Annabelle, Destination finale, Sixième sens... 13 preuves que The Twilight Zone a (quasi) tout inventé

Geoffrey Crété | 13 mai 2021
Geoffrey Crété | 13 mai 2021

The Twilight Zone (La Quatrième Dimension) est une série culte, et ça se voit : elle a inspiré bien du monde.

Bien avant que le réalisateur Jordan Peele (Get Out, Us) ne présente la version de 2019, The Twilight Zone a hanté les nuits de générations entières. Née de l'imagination de Rod Serling en 1959, La Quatrième Dimension a donné lieu à La Cinquième Dimension et La Treizième dimension, sans oublier le film à sketches La Quatrième dimension, réalisé par John LandisGeorge MillerSteven Spielberg et Joe Dante.

Le récent retour de la célèbre anthologie étaitl'occasion parfaite de revenir sur son influence énorme. CubeSixième SensChuckyAnnabelleThe Truman ShowDestination Finale...  La Dimension de Rod Serling a inspiré, directement ou indirectement, bien des films depuis.

Retour sur 13 épisodes cultes, qui illustrent l'importance majeure de l'anthologie.

ATTENTION SPOILERS !

 

photoRetour vers le futur

  

CINQ PERSONNAGES EN QUÊTE D'UNE SORTIE 

Un clown, une danseuse, un musicien, un militaire et un clochard sont enfermés dans une petite pièce vide, sans aucune idée de qui ils sont. Où sont-ils ? Pourquoi sont-il là ?

L'épisode 79 (S3E14) de La Quatrième Dimension est resté comme un grand moment en terme de twist et perspective traumatisante. Alors qu'ils s'interrogent sur l'éventualité d'un enlèvement par des aliens, d'un cauchemar ou simplement d'un enfer qui les a avalés, les cinq personnages découvrent finalement une vérité bien plus triviale : ils ne sont que de simples jouets, collectés pour un orphelinant en période de fêtes. La cloche qui retentit et les terrorise, est celle qu'une dame remue dans la rue pour demander l'attention des passants, dans la neige.

L'épisode a tout d'un Toy Story tordu et cauchemardesque, et difficile de ne pas voir un lien avec Cube, le petit chef d'oeuvre de Vincenzo Natali (qui affirme ne pas avoir été inspiré par cette histoire). Pour le spectateur, l'idée que l'humain ne puisse être qu'une babiole minuscule dans le grand dessein de l'univers est vertigineuse, et terrifiante.

En 25 minutes, l'épisode en noir et blanc marque durablement. On en parlait plus en détail par ici.

 

Episode Cinq personnages en quête d'une sortieCube dans un cylindre

 

SANS ESCALE DE VIE À TRÉPAS

Hospitalisée, une danseuse affronte le même terrible cauchemar, chaque nuit, avec la sensation que c'est bien plus qu'un rêve...

Impossible de ne pas voir dans Destination Finale une extension de cet épisode très malin, le film de 1999 n'ayant même pas pris la peine de masquer l'inspiration. Sans escale de vie à trépas (S2E17) se termine sur l'héroïne qui refuse de prendre un avion, après avoir constaté plusieurs points communs entre son cauchemar récurrent et la réalité lors de l'embarcation. Et alors qu'elle est ramenée dans l'aéroport pour reprendre ses esprits suite à sa crise de panique, l'avion en question explose, preuve que son rêve était un présage...

C'est à peu près exactement le point de départ de l'amusant film réalisé par James Wong, où un étudiant a la vision du crash de son avion, décide d'en sortir et observe, médusé, l'appareil exploser sous ses yeux. Le film (parti d'une idée de Jeffrey Reddick) a imaginé la suite, avec un plan de la Mort en personne qui cherche à régler ce dysfonctionnement. Mais même sans ça, l'épisode reste excellent et glaçant.

 

photo Destination cauchemar

 

LA POUPÉE VIVANTE

Un homme commence à penser que la nouvelle poupée de sa belle-fille est vivante, et lui en veut...

Le spectateur moderne ne sera absolument pas surpris de découvrir que la poupée est bel et bien vivante. Programmée pour dire "Je m'appelle Tina et je t'aime vraiment beaucoup", le jouet des enfers va peu à peu changer son discours pour exprimer son mépris, sa colère, et va finalement provoquer la mort de cet adulte qui cherche à la détruire.

Lorsqu'à la fin, elle prévient la petite fille avec un "Je m'appelle Tina et tu ferais mieux de m'aimer", le frisson est réel. Le discours sur la violence au sein de la cellule familiale, et l'impact des crises conjugales sur les enfants, est bien là, mais c'est véritablement cette idée de jouet capable de tuer qui marquera les esprits.

De Chucky à Annabelle, l'inspiration est large. La Poupée vivante (S5E6) n'est d'ailleurs pas le seul épisode de La Quatrième Dimension à exploiter l'idée d'une poupée douée de vie, La Marionnette (S3E33) étant un autre beau morceau d'horreur sur ce terrain, qui a directement inspiré l'épisode éponyme de la saison 1 de Buffy contre les vampires.

 

photoNe jamais acheter un truc qui y ressemble de près ou de loin

 

IMAGE DANS UN MIROIR 

Alors qu'elle attend un bus, une jeune femme aperçoit un double d'elle-même...

Le motif du double a inspiré des tonnes de films et séries, comme rappelé dans un dossier. La sortie du Us de Jordan Peele en est la dernière démonstration. La Quatrième Dimension s'est amusé avec cette idée dès 1960, dans un petit cauchemar porté par Vera Miles, la même année que Psychose d'Alfred Hitchcock.

En moins de 25 minutes, cet épisode (S1E21) aborde presque tous les angles du motif du double maléfique : le trouble, le doute, la paranoïa, et même l'idée d'un monde parallèle où chacun aurait un doppelganger, susceptible de venir remplacer l'original. Le monologue de Vera Miles est particulièrement étonnant et moderne, et a sûrement servi de carburant à bien des films, de The Broken à Enemy, en passant par Soeurs de sang et Mirrors.

Le sourire béat du double final, qui s'élance pour disparaître dans la nuit, est particulièrement mémorable, et témoigne là encore d'un point de vue passionnant, qui ouvre des tonnes de possibilités.

 

photoVera Miles déjà en Psychose

 

LES MONSTRES DE MAPLE STREET

Après avoir assisté à une étrange apparition dans le ciel, les habitants d'un petit quartier commencent à penser que des aliens se sont cachés parmi eux.

Un épisode classique (S1E22) sur la paranoïa collective et les phénomènes de groupe, voué à rester un indémodable, pertinent en tout temps. Les monstres ici ne sont évidemment pas les aliens, mais les humains, capables de se retourner les uns contre les autres, et être aveuglés par leurs peurs quitte à écouter leurs plus bas instincts.

La conclusion confirme la présence d'aliens, simplement postés sur la colline à les observer, et jouer avec l'électricité. "Il suffit de mettre en panne leur courant, leurs téléphones, de les plonger dans le noir quelques heures". Une expérience diabolique et un avertissement sévère pour l'humanité, si facilement manipulable par les puissants. "Leur monde est plein de Maple street", lâche un des aliens à apparence humaine, histoire de bien appuyer le sous-texte politique et social.

L'idée (l'homme est un loup pour l'homme) est depuis devenue une formule dans le cinéma de genre, où la menace est souvent plus du côté des survivants que des soi-disant monstres (28 jours plus tardThe DescentLa Guerre des mondesThe Thing). Mais en 1960, en pleine guerre froide qui remue les mentalités, c'est une histoire riche et forte. 

"La conquête ne passe pas nécessairement par les bombes et les explosions. il existe d'autres armes. Il suffit de connaître la faille en l'homme, et de l'exploiter", achève la voix de Rod Serling. La Quatrième Dimension dans ses plus belles heures, lorsqu'elle tend un miroir terrifiant et terriblement réaliste à son public.

 

photoL'enfer, c'est nous autres

 

C'EST UNE BELLE VIE

Doté de puissants pouvoirs, un enfant de six ans contrôle sa petite ville, et terrorise adultes et enfants, personne n'osant le contredire...

C'était en 1961. Des années avant La Malédiction et L'Exorciste, et même avant Le Village des damnés, puisque l'épisode est adapté d'une nouvelle de Jérome Bixby publiée en 1953.

Et cet épisode (S3E8) est sans nul doute l'une des meilleures illustrations de l'enfant diabolique dans le cinéma de genre. Aucun twist ici, ni de réelle évolution, mais un tourbillon cauchemardesque sans fin, qui condamne la petite ville de Peaksville à être à la merci d'Anthony Fremont pour longtemps. Ce visage d'ange cache un dieu tortionnaire et capricieux, sans aucune pitié, que personne n'ose contrarier ou menacer. 

Un épisode d'une simplicité froide, si marquant qu'il sera refait dans le film La Quatrième dimension, par Joe Dante.

  

photoUn bon pudding à l'arsenic et c'est réglé

 

L'AUTO-STOPPEUR

Alors qu'elle traverse les Etats-Unis, une jeune femme est persuadée d'être traquée pour un auto-stoppeur...

Sixième SensLes AutresL'Échelle de JacobStay, Reeker ou même Intuitions dans une certaine mesure : l'idée d'un protagoniste qui se révèle être mort depuis le début est désormais familière. Mais à la télévision en 1960, c'est un joli twist lorsque le spectateur découvre que cette pauvre Nan Adams est décédée dans un accident de voiture, et que ce mystérieux auto-stoppeur qui la poursuit est une image de la Mort elle-même, qui attend qu'elle réalise que c'est fini ("I believe you're going... my way ?").

Ce n'est pas l'épisode le plus fort de l'anthologie (S1E16), mais il a une valeur particulière vu comme cette ficelle narrative a depuis été réutilisée dans tous les sens, au point de devenir un mauvais cliché.

 

photo Ne te retourne pas

 

LA PETITE FILLE PERDUE

Des parents sont réveillés en pleine nuit par les pleurs de leur fille, provenant de sa chambre. Sauf qu'ils ne trouvent l'enfant nulle part, alors que ses cris viennent de sous le lit...

Une petite fille happée dans une autre dimension, un portail caché dans une chambre d'enfant, un expert qui éclaire le mystère, un parent qui va chercher le môme dans cet univers... Qui a dit Poltergeist ?

Adaptée de la nouvelle The Shores of Space de Richard Matheson, La Petite Fille perdue (S3E26) est un petit bijou d'étrangeté, qui transforme un décor familier et doux (une chambre d'enfant) en territoire de danger et mystère. C'est aussi l'un des épisodes qui s'aventure le plus clairement dans le fantastique, avec littéralement une quatrième dimension à l'image, où le père va chercher sa fille. 

Jouant astucieusement de l'imaginaire enfantin, où l'espace sous le lit demeure un vaste terreau à cauchemar, l'épisode a de toute évidence inspiré Spileberg, Mark Victor et Michael Grais pour le film culte de Tobe Hooper. Et Poltergeist ayant par la suite inspiré bien d'autres films...

 

photoVous ne regardez plus jamais votre lit du même oeil

  

L'ŒIL DE L'ADMIRATEUR

Après une énième opération au visage, une femme attend nerveusement que ses bandages soient retirés, en espérant être enfin belle aux yeux du monde.

Le twist diabolique par excellence, qui renverse les perspectives dans la plus pure tradition de l'anthologie Rod Serling. Le spectateur découvre ainsi que si cette Janet Tyler est belle, elle semble monstrueuse aux yeux des médecins, tous difformes. La normalité est tout autre dans ce monde, où les affreux visages porcins sont naturels. Les traits humains de la patiente sont alors affreux, puisqu'anormaux, et la condamnent à être exilée parmi d'autres specimens, loin de la société.

"La question qui vous vient à l'esprit : Où et quand est-ce que ça se passe ? Quel est ce monde où la laideur est la norme, et la beauté, la déviation de cette norme ? Vous voulez la réponse ? La réponse est que ça n'a aucune importance, parce que le vieux dicton est vrai. La beauté est dans l'oeil de celui qui regarde." La voix de Serling vient donner la fascinante leçon.

L'Œil de l'admirateur (S2E6) n'a peut-être pas directement inspiré de film, mais nul doute que ce twist diabolique et pervers, d'une ironie mordante et diabolique, a marqué des esprits. La manière adroite qu'a l'épisode de glisser subitement vers l'horreur, et une autre dimension, reste encore aujourd'hui un petit coup de génie.

 

photoImpressionnants maquillages de William Tuttle

 

LES ENVAHISSEURS

Une femme est attaquée par d'étranges et minuscules assaillants, qu'elle repousse par tous les moyens de sa maison...

C'est l'un des épisodes (S2E15) écrits par le célèbre écrivain Richard Matheson, qui aborde avec malice la question du point de vue. Trompé par l'identification et les ficelles narratives, le spectateur se retrouve piégé, convaincu que son repère est cette étrange femme, incarnée par Agnes Moorehead, et que la menace réside dans ces petits assaillants semblables à de minuscules robots.

Leur défaite aura un goût amer lorsque ces ennemis se révèlent être des humains, venus à bord d'un vaisseau de l'armée américaine. Ils auront le temps d'envoyer un signal de détresse, avertissant qu'ils ont découvert une planète peuplée d'humains gigantesques et trop puissants pour être vaincus. La femme les achève avant de reprendre sa vie, sous les yeux médusés du spectateur.

L'idée de renverser la menace, de masquer l'ennemi grâce à l'identification, est également devenu une grosse ficelle. D'Usual Suspects à Escapade fatale en passant par Extinction disponible sur Netflix, elle a été recyclée et travaillée de nombreuses fois.

 

photo, Agnes MooreheadMémorable Agnes Moorehead

  

CAUCHEMAR À 20 000 PIEDS

En plein vol, un homme est persuadé d'avoir vu une créature sur l'aile de l'avion...

Joli cru que cet épisode (S5E3), réalisé par Richard Donner (La MalédictionSupermanLes GooniesL'Arme fatale), écrit par Richard Matheson et interprété par William Shatner, inoubliable Kirk de Star Trek (qu'il rejoindra peu de temps après).

La mécanique est très simple, et parfaitement prévisible pour le spectateur moderne qui aura vu des tonnes d'histoires plus ou moins directement inspirés par ce cauchemar dans les airs. Take ShelterFlight PlanL'Armée des 12 singes... l'idée d'un protagoniste éventuellement fou, que le spectateur est poussé à questionner, est une autre grosse ficelle du cinéma de genre.

L'épisode sera refait par George Miller dans le film La Quatrième dimension. Avec une bestiole forcément bien plus flippante et étrange. Et sans surprise, cet épisode culte sera à nouveau remaké dans The Twilight Zone version 2019.

 

photoStar Freak

 

QUESTION DE TEMPS

Avide de lecture au point de négliger tout le reste, un homme pense avoir trouvé dans le plus grand des malheurs, une source de bonheur infinie...

Ici, c'est de l'ironie pure et simple, aussi drôle que noire dans cet épisode 8 de la saison 1. Une fois que cet homme se retrouve littéralement seul au monde, face à des milliers de livres, de la nourriture et sans personne pour le déranger... il casse ses lunettes. Le voilà donc dans la pire position possible, comme une punition divine.

C'est cruel mais irrésistible, et digne d'un bon épisode des Contes de la crypte. C'est également un morceau très représentatif de l'anthologie, avec les thèmes de la solitude, la catastrophe nucléaire, et la douleur de vivre en société. Difficile de trouver une inspiration claire et nette, mais nul doute que ce type de twist où le rire le dispute à l'angoisse, a marqué bien des scénaristes et réalisateurs.

 

photoBurgess Meredith, qui reviendra dans d'autres épisodes

  

NEUVIÈME ÉTAGE

Alors qu'elle cherche un cadeau dans un grand magasin, une jeune femme découvre le neuvième étrange étage...

Un épisode particulièrement étrange et troublant (S1E34), qui joue habilement de l'inquiétante étrangeté relative aux mannequins des magasins. L'héroïne découvre ainsi à la fin qu'elle est elle-même un de ces mannequins, qui sont doués de vie, à l'abri des regards humains. Pour une raison aussi absurde qu'effrayante, ces mannequins prennent à tour de rôle une apparence humaine, afin de goûter à la vie parmi les clients du magasin pendant un mois, avant de rentrer parmi les leurs.

 

photoDes airs de poupée, forcément

 

Ivre de cette normalité, la jeune femme a simplement oublié sa nature, et est en retard. Elle reprend donc finalement et calmement sa posture de plastique, tandis que le spectateur la redécouvre le lendemain parmi les objets, figée sous le regard des clients. Une image et une idée bien angoissantes.

Pour savoir pourquoi The Twilight Zone version moderne est raté, c'est par ici.

Tout savoir sur The Twilight Zone

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commentaires
amosalam
05/08/2021 à 11:28

Je suis contant d'avoir finis de visionner la série avant de lire ce dossier, qui est fort sympa et me replonge dans l'anthologie. Mais quitte à spoiler j'aurais été un plus loin dans l'analyse. Et il y a une erreur dans le texte du premier épisode présenté. Les personnages ne comprennent pas qu'il sont des jouets, Seul les téléspectateurs le comprennent. Hormis ça c'est du bon boulot, meilleur que d'habitude je trouve.

Flash
13/05/2021 à 13:44

Qu’est-ce que c’était génial la quatrième dimension. Je regardais cette série, je devais avoir une douzaines d’années à tout casser, j’étais quasiment envoûté à chaque épisode.
Si depuis , je suis devenu un grand fan de fantastique, c’est en partie grâce à cette série.

Oldskool
13/05/2021 à 13:34

Ah ben voilà, cela fait des années que je répète à l'envie que depuis la quatrième dimension et Alfred Hitchcock présente... Le cinéma de genre Américain n'a plus rien inventé...

Kyle Reese
13/05/2021 à 10:58

Cette série est un pur bijoux. La on peut parler de chef d’œuvre. Une anthologie de l’horreur, du fantastique, de la sf, et du bizarre de l’époque. Je crois n’avoir loupé aucun épisode lors de la diffusion dans l’excellente émission Temps x diffusé le samedi après midi en 1984, année aussi de sortie de ... Terminator. :)
Le nombre d’acteurs connu débutant ou pas étant passé dans la série était incroyable.
Une série qui a marqué à jamais mes goûts littéraire et de cinéma dans le type d’histoire que j’apprécie. En tout cas elle n’a jamais était égale même si certaines copies comporte de belles histoires aussi. Au delà du réel, la nouvelle 4 eme dimension, le voyageur. Par contre je n’ai pas poussé plus loin la série de Jordan Peel après les 3 premiers épisodes. Pas accroché.

flexdu33
15/04/2019 à 16:53

Super article merci !

Par ailleurs, avez vous vu les versions de 1985 et 2002 ? ont-elles un intérêt ou y-ta-il des épisodes qui sortent du lot ?

Kouak
02/04/2019 à 09:24

Bonjour,
Après dans les années 80's il y a eu "le voyageur"...
Récits fantastiques, horreur, thriller....
Avec quelques personnes connues...
Plus ou moins...
Klaus Kinski, Willem Dafoe, Bill Paxton, Margot Kidder, Robert Vaughn, Ornella Muti,
Franco Nero (l'ancien Django) et...
Michèle Laroque... Si, si... Michèle Laroque!
:-o

Number6
01/04/2019 à 19:11

A kouak

Pareil, j'avais 13 ans quand au delà du réel est sorti sur m6. Et je flippais bien comme un couillon. 20 ans après, plaisir de revoir ces au-delà du réel. Apres Twilight zone, je me lance dans ceux en noir et blanc que j'ai en DVD. Dommage pour le remake que l'on est juste la saison 1 en DVD.

Geoffrey Crété - Rédaction
01/04/2019 à 14:51

@Kouak

Au-delà du réel : mais oui !

J'avais fait deux articles sur des épisodes traumatisants !

https://www.ecranlarge.com/series/dossier/971663-l-episode-culte-au-dela-du-reel-l-aventure-continue-le-royaume-des-sables

https://www.ecranlarge.com/series/dossier/957291-l-episode-culte-au-dela-du-reel-l-aventure-continue-le-bouton-de-la-mort


@tous

Merci pour les retours positifs !

Kouak
01/04/2019 à 14:38

Bonjour,
effectivement , bel article....
Et que de souvenirs !
Souvenir de cette émission de vulgarisation scientifique que je ne loupait jamais et qui se nommait "TEMPS X".
Animée par les frères Bogdanoff, bien avant que leurs visages soient exposés à une pluie d'astéroïdes...
D'ailleurs un épisode de "Love, Death + Robot" m'a fait pensé à la 4ème dimension.
Celui concernant la "civilisation du congélateur".

Dans la 4D c'était des astronautes qui découvraient une civilisation lilliputienne et l'un d'entre eux s'amusait a devenir leur "dieu" tyrannique.
Jusqu'à ce qu'un autre vaisseau arrive et que des "géants" débarquent en écrasant , dans une totale indifférence, le despote.
Libérant ainsi les lilliputiens de son joug autoritaire.
Après il y a eu "Au delà du réel", série mal connue, mais tout aussi bonne.
Bref...

dahomey
01/04/2019 à 08:15

super article, merci de rafraîchir ma mémoire d’autres fois....ca donne juste envie de les revoir !

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