Les 10 Meilleurs Films de Brad Pitt à (re)voir absolument

La Rédaction | 5 février 2023 - MAJ : 05/02/2023 18:44
La Rédaction | 5 février 2023 - MAJ : 05/02/2023 18:44

Fight Club, Seven, Once Upon a Time... in Hollywood, Inglourious Basterds, Légendes d'automne... Quels sont les 10 meilleurs films/rôles de Brad Pitt ?

En 35 ans de carrière, plus de 50 films et un Oscar (meilleur second rôle pour Once Upon a Time... in Hollywood) après plusieurs nominations, Brad Pitt n'a pas volé son statut d'acteur incontournable.

Il a tourné avec quelques uns des plus grands cinéastes (David Fincher, Quentin Tarantino, Ridley Scott, Terrence Malick, George Miller, Steven Soderbergh, les frères Coen, Tony Scott, Alan J. Pakula, Robert Redford, Robert Zemeckis), a traversé les décennies et les modes, accumulé les succès et films cultes, si bien qu'il est désormais considéré comme l'une des dernières grandes stars hollywoodiennes.

En 2023, l'échec cuisant de Babylon avec Margot Robbie a rappelé que personne n'était intouchable, d'autant que Brad Pitt avait aussi essuyé un gros échec avec le flop d'Ad Astra en 2019. Mais peu importe, il reste l'un des rois de Hollywood.

On revient sur 10 grands rôles et films majeurs, qui ont forcé sa stature.

 

Babylon : photo, Brad Pitt, Diego CalvaLa chute de Babylon

 

Seven

Sortie : 1995 - Durée : 2h10

 

Seven : photo, Brad PittLes débuts de gueule cassée


En plus de porter aux nues le réalisateur David Fincher après des débuts sujets à débats (Alien 3), Seven a également marqué le début de son amitié fructueuse avec Brad Pitt, qui était alors en pleine ascension internationale après le succès d'Entretien avec un Vampire.

De façon presque symbolique, il incarne dans ce thriller poisseux et sadique un jeune flic idéaliste, David Mills, qui doit prendre la relève de son collègue, un vieux de la vieille plus terre-à-terre incarné par Morgan Freeman, figure plus reconnue et installée à Hollywood.

S'il a vite pris la tangente dans les années 90, il s'agit pour l'acteur à la belle gueule d'un premier tournant notable, celui-ci jouant un personnage moins lisse et plus imparfait que ceux qu'il a incarnés précédemment. Il est introduit comme le beau gosse fraîchement marié à Gwyneth Paltrow (son ancienne conjointe à la ville), mais le scénario expose progressivement les failles de son personnage, de plus en plus à fleur de peau et impulsif, jusqu'au final dramatique qui voit David Mills anéanti, comme lavé de son aura et débarrassé de son auréole de plus en plus encombrante. 

L'Armée des 12 singes

Sortie : 1996 - Durée : 2h10

 

L'Armée des 12 singes : photo, Brad PittLe sex symbol égratigné 

S'il a d'abord auditionné pour le rôle principal, qui a été donné à Bruce Willlis, Brad Pitt était surtout intéressé par le rôle secondaire de Jeffrey Goines, qu'il a fini par décrocher. Cependant, le réalisateur Terry Gilliam avait des doutes quant aux capacités de l'acteur d'incarner un personnage totalement fou à lier après ses précédents rôles (Seven n'étant sorti que pendant la post-production du film). De son côté, Brad Pitt voulait prouver, au public autant qu'à lui-même, qu'il était capable d'interpréter des personnages torturés et psychotiques, et ainsi de s'écarter de l'image du mini-Apollon dans laquelle il risquait de s'enfermer (encore plus avec les sorties d'Entretien avec un Vampire et Légendes d'automne pendant la production).

C'est donc un Brad Pitt désireux de faire ses preuves et impliqué à fond dans le projet qui a dévoilé toutes les nuances de son jeu, n'hésitant pas à rejoindre un service psychiatrique et rester parmi les patients pour prendre la pleine mesure de son rôle.  Brad Pitt est utilisé à contre-emploi avec son débit de parole frénétique, et sa gestuelle nerveuse et imprévisible accentuée par son regard délirant (et son oeil de traviole).

Après avoir incarné des personnages plus posés, il ose le surjeu, frôlant l'hystérie de mauvais goût sans jamais y tomber, ce qui lui vaudra de décrocher un Golden Globe du meilleur acteur secondaire et d'être nommé pour la première fois à l'Oscar (toujours du meilleur acteur secondaire). Un Oscar qu'il a cependant perdu au profit de Kevin Spacey pour Usuel Suspects, avant de le décrocher pour Once Upon a Time... in Hollywood.

Fight Club

Sortie : 1999 - Durée : 2h19

 

Fight Club : photo, Brad PittBrave type

 

A moins de vivre dans une grotte depuis 20 ans, impossible d'être passé à côté de Fight Club, adapté du roman de Chuck Palahniuk. C'est le symbole de la petite rebellion d'une génération entière, qui y a appris à détester Ikea et les costards cravates, et y a trouvé une certaine idée du masculin parfait (et donc inatteignable) : Brad Pitt.

Dans l'histoire (attention spoilers, pour les gens sortis d'une grotte donc), Brad Pitt incarne un idéal, une illusion, un mensonge : le fantasme de l'homme selon un homme. C'est donc un mâle alpha plein de testostérone, musclé sec, qui baise comme un dieu et vit comme un éternel ado. Et ce n'est pas un hasard si beaucoup de monde (jeunes ou moins jeunes, garçons ou filles) a immédiatement des images des abdos et pectoraux de Brad Pitt en tête quand on parle de Fight Club : l'acteur a pleinement embrassé la dimension fantasmagorique de ce Tyler Durden, aussi bien avec son allure que son interprétation particulièrement folle, enjouée et flippante.

Fight Club marquait aussi un moment majeur pour la collaboration entre Brad Pitt et le réalisateur David Fincher. C'était leur deuxième film après Seven, où l'acteur avait défendu corps et âme le cinéaste face au studio, et c'était la première preuve que ce duo n'avait pas dit son dernier mot. Sans Brad Pitt, Fight Club n'aurait jamais pu se faire, et même avec lui, le film reste une belle anomalie dans le système.

 

L'ASSASSINAT DE Jesse James PAR LE LÂCHE ROBERT FORD

Sortie : 2007 - Durée : 1h59

 

L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford : photo, Brad PittLe blond en herbe

 

Le blond Brad Pitt et sa tête de surfeur auront peut-être trouvé leur rôle le plus subtil dans la peau d’un brigand du Midwest au cheveux noirs. Dans un film ayant l’un des plus beaux titres à rallonge des années 2000, L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford, Pitt incarne le hors-la-loi américain du XIXe siècle qui garde aujourd’hui dans la mémoire collective une image de Robin des Bois version cow-boy.

Dans cette interprétation romancée de la vie de Jesse James, Andrew Dominik (qui a récemment persévéré dans le faux biopic avec Blonde) raconte comment le truand a orchestré sa propre mort en manipulant son jeune acolyte Robert Ford, jusqu’à ce que celui-ci lui tire dans le dos. Un acte qui garantit la médaille d’or de la lâcheté selon le code d'honneur des vrais bonhommes. Si le véritable personnage principal du film est le fébrile Robert Ford incarné par Casey Affleck, c'est l'aura de l'iconique Jesse James qui surplombe le récit et lui donne sa dimension mythologique.

Dans la très belle scène de l’assassinat qui donne son titre au film, la douce musique composée par Warren Ellis et Nick Cave accompagne avec beaucoup de poésie la chorégraphie d’émotions du trio d’acteurs formé par Brad Pitt, Casey Affleck et Sam Rockwell. Une séquence à l’image de ce western mélancolique qui, s’il fut un échec au box-office, valu plusieurs prix à son casting, dont la Coupe Volpi de la meilleure interprétation masculine à Brad Pitt lors de la Mostra de Venise en 2007.

 

Burn After Reading

Sortie : 2008 - Durée : 1h35

 

Burn After Reading : photo, Brad PittOh le personnage de demeurée que voilà

 

Avant de jouer les demeurés dans des films hollywoodiens sans intérêt comme Bullet Train, Le Secret de la cité perdue et Deadpool 2, Brad Pitt a joué la comédie avec passion et talent dans l’incroyable Burn After Reading. Très largement sous-estimé, le film des frères Coen est pourtant un des délires les plus drôles et tordants de leur filmographie, racontant une enquête de la CIA virant au burlesque, voire à l’absurde, dans un enchaînement de situations totalement ubuesques.

Au milieu de la frénésie ambiante, Brad Pitt incarne Chad Fedlheimer, un coach sportif loufoque qui se retrouve mêlé à une affaire de CD top secret perdu et désormais convoité par la CIA. Et c'est un parfait rôle à contre-courant. Il y a bien évidemment sa tenue moulante et sa danse barrée qui en font un personnage hilarant, mais c’est surtout son évolution qui est poilante, le monsieur étant si borné qu’il commence à prendre tous les risques pour se la jouer petit caïd.

Qu’il troque sa tenue de sportif pour un costard de fortune, sa crétinerie évidente pour un sérieux de circonstance, ou imagine sincèrement être mêlé à l’affaire du siècle alors qu’il plonge tête baissée dans un imbroglio farfelu où il ne devrait pas être, Brad Pitt sublime la partition de son personnage en le rendant attachant malgré sa stupidité. Et le sourire d'ahuri qu’il arbore dans sa dernière scène est franchement la cerise sur le gâteau de la connerie.

 

L'Etrange Histoire de Benjamin Button

Sortie : 2009 - Durée : 2h35

 

L'étrange histoire de Benjamin Button : photo, Brad PittBrad Pitt jeune en vieux

 

Assez tristement, L'Etrange Histoire de Benjamin Button est considéré par la plupart des fans de David Fincher (mais également ses détracteurs) comme son film le plus mineur, voire son plus mauvais, sûrement à cause de sa délicatesse, assez inattendue chez le cinéaste.

Reste que Benjamin Button, avec ses avancées technologiques révolutionnaires pour le cinéma (le rajeunissement numérique entre autres), a réussi à donner vie avec brio à ses personnages. Si Cate Blanchett est formidable dans le rôle de Daisy, Brad Pitt est forcément l’élément le plus marquant du récit puisqu’il joue Benjamin Button. L’acteur est rapidement devenu un sex-symbol au cinéma et le film de David Fincher lui offre justement la possibilité de se montrer sous un autre jour.

En naissant dans le corps d’un vieil homme quasi-complètement numérique, et en rajeunissant au fur et à mesure de l’intrigue pour retrouver une beauté irréaliste, Brad Pitt se métamorphose. Car s’il s’impose en narrateur du récit, notamment grâce à sa voix grave et charismatique, son évolution physique (combinant sa beauté naturelle aux ajouts numériques/prothétiques) l’empêche de fonder sa performance sur son simple charme. Alors, l’acteur du désir originel mue sous toutes les formes entre fragilité et robustesse, tourment et sérénité, solitude et compagnie. Les yeux sont rivés non plus sur l’acteur mais cet autre, cette figure humaine fantastique avec laquelle Pitt ne fait plus qu’un. Très fort.

 

Le Stratège

Sortie : 2011 - Durée : 2h13

 

Le Stratège : photo, Brad PittDéfinition du bg : pouvoir porter ça et rester classe

 

Le Stratège est un peu passé inaperçu entre la Palme d'or de Tree of Life et le succès monstrueux de World War Z. Et c'est bien dommage, parce que c'est l'un des plus beaux rôles de Brad Pitt, plus doux, plus tendre et plus sobre qu'à l'accoutumée. Dans une histoire tirée de faits réels, il incarne Billy Deane, un ancien joueur de baseball devenu manager d'une petite équipe en laquelle personne ne croit. Sauf lui, qui va user de méthodes uniques et rassembler des joueurs oubliés et rejetés, pour discrètement révolutionner ce sport.

Grâce à une simplicité qui tranche avec son allure de vieux playboy, Brad Pitt est le coach, le père, le copain, le modèle, le miracle, le leader mais aussi l'homme dans l'ombre. Un rôle en or donc, où il peut s'amuser grâce aux dialogues savoureux, et des partenaires parfaits (notamment Jonah Hill).

La réussite du Stratège est d'autant plus belle que le film est né dans la douleur. Brad Pitt aurait dû retrouver Steven Soberbergh (Ocean's Eleven), mais le studio Sony a tout annulé quelques jours avant le début du tournage, par peur que ce film à 58 millions de dollars soit trop intello et arty. C'est finalement Bennett Miller (Foxcatcher) qui l'a récupéré, en changeant une partie du casting et en engageant un nouveau scénariste (Aaron Sorkin, le grand maître derrière The Social Network) pour peaufiner l'histoire. Brad Pitt, lui, est resté du début à la fin, devenant même producteur en cours de route. Hollywood l'a récompensé avec une nomination aux Oscars.

Cogan

Sortie : 2012 - Durée : 1h37

 

Cogan : photo, Brad PittMake America Great Again

 

Comme Le Stratège, Cogan : Killing Them Softly a été trop vite oublié. Mais ici, c'est plus compréhensible : ce n'est pas un film doux et tendre. C'est un polar noir, âpre et cruel, qui autopsie l'Amérique pourrissante en utilisant tous les codes du polar classique. Brad Pitt est Jackie Cogan, un tueur à gages désabusé, et engagé par des mafieux pour régler une histoire de vol d'argent. Sa priorité n'est pas la vérité, mais la peur : il faut donner l'exemple et dissuader tous les rats qui rôdent, quitte à tuer les innocents.

Cogan a sa propre philosophie de la mort : tuer ses victimes de loin, sans prévenir, pour que le dernier souffle ne soit pas celui de la panique. Une petite touche de douceur dans ce monde de brutes, où le rire jaune et le rouge sang se mélangent au fil des dérapages, affrontements et rencontres. A la fin, il ne reste plus rien, si ce n'est un rappel : l'Amérique n'est qu'un business, y compris pour les vies et les morts.

Au milieu d'une distribution 100% mâle et grandiose (Scoot McNairy, Ben Mendelsohn, Ray Liotta, James Gandolfini, Richard Jenkins, Sam Shepard), Brad Pitt est fantastique. Et c'est largement grâce au réalisateur et scénariste Andrew Dominik, qu'il retrouvait après L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford.

 

Once upon A Time... In Hollywood

Sortie : 2019 - Durée : 2h41

 

Once Upon a Time... in Hollywood : photo, Brad PittDe quoi remettre à la mode le mot "swag"

 

Il a suffi à Brad Pitt de retirer sa chemise sur le toit d'une maison pour rappeler tout son sex-appeal. C'est dire le pouvoir de fascination et d'iconisation de la caméra de Quentin Tarantino. Aux côtés d'un Leonardo DiCaprio névrosé, le personnage de Cliff Booth est un sommet de décontraction et de cool, une sorte de personnification idéalisée de ce Los Angeles rétro capté par l'objectif du réalisateur.

Et c'est d'autant plus intéressant que Once Upon a Time... in Hollywood prend la forme d'une flânerie passionnante, où Cliff devient malgré lui le vaisseau qui nous embarque dans l'ambiance de ce rêve cassé, qui laisse poindre l'horreur au travers de la famille Manson et la désillusion d'un mouvement hippie en bout de course.

Tarantino fait en plus de ce personnage quelqu'un d'amplement cohérent avec son film sur les strass, les paillettes et les déceptions hollywoodiennes. Ciff Booth joue un rôle pour mieux sembler impénétrable, notamment au vu de cette ambiguïté fascinante quant à la mort de sa femme. Doit-on succomber à son charme, ou y déceler le potentiel monstre ? Dans tous les cas, l'interrogation se construit au fil des plans, alors que Brad Pitt laisse son jeu être sublimé par la mise en scène du réalisateur d'Inglourious Basterds.

 

AD ASTRA

Sortie : 2019 - Durée : 2h04

 

Ad Astra : Photo Brad Pitt2001 : l'odyssée de Brad

 

S'il est capable d'offrir de grandes performances outrancières, on tend à négliger le talent de Brad Pitt dans des rôles plus mutiques et introspectifs. Dans le domaine, impossible de ne pas s'attarder sur Ad Astra de James Gray, odyssée spatiale qui mêle avec brio Joseph Conrad et l'héritage du Stalker de Tarkovski. Avec une telle combinaison, le personnage de Roy McBride cache tout derrière les subtilités de ses expressions faciales, alors qu'il affronte le vide du cosmos dans une quête qui voudrait le ramener à son père.

James Gray troque son habituel terrain de jeu new-yorkais pour une échelle bien plus vaste et terrifiante, sans pour autant en oublier une exploration des déboires humains dans ses relations familiales et intimes. Si le réalisateur s'est plaint d'avoir été quelque peu dépossédé du montage final (agrémenté d'une voix-off inutile), on le remarque au visionnage au vu de la cohérence de sa démarche initiale, où le jeu tout en retenue de Brad Pitt fait des merveilles, et laisse à voir un monde à déchiffrer.

L'idée est d'autant plus belle qu'Ad Astra est un sublime film éthéré et dépressif, qui confronte l'humanité de son protagoniste à la solitude que fait ressentir l'espace. Brad Pitt y a rarement été aussi bouleversant.

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commentaires
Mandelausul
16/02/2023 à 15:28

Et three of life dans tout ça ? Mdr

Pro Brad
06/02/2023 à 18:11

@Anti Brad t'as rien contre dire de la merde toi

Castel
06/02/2023 à 07:36

Merci pour cet article,
Étonné de ne pas voir Spy game dans la liste. Film dans lequel il joue avec Robert Redford, et pas vraiment un rôle de beau gosse.
Autre film intéressant : Rencontre avec Joe Black où il joue un rôle surprenant aux côtés d'Anthony Hopkins.

nnayyann
05/02/2023 à 21:11

Bonjour,
J'aurais quand même enlevé "Le stratège" pour y mettre "Entretien avec un vampire" ou "Spy game", après tous ca, c'est kif-kif bourricot.

Sinon Mesdames Messieurs de Ecran large, au vue de certains commentaire postés sur vos articles - pas en majorité mais quand même, globalement, j'ai envie de vous dire bon courage :)

Arnaud (le vrai)
05/02/2023 à 17:20

Ah je sais qu’on peut pas tout mettre mais manque quand même Et Au Milieu Coule Une Rivière, Entretien Avec Un Vampire et surtout surtout Snatch !!!

En tout cas super acteur qui a montré à travers les décennies qu’il était certes une belle gueule mais aussi un super acteur. Performance qu’a également réussi (et même plus que Pitt) DiCaprio, son partenaire de Once Upon A Time In Hollywood

Au rayon des apparitions courtes mais marquantes, Thelma Et Louise bien sûr mais surtout pour moi 12 Years A Slave

En tout merci EL pour ce petit dossier

Lougnar
05/02/2023 à 15:57

Acteur sans expressions. Jamais accroché

Anti brad
05/02/2023 à 15:48

Quel acteur de m*rde ! Juste une belle gueule pour faire mouiller ses dames. Snatch ? Nul ! Fight club ? Surcoté ! Et j'en passe... Y a bien meilleur que lui, kit harrington y compris...

Tom Vs Brad
05/02/2023 à 15:46

@ ecran large
Pourquoi mon commentaire a été effacé ?

Ethan
05/02/2023 à 15:46

Thelma et Louise (petite apparition), Et au milieu coule une rivière, Ennemis rapprochés sont certainement les films qui parlent le plus à tout le monde. Pas sûr que les autres aient la même aura au niveau du ressenti des gens.

Le jeune beau gosse espiègle à ses débuts on l'image qu'on a de lui

Kelso
05/02/2023 à 15:32

Quel dommage de ne pas voir le très bon "Kalifornia" dans la liste, j'ai l'impression que tout le monde a oublié ce film avec également Juliette Lewis et Dave Duchovny. Déjà à l'époque il est passé assez inaperçu. A voir si vous voulez un bon film sur les tueurs en série.

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