Alien : retour sur une mythologie culte qui aurait pu être bien différente

La Rédaction | 29 avril 2017 - MAJ : 09/03/2021 15:58
La Rédaction | 29 avril 2017 - MAJ : 09/03/2021 15:58

Ecran Large revient sur la saga culte.

Alien : Covenant est le troisième film signé Ridley Scott dans la saga des xénomorphes. 38 ans après Alien, le huitième passager, la créature continue ainsi de hanter la mémoire collective et d'inspirer les cinéastes, parfois pour le pire mais surtout pour le meilleur.

Parce que la rédaction vénère la série Alien comme 99,8% des cinéphiles, elle profite du retour programmé des bestioles pour revenir sur quelques unes des scènes coupées des films de la franchise principale : des images fascinantes connues des fans, qui apportent un regard nouveau sur les films sortis au cinéma. Et auraient pu, pour certaines, faire prendre une toute autre tournure à la franchise.

 

 

ALIEN, LE HUITIÈME PASSAGER

Le film se déroule en 2122, alors que la société Weyland a envoyé un vaisseau massif, le Nostromo, convoyer du minerai. Sur le chemin du retour, il est détourné de sa trajectoire par son ordinateur de bord, qui a capté un message de détresse, en provenance de la planète LV-426, située dans le système Zeta 2 Reticuli.

 

PhotoUn dîner presque parfait

 

Ripley et son équipage y découvriront un vaisseau échoué, contenant les restes d'un organisme intelligent et non humain (le fameux space jockey), ainsi que des oeufs. Le contenu de l'un d'entre eux s'accroche au visage d'un membre d'équipage. Après que ce dernier ait été ramené au Nostromo, un corps étranger, manifestement inséminé lors du contact avec le contenu de l'oeuf (facehugger), perfore son abdomen, avant de croitre rapidement et de tuer tout l'équipage, à l'exception de Ripley. Elle parvient à tuer le xénomorphe et s'échappe à bord d'une capsule de survie, vouée à dériver dans l'espace.

 

Photo XénomorpheStrike a pose

 

Version cinéma : 1h57

Version longue : 1h56 

La mal-nommée director's cut d'Alien est plus courte que la version sortie en salles : Ridley Scott s'est plié à l'exercice à la demande du studio, à l'occasion de la sortie du coffret quadrilogie en 2003, mais considère que la première version est la bonne.

Néanmoins, il a décidé de bricoler son film pour en offrir une version alternative. Le cinéaste a ainsi retiré quelques secondes, quelques plans et parfois quelques petites scènes. Il a aussi ajouté certains éléments, parfois quelques plans mais également des moments plus notables : Lambert qui écoute les signaux venant de LV-426 tandis que le Nostronomo s'en approche, Lambert qui gifle Ripley devant l'infirmerie, Ripley et Parker qui arrivent en courant dans la pièce où Brett a été tué, ou encore l'alien qui pousse violemment la caisse du chat Jones (instant amusant, s'il en est).

Mais la plus célèbre des scènes est bien entendu celle du cocon. Ou comment une brève scène coupée a bien failli transformer tout le sens de la saga. 

 

Photo Sigourney Weaver, Yaphet Kotto, John Hurt, Tom Skerritt, Ian Holm, Veronica Cartwright, Harry Dean StantonL'équipe du Nostromo

  

Si Alien est immédiatement un succès public et critique lorsqu’il dévoile son xénomorphe tueur sur les écrans de cinéma, en 1979, la mythologie de la créature n’est encore qu’embryonnaire. Ainsi, peu de gens se posent la question de qui sera au centre du film de James Cameron, à savoir : « Qui pond ces foutus œufs ? »

Preuve que Ridley Scott avait de la suite dans les idées, il existe une séquence coupée, particulièrement angoissante, qui prend place dans la dernière partie du film, alors que Ripley, désormais seule survivante, tente de rejoindre le module de survie pour échapper à la bête qui a massacré tout son équipage.

Au détour d’une coursive, elle découvre que l’alien n’a pas tué ses compagnons mais les a emprisonnés dans des cocons où ils vivent encore. Il n’est pas explicitement dit que cette technique servira à nourrir le contenu des fameux œufs (et peut-être Scott n’en n’était-il pas encore sûr), mais de toute évidence, c’est un indice fondamental dans le cycle de vie du xénomorphe. Ainsi, il n'y aurait pas eu de reine, les victimes des créatures devenant ensuite des oeufs dans d'affreux cocons.

Graphique et inquiétante, cette scène aurait pu devenir tout aussi énigmatique et angoissante que la célèbre découverte du Space Jockey, mais ne fut pas découverte avant plusieurs années.

 

 

Il existe également des versions légèrement plus longues de la mort de Brett et Lambert. La première victime de l'alien adulte montrait davantage le xénomorphe, qui prenait le crâne du pauvre homme entre ses "mains" avant de lentement le broyer.

La rencontre terrible entre Lambert et la créature montrait elle aussi l'alien, mais d'une manière plus comique qu'effrayante : ce qui est depuis connu sous le nom de "crab walk" (disponible en mauvaise qualité, et sans son) dévoilait trop clairement que l'alien était un homme en costume, et jouait là encore contre le caractère terrifiant de la chose.

 



Photo Veronica Cartwright, alien xénomorpheAttention chérie, je vais te découper

 

ALIENS, LE RETOUR

57 ans ont passé. Ripley est retrouvée, toujours en cryo-sommeil, errant dans l'espace. Récupérée par la société Weyland, elle apprend avec horreur que la société a installé des colons sur LV-426, en vue de terraformer et exploiter la planète. Quand le contact avec la colonie est rompu, elle parvient à convaincre ses ex-employeurs de rejoindre la planète avec un groupe de marines. Résultat des courses : tout le monde se fait bouffer, sauf Ripley, l'androïde Bishop, Newt, enfant unique survivante de la colonie, et Hicks, l'un des marines.

Ils embarquent tous dans une capsule de survie et repartent pour un tour de cryo-sommeil.

 

Photo Sigourney WeaverDuel au sommet

 

Version cinéma : 2h17

Version longue : 2h34

Il y a beaucoup de nouveaux éléments dans la version director's cut de James Cameron, disponible depuis 1992. Parmi les plus importants : une scène où Ripley découvre que sa fille est morte pendant qu'elle dérivait dans l'espace. Suite aux événéments du premier film, Amanda Ripley a ainsi cru que sa mère était morte, et a mené une existence tranquille avant de mourir à 66 ans, soit deux ans avant que Ripley ne se réveille. "Je lui avais promis de rentrer pour son anniversaire... pour son onzième anniversaire", dit-elle en sanglotant.

Dans une version précédente du scénario, la fille de Ripley était encore en vie. Elles avaient un échange tendu par vidéo où Amanda, alors très âgée, disait à sa mère qu'elle la détestait pour avoir été absente toute sa vie et réapparaître. James Cameron a finalement décidé de la tuer, pour renforcer la thématique d'Aliens : la quête symbolique d'une mère, qui affronte une autre mère. 

 

Photo Sigourney Weaver, Carrie HennAnges et démons

 

La photo d'Amanda dans la scène coupée est celle de la mère de Sigourney Weaver. Lorsque l'actrice a découvert que la séquence avait été coupée pour raccourcir le film, elle n'aurait pas apprécié du tout, ce moment étant central pour le personnage. Un dialogue entre Newt et Ripley, lui aussi coupé, faisait référence à Amanda.

La scène coupée aura au moins eu le mérite de servir de base au fabuleux jeu vidéo Alien : Isolation, qui fait d'Amanda une jeune femme déterminée à comprendre ce qui est arrivé à sa mère. Interrogés sur la différence entre la mamie du film et l'héroïne du jeu, l'équipe d'Isolation a suggéré que Burke avait certainement menti pour motiver Ripley et accomplir ses plans machiavéliques.

 



Autre morceau coupé : une scène qui se déroule sur la planète LV-426 avant l'arrivée de Ripley et les marines. L'occasion d'apercevoir la colonie avant l'horreur, avec un clin d'oeil à Shining, mais surtout de présenter Newt et expliquer comment les aliens sont arrivés parmi les humains - et pourquoi ce n'est pas arrivé plus tôt. Une scène intéressante, qui change néanmoins beaucoup la narration : en décrochant du point de vue de Ripley, le film brise en partie le beau mystère de son arrivée sur la planète, et sa découverte des lieux.

 

 

La version director's cut offre également une scène où les aliens tentent une première fois d'attaquer le laboratoire où Ripley et les marines se sont enfermés. Avant de passer par le plafond, les xénormorphes essayaient la porte d'entrée, où étaient installés des tourelles de sécurité. 

Quelques autres scènes rallongées également (la commission d'enquête où Ripley affronte les bureaucrates, la découverte de souris sur les détecteurs de mouvement lors de l'arrivée sur LV-426, un dialogue entre Hudson et Ripley), et un court mais bel échange entre Ripley et Hicks à la toute fin : alors qu'elle s'apprête à replonger dans l'horreur pour retrouver Newt, il lui donne son prénom, et elle se présente sous le nom d'Ellen.

Il existe également une amusante scène (absente de la director's cut) où Ripley recroise Burke, dans le nid : il sent un alien en lui, demande de l'aide, et elle lui offre une grenade.

 

Photo Sigourney WeaverL'équipe de Marines

   

ALIEN 3

La capsule contenant les survivants s'écrase sur la planète Fiorina 16, qui abrite un centre prénitentiaire quasiment abandonné, où survivent matons et prisonniers de sexe masculin, tous condamnés à l'oublis pour des crimes sévères. A bord de la  capsule se trouvait malheureusement un oeuf alien. Ripley est la seule survivante du crash, elle et un chien ont été fécondés (ou un boeuf, selon les versions du film).

Tandis que les habitants de la prison tentent de lutter contre un premier xénomorphe avec les moyens du bord, Ripley découvre qu'elle doit mettre fin à ses jours pour se débarrasser de la créature qui grandit en son sein, un nouvel alien, une reine. Alors que des représentants de Weyland Industries tente de la capturer pour mettre la main sur la bête, elle se jette dans un haut-fourneau.

 

Photo Sigourney WeaverVisite surprise d'un vieil ami

 

Version cinéma : 1h54

Version longue : 2h25

Le cas le plus complexe de la saga originale. Le troisième épisode devait à l'origine être réalisé par Vincent Ward, qui avait en tête un film incroyable où la capsule de Ripley se crashe sur une planète-monastère en bois, amenant par la même occasion avec un alien. D'abord séduit, le studio finit par lutter contre le cinéaste, qui décide par s'en aller alors que les décors étaient en cours de construction.

Réalisateur de clips de 28 ans, David Fincher est alors engagé. Le rêve se transformera en cauchemar pour lui, notamment parce que le projet est lancé en urgence, avec un scénario réécrit pendant le tournage et des reshoots de dernière minute, et qu'il entretient des rapports très conflictuels avec la production. Le réalisateur a depuis renié son premier film, et n'a pas souhaité revenir dessus lorsque le studio lui a proposé de monter sa director's cut.

 

Photo Sigourney Weaver et David FincherDavid Fincher et Sigourney Weaver sur le tournage d'Alien 3

 

Le producteur Charles de Lauzirika a donc créé une version alternative d'Alien 3, appelée Assembly cut : un montage notamment basé sur les notes de production de Fincher, avant que le film ne soit charcuté par le studio. Une trentaine de minutes inédites (dont des effets spéciaux créés spécialement pour l'occasion, puisque jamais finalisés à l'époque) qui, à défaut d'offrir la version réelle de David Fincher, changent fondamentalement le film.

Et la différence saute aux yeux dès les premiers instants : le film s'ouvre sur les paysages sombres de la planète Fiorina, où Clemens découvre Ripley, évanouie sur la plage noire, des asticots sur le corps. De quoi ouvrir le cauchemar sur une note très différente.

 

 

 

Autre différence de taille : le facehugger ne s'en prend pas au chien Spike, mais à un boeuf. 

 

  

 

Mais l'élément majeur intervient plus tard, lorsque Ripley et les détenus élaborent un plan pour enfermer l'alien dans le local à déchets nucléaires. Dans la version cinéma, la chose tourne à la catastrophe et tue de nombreuses personnes. Dans la nouvelle version, le plan ne se passe pas comme prévu, mais le xénomorphe est bel et bien piégé, grâce au sacrifice d'un prisonnier qui attire l'alien à l'intérieur avant que la porte ne soit refermée.

Une scène qui change naturellement toute une portion du film. Une équipe de Weyland-Yutani est en chemin, et Ripley doute de leurs intentions vis-à-vis de l'alien. Elle demande à Aaron de leur envoyer un message pour en avoir le coeur net : ils demandent la permission de tuer la créature, et le refus catégorique de la compagnie confirme ses craintes.

En parallèle, Golic le fou est totalement fasciné par l'alien. Au point d'aller le libérer après avoir notamment tranché la gorge de celui qui garde la porte. Il rejoint la bête dans l'obscurité après lui avoir demandé ce qu'elle veut qu'il fasse, et l'alien retrouve sa liberté. De nombreux dialogues, plans et scènes sont ajoutés ou présentés sous une forme différente suite à cet événement.

Enfin, le climax du film offre quelques nouveautés. La nature humaine de Bishop est claire, un scientifique filme les événements, et le suicide de Ripley est sensiblement différent : après une ultime réplique ("Vous êtes tous fous"), elle se jette dans le vide, mais l'alien ne sort pas de son abdomen comme dans la version cinéma.

  

  

ALIEN, LA RESURRECTION

En 2381, Ripley est clonée avec succès, après huit tentatives malheureuses. Cette Ripley est créé à partir de son ADN originelle ainsi que de celle d’un alien, permettant aux chirurgiens d’extraire de son corps un embryon de reine, lequel permettra de débuter l’élevage et l’étude des xénomorphes.

Notre héroïne se réveille sur la station Auriga, où la situation ne tarde pas à partir en cacahuètes. Alors que des mercenaires apportent sur la station des prisonniers destinés à être fécondés par les vilaines bestioles. Bien sûr les aliens s’échappent, et Ripley s’allie aux mercenaires pour les tuer et survivre.

Après avoir tué la reine et le monstre hybride dont elle vient d’accoucher ( ?!?) Ripley atterrit en catastrophe avec une poignée de survivants sur la planète Terre.

 

Alien 4Belle gueule de porte-bonheur

 

Version cinéma : 1h49

Version longue : 1h56 

Alien la Résurrection partait avec plusieurs handicaps. La saga avait déjà perdu de sa superbe à cause du précédent opus, charcuté par la production au point que David Fincher voulait le retirer de sa filmo, et surtout parce que Sigourney Weaver hésitait plus qu'un peu à retrouver Ripley une dernière fois, elle qui avait fait tuer son personnage pour en être débarrassée. 

Pourtant, Alien 4 se fait néanmoins, avec un casting de seconds couteaux prestigieux et un réalisateur visionnaire à la tête de tout ça, Jean-Pierre Jeunet. Le problème, c'est que Jeunet n'en a pas grand chose à faire d'Alien et y voit surtout l'occasion de faire une comédie noire pétée de thunes. En résulte un ton à la limite du grotesque, un changement d'ambiance drastique avec les précédents films, le spectateur étant un peu balloté entre du Jeunet pur jus et la terreur attendue qui ne vient qu'en quelques rares moments.
 
Le générique alternatif en était une preuve incontestable : une scène insolite qui se tourne en dérision le xénomorphe. Si la scène a été coupée, elle avait pourtant été l'un des éléments-clés du pitch de Jeunet lorsqu'il a rencontré les producteurs avant d'être engagé.

 

 
Par ailleurs, la version longue d'Alien, la résurrection offre quelques scènes intéressantes, qui renforcent l'étrangeté de l'héroïne : Ripley qui se réveille pendant l'opération initiale pour attaquer un chirurgien, qui évoque ses souvenirs des événements d'Alien 3, et surtout plusieurs références à Newt, qui ont été tristement coupées à la manière d'Amanda dans Aliens, le retour.
 

 

 
Si le film est loin d'être une purge (voir notre article sur le sujet), les fans n'ont pas répondu aussi présent qu'escompté. Et pourtant, la version que nous avons vu en salles nous préservait du plus grand coup de poker du réalisateur, celui qui aurait pu changer le visage entier de la saga : la fin alternative.
 
Cette scène montre en effet les rares survivants arriver finalement sur Terre, dans la continuité directe de la fin de la version cinéma. Un rêve pour tout fan de la saga qui espère depuis le début un combat acharné contre les Xénomorphes sur la planète bleue. Sauf que voilà, l'esprit de contradiction de Jeunet a encore frappé : la Terre est dévastée (la scène a été tournée sur un paysage enneigé, mais a été modifiée pour ce paysage post-apocalyptique pour l'édition spéciale), les humains ont a priori disparu et il ne reste que des ruines. Call et Ripley, face à un Paris détruit, se demandent bien ce qu'elles vont pouvoir y faire.
 
Une note extrêmement sombre qui surprend par sa poésie macabre (les dernières notes macabres de la mélodie triomphante) et qui, quand on y réfléchit, pourrait avoir du sens. Mais les producteurs ont sans doute pensé que cela faisait un peu trop et que le public n'était pas prêt à accepter l'idée qu'ils venaient de se taper une saga entière juste pour en arriver là. Et ils ont probablement eu raison. 

 

 

 

photoAlien versiojn CGI

 

Tout savoir sur Alien, le huitième passager

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commentaires
Geoffrey Crété - Rédaction
10/03/2019 à 18:40

@pour info

Si vous parlez de ça :

"La mal-nommée director's cut d'Alien est plus courte que la version sortie en salles : Ridley Scott s'est plié à l'exercice à la demande du studio, à l'occasion de la sortie du coffret quadrilogie en 2003, mais considère que la première version est la bonne."

Alors merci de relire : on dit mal-nommé non pas car la version est plus courte, mais parce que Ridley Scott considère que la version sortie en salles est sa version.
Donc pour info, on sait ce que signifie director's cut ;)

Pour info:
10/03/2019 à 18:28

"Director's cut" signifie "intentions voulue par le réalisateur" , pas "version longue"! Donc "Alien director's cut" n'est pas mal nommé, sauf à ne pas connaître la signification des termes employés..

Rorov94
01/05/2017 à 18:03

J'y étais,c'est un monument;de la sf morbide.
Et surtout...THE BITCH IS BACK!!!

Geoffrey Crété - Rédaction
30/04/2017 à 11:33

@totoro

Embargo jusqu'au 7 mai ! D'ici là : silence radio imposé.

.
30/04/2017 à 08:35

Acheter la bible, Alien les archives, si vous êtes un mordu de l'univers d'alien c'est le meilleur livre qui a était fait, je vous le recommande.

totoro
30/04/2017 à 02:29

@Larédaction: En traînant sur le site de Mad Movies, j'ai vu que la projo presse de "Covenant" avait eu lieu. J'imagine qu'il y a un gros blocus sur les réactions. Avez-vous une idée de la date de mise en ligne de votre critique. Je crève d'envie de voir le film ! L'attente en-a t'elle valu le coup ?!?

kolby
29/04/2017 à 20:29

Vraiment super article... Ça nous ouvre les yeux et nous permet de comprendre certaine irrégularité...
Pour ma part je comprend pourquoi la production a accepté le navet de prometheus de Ridley Scott car Jeunet pour sa fin de résurrection ne laissait plus de place pour une suite. Tout cela parce que le 3 n'as pas été a la hauteur.
Comme l'avait comprendre écranlarge sur l'idée de bloomkamp de repartir sur l'histoire de Cameron. Il n'a pas eu tord

Romulus
29/04/2017 à 19:44

@La Rédaction

Merci pour votre réponse : )
Hâte de lire l'article sur Prometheus (que j'aime bien aimé).

Grap
29/04/2017 à 19:14

Super dossier
Merci !

Geoffrey Crété - Rédaction
29/04/2017 à 18:40

@Romulus

Parce qu'on a décidé de s'attarder uniquement sur la saga originelle avec Sigourney Weaver, et que Prometheus aura droit à un autre article, différent. D'ici la sortie d'Alien : Covenant, les xénormorphes auront d'autres occasions de "briller" ici.

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