Critique : le chantage
Il n’aura pas fallu beaucoup de patience pour dénicher le premier film bien con de 2008. Dès le 2 janvier, Le chantage place la barre bien haut grâce à
Il n’aura pas fallu beaucoup de patience pour dénicher le premier film bien con de 2008. Dès le 2 janvier, Le chantage place la barre bien haut grâce à
Certains films brillent surtout par ce qu’ils ne sont pas. Avec son postulat de départ, ses personnages redneck jusqu’au bout des ongles et la menace permanente
Hollywood montre son engouement pour les films étrangers et son impassible envie d'en sortir une version locale.
Amateurs de chair fraîche et de gore qui tache, ne vous frottez pas trop vite les mains, Détour mortel 2, bien qu’exclusivement destiné au marché vidéo,
Dans Le stade de Wimbledon, Mathieu Amalric partait sur les traces d'un écrivain n'ayant jamais écrit. L'auteur dont est inspiré le héros de L'homme qui marche
Il est toujours étonnant de constater comme un même postulat peut aboutir à deux films fondamentalement différents. Ainsi, Les yeux bandés partage son point
L'Île serait presque un film en noir et blanc : prologue, intérieurs et soutanes sombres, le reste, c'est-à-dire la nature non asservie par l'homme, recouverte
Un titre qui annonce la couleur : impossible de faire aussi long sans une bonne dose d'humour ou d'ironie à la clé. Et voici deux compères, deux héros qui
Parfois, pour éclairer une année cinématographique maussade, de charmants petits films sans prétention mais plein de bonnes idées et de bons sentiments
La visite de la fanfare, c'est une évidence, est une œuvre qui fascine. Affublé d'un scénario minimaliste et d'une réalisation à l'avenant, la combinaison
Après un premier épisode de sinistre mémoire, il était difficile d'être excité en entrant dans la salle de AvP 2.
D'abord Le Tunnel en 2001 puis Good Bye Lenin, La Vie des autres et enfin aujourd'hui Le Perroquet rouge. Quatre films allemands, quatre regards sur un moment,