Baby Driver : Kevin Spacey évoque la suite et un possible retour de son personnage
Pour célébrer la sortie de Baby Driver en vidéo aux Etats-Unis, le réalisateur Edgar Wright a participé à une projection, suivie d’une discussion avec le public, dans l’enceinte du Peterson Auto Museum de Los Angeles.
Sans doute désireuse de lui réserver une surprise, la production n’avait pas prévenu le metteur en scène que l’évènement serait interrompu par l’arrivée surprise de Kevin Spacey, interprète du personnage de Doc dans la petite perle survitaminée de Wright.
ATTENTION SPOILERS.
Edgar Wirght (à gauche) en plein tournage
On sait depuis la sortie du film que Baby Driver sera peut-être le premier film d’Edgar Wright à connaître une suite, ce qui lui donne instantanément un statut à part, d’autant plus que ce braquage musical compte parmi les plus belles réussites de l’année 2017. C’est ce sujet qu’a tenu à aborder Kevin Spacey, en dépit du sort en apparence définitif qui était le sien dans le métrage.
« Oui, je sais que certains ont pu se dire en voyant le film que le personnage n’avait pas survécu. Mais nous discutons en ce moment d’une suite, qui d’après moi devrait s’intituler Baby Doc. »
Doc entouré de son équipe (de bras cassés)
Au-delà de la plaisanterie, il semble évident que l’acteur, qui a répété à de multiples reprises qu’il n’avait pas été autant surpris par un projet, son traitement et sa fabrication depuis de nombreuses années, aimerait bien refaire un tour du côté de chez Edgar Wright, qui n’a pas perdu une occasion de le chambrer.
« Je croyais que tu voulais qu’elle s’appelle Doc Holiday. »
Et Spacey de rappeler que non seulement il aimerait bien revenir, mais en passant derrière le volant.
« Elle est bonne. Peut-être réussirai-je à avoir une scène en voiture dans le prochain, c’est mon truc. »
Messieurs, on signe où vous voulez.
05/10/2017 à 12:03
Vraiment une surprise ce film, musique bien choisi... De très beau jeu d'acteur. Vivement le 2
05/10/2017 à 11:50
Le film était vraiment très bien, mais on restait un peu sur sa faim... en grande partie à cause d'un potentiel pas tout à fait exploité.
Un scénario aux enjeux dramatiques plus marqués pour le second pourrait parfaitement faire l'affaire.