
Ready Player One : critique rétro-futuro-ludique
Steven Spielberg retrouve le grand cinéma d'aventure, le temps d'une odyssée vidéoludique ambitieuse et virtuose avec Ready Player One.
2044. La Terre n'est pas belle à voir. Comme la majeure partie de l'humanité, Wade Watts passe son temps dans l'Oasis, un monde virtuel où chacun peut faire et être tout ce qui lui chante. Pour oublier la misère dans laquelle il vit. Il rêve secrètement d'être celui qui décrochera le ticket gagnant de la grande loterie...
James Halliday, le créateur de l'Oasis, est mort quelques années auparavant sans laisser de successeur. Pour décider du sort de sa fortune, il a créé une véritable chausse au trésor. Battre des records à Pac-Man, réciter par coeur des parles de Devo, ou trouver les failles des jeux vidéo cultes : voilà l'unique moyen d'accéder à son héritage colossal. Des centaines de personnes ont essayé, en vain. Joueurs invétérés ou grand organismes mondiaux corrompus, tous s'y sont cassé les dents. Wade se dit qu'il serait peut-être capable de relever le défi. Et il résout la première énigme.
Steven Spielberg retrouve le grand cinéma d'aventure, le temps d'une odyssée vidéoludique ambitieuse et virtuose avec Ready Player One.
Différents en théorie, et pourtant si proches, Ready Player One et Under The Silver Lake prennent tous deux le pouls d'une pop culture en pleine transformation.
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Spielberg a su marquer les esprits avec Ready Player One, adapté du roman du même nom, et l'auteur Ernest Cline entend bien faire une suite avec la Warner.