Star Wars : Episode I - La Menace fantôme : speeder-critique
Le début de la prélogie de George Lucas a beaucoup divisé, et continue de hanter les nuits de certains fans.
Il y a bien longtemps, dans une galaxie très lointaine... La République connaît de nombreux tourments : la corruption fait vaciller ses bases, le Sénat s'embourbe dans des discussions politiques sans fin et de nombreux pouvoirs dissidents commencent à émerger, annonçant la chute d'un système autrefois paisible. Puissante et intouchable, la Fédération du Commerce impose par la force la taxation des routes commerciales. Refusant de céder, la pacifique planète Naboo, dirigée par la jeune Reine Amidala, subit un blocus militaire de la Fédération. Dépêchés par le Sénat pour régler cette affaire, les chevaliers Jedi Qui-Gon Jinn et Obi-Wan Kenobi découvrent qu'une véritable offensive de la Fédération est imminente. Libérant la Reine et ses proches, ils quittent la planète mais doivent se poser sur Tatooine pour réparer leur vaisseau...
Le début de la prélogie de George Lucas a beaucoup divisé, et continue de hanter les nuits de certains fans.
Raillée et moquée, la prélogie de Star Wars connait les prémices d'une seconde vie depuis que Disney a les droits sur la saga. Et si c'était bien, en fait ?
Liam Neeson, bien connu pour avoir prêté ses traits au maître Jedi Qui-Gon Jinn, est revenu sur l'un des gros soucis de la franchise Star Wars.
Ahmed Best, interprète de Jar Jar Binks dans Star Wars : Episode I et ses suites, est revenu sur la grande depression causée par les critiques du personnage.