Critique : avant que j'oublie
Rien n'est plus détestable que les autofictions d'individus en phase de survie, c'est-à-dire sans vie réelle, sans rien à dire, à faire, à raconter
Rien n'est plus détestable que les autofictions d'individus en phase de survie, c'est-à-dire sans vie réelle, sans rien à dire, à faire, à raconter
Les Tchèques semblent apprécier les soldats benêts. Après Le Soldat Chvéïk de Jaroslav Hasek porté à l'écran en 1955 par Jiri Trnka, Jiri Menzel,
Non, le western n'est pas mort. Bien que les longs-métrages dans ce registre se comptent sur les doigts d'une main au cours de ces dernières années (décennies
Mike Myers est mort en 1999. C'est en substance la conclusion que l'on peut tirer de la vision de Love gourou, laborieux (télé)film de 65 millions de dollars.
Prenant l’exact contre-pied du cinéma d’horreur de ce début de 21ème siècle où la surenchère gore/trash, voire même parfois (in)volontairement grotesque,
Hasard ou coïncidence, un an après Grace is gone, la compétition du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2008 recelait un autre long-métrage présentant
Depuis le décès de sa femme, Walter Vale, prof de fac dans le Connecticut, mène une vie aussi monotone que rangée, entre les cours magistraux qu'il dispense
Dan élève tant bien que mal ses trois filles depuis le décès de sa femme. Lors de la traditionnelle réunion familiale à la maison de campagne de ses parents
Rose Lorkowski fut en son temps la cheerleader la plus populaire de son lycée. Malheureusement, les choses n'ont pas bien tourné pour elle. Mère célibataire
Ballast est l'œuvre d'un seul homme, ou presque. Pour son premier long-métrage, Lance Hammer cumule en effet les postes de scénariste, réalisateur, monteur et
Que dire d'une œuvre aussi commentée que Le Cuirassé Potemkine ? Chef d'œuvre passé depuis longtemps à la postérité, le film de Sergueï M. Eisenstein,
Entre Komaneko, coup de cœur du dernier festival Paris Cinéma, et Un été avec Coo, curiosité de cette rentrée, le cinéma d'animation japonais prouve