube cathodique. Calquée sur le canevas d'une série procédurale classique, Damages change très vite de cadence pour apparaitre comme une version « trash » de The practice où les gentils avocats de David E. Kelley auraient troqués leurs masques de juristes bien pensants pour celui, beaucoup plus jouissifs, de requins arrivistes prêts à tout pour gagner. Trahisons, mensonges, chantages et autres agréables malversations sont ainsi le pain quotidien des protagonistes de Damages.
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