Critique : Barry Lyndon
Avec Barry Lyndon, Stanley
Kubrick inventait un genre nouveau : le film de vampires sans vampires. Car
Redmond Barry, le héros du film, est un atroce suceur
Au XVIIIe siècle en Irlande, à la mort de son père, le jeune Redmond Barry ambitionne de monter dans l'échelle sociale. Il élimine en duel son rival, un officier britannique amoureux de sa cousine mais est ensuite contraint à l'exil. Il s'engage dans l'armée britannique et part combattre sur le continent européen. Il déserte bientôt et rejoint l'armée prussienne des soldats de Frederic II afin d'échapper à la peine de mort. Envoyé en mission, il doit espionner un noble joueur, mène un double-jeu et se retrouve sous la protection de ce dernier. Introduit dans la haute société européenne, il parvient à devenir l'amant d'une riche et magnifique jeune femme, Lady Lyndon. Prenant connaissance de l'adultère, son vieil époux sombre dans la dépression et meurt de dépit. Redmond Barry épouse Lady Lyndon et devient Barry Lyndon.
Avec Barry Lyndon, Stanley
Kubrick inventait un genre nouveau : le film de vampires sans vampires. Car
Redmond Barry, le héros du film, est un atroce suceur
L’histoire du cinéma est remplie de projets cultes maudits n’ayant jamais vu le jour. Le Napoléon de Stanley Kubrick est peut-être le plus grand de tous.
Le projet fou de l'un des dieux du cinéma pourrait finalement se faire, avec 55 ans de retard et grâce au réalisateur de True Detective.
C'est comme si deux mondes antinomiques se rencontraient enfin. Marc Foster vs Stanley Kubrick, on a encore du mal à y croire.