Critique : Jin-Roh, la brigade des loups
Réduire Jin-Roh à une pure réflexion
Bergsonienne sur la condition de l'homme reviendrait à ne mettre en lumière que
l'un des aspects primordiaux du film
Tokyo, fin des années cinquante. La ville est secouée par des troubles sociaux fomentés par un groupe d'opposition appelé "la Secte". Fuse est membre de l'unité Panzer, une division surarmée de la police de sécurité métropolitaine, la POSEM. Entraîné à devenir une véritable machine à tuer, Fuse se retrouve cependant incapable de faire feu sur une fillette porteuse d'une bombe. L'enfant déclenche l'engin explosif et meurt devant ses yeux. Traumatisé par cet événement, Fuse se recueille sur la tombe de la victime et rencontre la sur aînée de celle-ci.
Réduire Jin-Roh à une pure réflexion
Bergsonienne sur la condition de l'homme reviendrait à ne mettre en lumière que
l'un des aspects primordiaux du film
Nous avons connu un été riche en terme de japanimation. L'occasion de nous demander si elle n'aurait pas trouvé le successeur de Miyazaki au passage...
Sur le papier, l’adaptation de Jin-Roh par le réalisateur de J’ai Rencontré le Diable est un fantasme. Et sur écran, son trailer promet un récit surpuissant.
In-Rang n’a pas encore énormément fait parler de lui, mais il s’agit de l’adaptation d’un anime culte et d’un des films les plus attendus de ces prochains mois.