Les nouveautés films et séries à voir sur Disney+ en août

La Rédaction | 5 août 2021
La Rédaction | 5 août 2021

Parce qu'il n'y a pas que Netflix ou Amazon Prime Video dans ce monde et que d'autres plateformes voient leur catalogue grandir chaque jour, chaque semaine et chaque mois, on a décidé de faire le point sur les nouveautés prévues sur Disney+Chaque début de mois, Ecran Large reviendra donc sur quelques nouveautés ajoutées par Disney+ dans son catalogue, films et séries confondus, originaux ou pas, dans une liste non exhaustive.

Alors, quels sont les films et les séries à ne pas manquer sur la plateforme de streaming en ce mois d'août ?

 

photo Star

 

BIENTÔT DISPONIBLE

The Rider - le 6 août

Ça parle de quoi ? Le jeune cowboy Brady, étoile montante du rodéo, apprend qu'après son tragique accident de cheval, les compétitions lui sont désormais interdites. De retour chez lui, Brady doit trouver une nouvelle raison de vivre, à présent qu'il ne peut plus s'adonner à l'équitation et la compétition qui donnaient tout son sens à sa vie.

Pourquoi il faut la regarder ? Parce que le cinéma de Chloé Zhao demeure simultanément un petit miracle et une énigme. Choisissant, après son passionnant Les chansons que mes frères m'ont apprises, de poursuivre son expérience consistant à mêler fiction et documentaire, elle arpente une nouvelle fois les grands espaces américains. Elle évolue ici aux côtés d'un jeune qui incarne, littéralement, une certaine idée d'un rêve américain désormais disparu, celui des pionniers, des aventuriers, des cowboys et autres symboles de la nouvelle frontière qui fut un des mythes fondateurs de l'Americana.

Condamné à renoncer à la tradition, à ses rêves et à la symbolique qui ont inervé toute son existence, Brady est un authentique praticien du rodéo, que la caméra de Zaho sonde, le transformant petit à petit en personnage immense, à la sensibilité et aux questionnements bouleversants. Artiste sino-américaine, la réalisatrice a pour elle de ne pas filmer la nature américaine et ses héros brisés à la manière des précédentes générations de metteurs en scène américains, captant une lumière, une géographie et un univers qui semble se dévoiler à chaque plan. Peut-être la création la plus spectaculairement intime, grandiosement poétique de celle qui remporta l'Oscar de la meilleure réalisation et du meilleur film pour Nomadland.

Notre critique de Nomadland

La bande-annonce de Les Eternels

 

PhotoRide or die

 

La nouvelle guerre des boutons

Ça parle de quoi ? Mars 1944. Alors que la planète est secouée par les soubresauts de la guerre mondiale, dans un petit coin d’une campagne française se joue une guerre de gosses… Car, depuis toujours, les gamins des villages voisins de Longeverne et Velrans s'affrontent sans merci. Mais, cette fois, leur guerre va prendre une tournure inattendue : tous les petits prisonniers se voient délestés des boutons de leurs vêtements, en sorte qu’ils repartent presque dénudés, vaincus et humiliés. Ce conflit porte désormais un nom : la "guerre des boutons".

Pourquoi il faut le regarder ? Vous vous souvenez de septembre 2011 ? Vous vous souvenez de la guerre des Guerres des boutons ? Deux longs-métrages désireux de faire redécouvrir le classique à une nouvelle génération de marmots turbulents s'affrontaient à une semaine d'écart (le 14 et 21 septembre) et gravaient dans les esprits une des chamailleries les plus... puériles de l'histoire du cinéma français.

La Nouvelle guerre des boutons, la production Thomas Langmann, a beau être passée en deuxième, elle est celle qui s'en est le mieux sortie, de peu. Elle a attiré 1,5 million de spectateurs contre 1,4 million pour son concurrent (imaginez le carton s'ils ne s'étaient pas tirés dans les pattes). Une victoire symbolique probablement due à son casting très franco-français, composé de Laetitia CastaGuillaume CanetKad Merad et Gérard Jugnot. Si beaucoup lui préfèrent La guerre des boutons, grâce à la présence d'Eric Elmosnino et Alain Chabat, cette version a su convaincre pas mal de gosses à l'époque. Sa présence sur Disney+ est donc totalement justifiée.

 

photoUne partie de la rédaction d'Ecran Large quand l'autre partie parle mal de Prometheus

Target

Ça parle de quoi ? Quand deux agents secrets, meilleurs amis, mais toujours prêts à se tirer la bourre, comprennent qu’ils dragouillent la même femme, l’émulation vire à la compétition absurde et ultra-violente. 

Pourquoi il faut le regarder ? Target n’est pas exactement subtil. Ni franchement original. Tout comme on pourrait souligner qu’avec son portrait de deux mâles rutilants s’affrontant pour les doux yeux d’une femme est un concept franchement suranné, ou encore se désoler que le film, malgré sa vitalité et son humour, s’enferre dans une résolution trop facile. 

Mais ce serait oublier qu’il réussit l’essentiel, à savoir nous proposer un trio d’interprètes délicieusement surinvestis, qui prennent de toute évidence un pied fou à mettre en scène un jeu de séduction aux proportions dantesques. Outre la malice contagieuse de Chris Pine et Tom Hardy (dans un de ses rares rôles plaisamment légers), il faut saluer la capacité de Reese Witherspoon à renouveler le rôle classique de la belle plante écartelée entre deux prétendants. 

 

photoDeux gros calibres hollywoodiens

 

What If...? - dès le 11 août

Ça parle de quoi ? Les événements clés de l'univers Marvel à une sauce différente soit la version d'un univers parallèle de plusieurs moments clés de l'histoire de chaque personnage du MCU.

Pourquoi il faut la regarder ? Parce que c'est sûrement celle qui a le plus grand potentiel pour explorer l'univers Marvel d'une manière plus libérée et dingue. Avec l'animation, Disney peut absolument tout se permettre sur le papier et donc proposer quelque chose de jamais vu dans le MCU, à la fois visuellement (l'animation on le répète), mais aussi scénaristiquement avec son déclencheur : et si ?

De fait, la série dépeindra durant ses neuf épisodes une Peggy Carter devenue Captain America ou plutôt Captain Carter donc, à la place de Steve Rogers. Un Steve Rogers justement transformé en zombie, mais aussi un T'Challa en lieu et place de Star Lord, et même un combat entre deux Doctor Strange. Des intrigues alléchantes qui pourraient donner à mieux connaître les personnages et ouvrir le champ des possibles du multivers, lui qui a été pleinement ouvert par le grand final de la série Loki.

Notre vidéo sur l'avenir du MCU

 

 

X-Files saisons 10 & 11 

Ça parle de quoi ? Deux agents du FBI sont chargés d'enquêter sur les dossiers non résolus, appelés X-Files la plupart du temps des affaires où le paranormal entre en jeu.

Pourquoi il faut la regarder ? Cultes et archicultes, les aventures toujours étranges et souvent dangereuses de Fox Mulder et Dana Scully ont connu des hauts et des bas et il était temps qu’elles arrivent à une conclusion. Déviant de son âme originelle où les enquêtes tournaient autour du surnaturel en général, la série a pris un tournant assez franc en se concentrant sur les extraterrestres. Si la série créée par Chris Carter a perdu un peu de sa superbe au fil des saisons, elle est interprétée avec brio par le duo iconique David Duchovny et Gillian Anderson

Composées de seulement 6 et 10 épisodes, les deux dernières saisons de X-Files arrivent 13 années après la saison 9 et signe le retour de Mulder dans la série après le film The X-Files : Régénération qui était supposé conclure la production. Si elles sont loin d’être à la hauteur des premières saisons, les deux dernières offrent une vraie conclusion et des réponses à des questions laissées en suspens pendant bien des années.  

 

Photo Gillian Anderson, David DuchovnyLa vérité est sur Disney+

 

Darkest Minds : Rebellion - le 13 août

Ça parle de quoi ? Alors que des adolescents se mettent à développer de dangereuses facultés, le gouvernement décide d’adopter des mesures radicales pour les emprisonner, les considérant comme une menace incontrôlable. Ruby, l’une des plus puissantes d’entre eux, parvient à s’échapper du camp où elle est retenue pour rejoindre un groupe de jeunes en fuite à la recherche d’un refuge. Rapidement, cette nouvelle famille réalise que fuir ne suffira pas. Ils devront mener une puissante rébellion, unissant leur pouvoir pour reprendre le contrôle de leur avenir.

Pourquoi il faut le regarder ? La survie des tentatives d'adaptation young-adult dans l'industrie hollywoodienne constitue un excellent exemple du biais du survivant (surévaluer des chances de succès en ne se basant que sur les exceptions). Pour un Hunger Games, combien de Sublimes créatures, Les Âmes vagabondes, The Mortal Instruments : La Cité des ténèbres...? Mais les exécutifs hollywoodiens ont le don d'avoir la mémoire courte, ce qui nous offre quelques regains de tentatives toujours aussi prévisibles. 

Adapté des romans éponymes d'Alexandra Bracken, Darkest Minds : Rebellion, c'est juste X-Men avec des hormones en ébullition. La métaphore est d'une lourdeur pachydermique (les ados ont de grands pouvoirs qu'ils doivent apprendre à maîtriser, ce qui effraie les adultes), mais le film se regarde sans déplaisir. Vous êtes juste en terrain ultra-connu et la mise en scène de Jennifer Yuh Nelson (Kung Fu Panda 2, Kung Fu Panda 3) ne vous surprendra que rarement. Une promenade de santé oubliable, mais qui passe le temps.

 

photo, Harris DickinsonQuand tu tentes d'élever le scénario

 

Wall Street

Ça parle de quoi ? Bud Fox, jeune courtier aux dents longues d’une banque de Wall Street, est prêt à tout pour obtenir Gordon Gekko, l’un des hommes les plus puissants du monde de la finance, comme client. Ce dernier va le prendre sous son aile et le faire entrer dans un monde d’argent, de pouvoir de corruption, et de mensonges où Fox pourrait vite perdre plus que des sommes. 

Pourquoi il faut la regarder ? En 1987, Oliver Stone est encore un scénariste émérite de plusieurs grands réalisateurs de sa génération : Midnight Express, Scarface, L'Année du dragon... Mais il est aussi déjà un réalisateur acclamé qui vient de sortir Salvador, mais surtout Platoon qui lui a valu un catapultage express au sommet d’Hollywood. Ce dernier pose d’ailleurs les bases de ce qui fera la puissance de Stone jusqu’à son auto-caricature : un regard critique acerbe servi par une mise en scène stylisée.

Ici, c’est la folie et l’indigence des années fric que Stone cherche à dézinguer. Les années 80 et l’ultra-dérégulation du monde boursier ont offert un terreau fertile à une génération de courtiers avides, ultra-matérialistes et obsédés par l’argent. Si Charlie Sheen occupe le rôle principal, c’est encore une fois en spectateur-apprenti de Gordon Gekko, incarné par un Michael Douglas au sommet de son arrogance. Gekko est la quintessence, l’ultime condensé de cette époque : un cynisme sans frein et un appétit sans limites. Il est la vraie raison de regarder ce film, critique d’un système à l’apparence désuète, mais étrangement actuelle dans ses thématiques. 

 

Photo Michael DouglasÀ la poursuite du billet vert

 

Scary Movie 4

Ça parle de quoi ? Après les événements de Scary Movie 3, Cindy Campbell est engagée comme auxiliaire de vie auprès d’une vieille grabataire en pleine déliquescence. Elle va y rencontrer un enfant échappé de Le Cercle : The Ring qui tente de la prévenir d’une invasion extraterrestre. Les tripodes débarquent et c’est la cata partout, mais au milieu de ce chaos, il se pourrait bien que Cindy retrouve l’amour. 

Pourquoi il faut le regarder ? On manque peut-être encore trop de recul pour pouvoir pleinement juger la série des Scary movie. Le premier volet parodiait les slashers en mode Scream, le deuxième les films de maison hantée en mode La Maison du diable, le troisième devenait un mélange entre Signes et The Ring, et le quatrième part sur La guerre des mondes. Par la suite, ils ont donné naissance à tout un sous-sous-genre de film de parodie médiocre, avec Big Movie, Spartatouille, et autres amis du bon goût. Mais dur de dire lequel est pire qu’un autre, puisqu’au milieu des 200 blagues débiles pipi-caca-forte poitrine, il y a toujours un gag pour vous arracher un sourire ou un rire gêné.

Ici, c’est David Zucker qui reprend la caméra après les deux volets des frères Wayans. Athlète du gag depuis Top secret ! et Y a-t-il un pilote dans l'avion ?, son amour du comique burlesque se perd dans des références immédiatement datées. Vous parviendrez sans mal à y trouver un ou deux éclats de rire, arrachés au forceps par le film et sa subtilité de 38 tonnes, mais surtout aidé par l’abattage d’une Anna Faris que le monde ne mérite décidément pas tant elle s’investit à 200% même dans ses pires rôles.

 

Photo Scary Movie 4Quand t'as touché le fond, mais que tu creuses encore

 

Les Femmes du 6e étage 

Ça parle de quoi ? Paris, années 60. Jean-Louis Joubert, agent de change rigoureux découvre qu’une joyeuse cohorte de bonnes Espagnoles vit... au sixième étage de son immeuble bourgeois. Maria, la jeune femme qui travaille sous son toit, lui fait découvrir un univers exubérant et folklorique à l’opposé des manières et de l’austérité de son milieu.

Pourquoi il faut le regarder ? Dans le cadre d’une reconstitution féérique d’une France des années 60, Philippe Le Guay part d’abord d’une alliance stylistique en associant la pure comédie à un mélodrame profond, avant de s’atteler à un discours social fort sur la différence des classes et une réconciliation possible entre deux mondes distincts 

Cette forme de rassemblement de la différence est à la fois assez proche d’une leçon de morale sur la différence et l’acceptation de l’autre à la  Bienvenue chez les Ch'tis, mais est tout compte plus fin puisqu'il l'accompagne d'un beau portrait de femmes où le spectateur parvient comme Jean-Louis Joubert à découvrir leur vie modeste (voire très modeste), mais pleine de vie. 

Composé d’actrices espagnoles de renom, Les Femmes du 6e étage réussit également le pari de conjuguer la partie française élégante et précieuse en la personne de Fabrice Luchini et l’énergie endiablée des comédiennes espagnoles dont certaines sont issues de la folie de Pedro Almodóvar, telles que Lola Dueñas et Carmen Maura. Même si cela peut paraître caricatural de voir un réalisateur associer les comportements typiques des Espagnoles et des Français (a priori), Le Guay rend un travail abouti dans lequel le plaisir n’échappe pas à une pincée de réflexion

 

photo Les dames espagnoles se sont vues sur Disney+

 

À l'origine 

Ça parle de quoi ? Philippe Miller est un escroc solitaire qui vit sur les routes. Un jour, il découvre par hasard un chantier d'autoroute abandonné, arrêté depuis des années par des écologistes qui voulaient sauver une colonie de scarabées. L'arrêt des travaux avait été une catastrophe économique pour les habitants de cette région. Philippe y voit la chance de réaliser sa plus belle escroquerie. Mais son mensonge va lui échapper.

Pourquoi il faut le regarder ? Partant de l'affaire Philippe Berre, Xavier Giannoli revisite le fait divers du chantier de Saint-Marceau en 1997 et la figure d’un arnaqueur dont l’identité structurera l’ensemble de la narration. Le statut d’arnaqueur confère en effet chez Philippe Miller (François Cluzet), une forme d’interrogation sur qui il est. Et c’est dans un environnement populaire que ce personnage cultive une altérité permanente.

Cette fascination que l’on peut avoir pour un personnage de cette trempe y trouve également son intérêt lorsque Giannoli décide de filmer un environnement populaire âpre et précis, dans lequel la joie de voir des camions débarqués sur un immense chantier apporte à Miller une part d’humanité non négligeable. Car ce dernier croit tout de même en ce projet et porte une grande affection à ses habitants et à la maire de la ville (Emmanuelle Devos).

Il prend véritablement les choses en mains, malgré son immense arnaque, pour embarquer les espoirs d’un collectif d’une ville pauvre et sans gloire. Enfin, du côté du casting, À l'origine ne s'est pas trompé en alignant les seconds rôles tous plus géniaux les uns que les autres et le génial couple d'acteurs François Cluzet et Emmanuelle Devos.

 

photo, François Cluzet, Emmanuelle DevosLe Noël avant l'heure chez Disney+

 

Nos pires amis - le 27 août

Ça parle de quoi ? Un couple fait au Mexique la connaissance de deux fêtards en quête permanente de sensations fortes. Pour Marcus et Emily, il ne s’agit que d’une pause dans leur vie bien rangée. Sauf que, des mois plus tard, tous deux découvrent horrifiés que Ron et Kyla - les fameux fêtards - se sont invités à leur mariage, avec les conséquences désastreuses qu’on peut imaginer.

Pourquoi il faut le regarder ? Quand John Cena s'immisce à Hollywood, il ne fait pas les choses à moitié ! Après avoir campé pour Universal le frère ennemi de Vin Diesel dans Fast & Furious 9 et pour Warner un psychopathe idéaliste dans The Suicide Squad, le voilà qui joue la comédie pour une autre Major, et pas des moindres : Disney, via la Fox. Distribué sur Hulu aux États-Unis, Nos pires amis (Vacation Friends en V.O) devrait définitivement nous convaincre de ses talents humoristiques, déjà mis à contribution chez James Gunn.

Le pitch annonce un film reposant beaucoup sur la performance du quatuor de comédiens, complété par Lil Rel HoweryYvonne Orji et Meredith Hagner. Dans le meilleur des cas, ça sera une version destroy de l'épisode de The Office où Michael Scott ruine un mariage. Dans le pire, ça sera juste une comédie américaine bas du front de plus. Vu le CV très léger du réalisateur et du duo de scénaristes, on est pour l'instant incapables de trancher. Mais qu'est ce qu'on a à perdre ?

 

photo, Lil Rel Howery, John Cena, Meredith Hagner, Yvonne OrjiYou can see him

 

En thérapie saison 1

Ça parle de quoi ? Les séances de psy de plusieurs patients quelques semaines après les attentats parisiens de l'automne 2015.

Pourquoi il faut la regarder ? Parce que c'est une des grandes séries françaises de cette année 2021 et que maintenant qu'elle a quitté la plateforme replay de Arte, elle débarque assez étonnamment sur Disney+. Rien qui ne doit vous empêcher de ne pas vous jeter sur cette série de 35 épisodes, où le récit suit donc le parcours psychologique de plusieurs personnages touchés de près ou de loin par les attentats du Bataclan et l'impact même de ces séances sur le psychologue.

Une série émouvante remakant à sa sauce la série israélienne Be Tipul (qui a eu le droit à une dizaine de remake partout dans le monde dont l'Américaine En analyse) portée par un casting de rêve avec Clémence PoésyMélanie ThierryCarole BouquetReda KatebPio Marmaï ou encore Frédéric Pierrot.

Notre avis sur la série

 

photoUn casting qui fait rêver

  

Only Murders in the Building - le 31 août 

Ça parle de quoi ? Trois inconnus, obsédés par les affaires criminelles, se retrouvent liés à un meurtre dans la vie réelle et décident de résoudre le cas...

Pourquoi il faut la regarder ? Pour son casting détonant regroupant Martin ShortSteve Martin et Selena Gomez. Et pour son histoire drôle et loufoque qui fait de ce trio incongru une équipe de vengeurs de justiceMêlant humour noir et action comique, Only Murders in the Building semble être la rencontre d’À couteaux tirés et d’une partie de Cluedo. 

Une série qui vient prendre à contre-pied la prolifération des shows de true crime et la fascination parfois malsaine des spectateurs pour les meurtres et autres tueurs en séries. Drôle, piquante et pas dénuée de suspenseOnly Murders in the Building est une parenthèse un peu folle entre deux documentaires sur les serials killers.  

 

 

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