Venom : Let There Be Carnage - le design final de Carnage révélé par la promo du film en Chine

Alors que la communication autour de Venom : Let There Be Carnage accélère doucement, il est possible qu'une statue promo ait révélé le design final de Carnage.

Malgré des dialogues toujours un peu simplets, la bande-annonce de Venom : Let There Be Carnage, suite du très raté Venom premier du nom, avait réussi à calmer certains esprits. L'hideuse post-credits du premier film révélait en effet l'arrivée de Cletus Kasady alias Carnage - antagoniste ô combien révéré - sous les traits de Woody Harrelson et sous une perruque pour le moins hideuse, disparue depuis. La bande-annonce donnait également rapidement à voir un aperçu du symbiote rouge dans le film.

Quelqu'un voit quelque chose ?

Un aperçu cependant en contre-jour et d'à peine quelques secondes, qui empêchait de voir clairement le résultat et de distinguer autre chose qu'une vague bouillie de CGI similaire à celle du symbiote noir qui habite Tom Hardy. Cependant, alors que le film se rapproche et que les éléments promotionnels se multiplient, le look final du grand méchant aurait été révélé par le biais de statues placés dans les cinémas de Chine, qu'on vous laisse regarder.

Just as select IMAX theaters in China received a Venom statue for the first movie, select theaters are also receiving a Carnage statue for Venom: Let There be Carnage! pic.twitter.com/YPbOpaRfbr

— TheVenomSite (@thevenomsite) July 30, 2021

Aaaaaaaaaand let’s round it off with some really nice close ups shots of Venom and Carnage from 安琪电影Pasta on Weibo. pic.twitter.com/vYfiQrK93g

— TheVenomSite (@thevenomsite) July 30, 2021

Pour notre part on est assez surpris de constater une telle différence avec la bande-annonce, dans laquelle le rouge de Carnage est beaucoup moins vif et les détails beaucoup moins nombreux. Cela nous fait un peu douter qu'il s'agisse bien de ce à quoi il faille s'attendre à l'arrivée, mais espérons que le film prenne bien cette voie et ait autre chose à nous montrer qu'un colorswap marécageux du protagoniste.