
The King of Staten Island : critique Freaks and Weed
Judd Apatow, le réalisateur de 40 ans toujours puceau et Funny People, est de retour, avec Pete Davidson en haut de l'affiche.
Il semblerait que le développement de Scott ait largement été freiné depuis le décès de son père pompier, quand il avait 7 ans. Il en a aujourd’hui 24 et entretient le doux rêve d’ouvrir un restaurant/salon de tatouage. Alors que sa jeune soeur Claire, sociable et bonne élève, part étudier à l’université, Scott vit toujours au crochet de sa mère infirmière, Margie, et passe le plus clair de son temps à fumer de l’herbe, à traîner avec ses potes Oscar, Igor et Richie et à coucher en cachette avec son amie d’enfance Kelsey. Mais quand, après 17 ans de veuvage, sa mère commence à fréquenter Ray, lui aussi pompier, Scott va voir sa vie chamboulée et ses angoisses exacerbées. L’adolescent attardé qu’il est resté va enfin devoir faire face à ses responsabilités et au deuil de son père.
Judd Apatow, le réalisateur de 40 ans toujours puceau et Funny People, est de retour, avec Pete Davidson en haut de l'affiche.
Réservoir sans fond d'humoristes talentueux, le Saturday Night Live est un excellent incubateur de talents auquel la comédie américaine doit beaucoup.
Après Dany Boon en France, Netflix s'offre un nouveau ponte d'Hollywood pour une comédie... sur des gens qui sont confinés.
Dans Spider-Man et The King of Staten Island, Marisa Tomei incarne des figures maternelles, mais elle aimerait que ça ne devienne pas une règle.