Jennifer Lawrence en dit plus sur son possible retour chez les X-Men

Si la franchise X-Men va continuer quoi qu'il arrive, la sortie d'Apocalypse marque la fin de la seconde trilogie, tout autant que celle d'un certain nombre de contrats chez les comédiens. Et il va falloir négocier ou changer quelques têtes.

Bien que la Fox n'ait pas établi de contrats aussi grandiloquent que Marvel avec ses acteurs (qui les coince sur 5 ou 9 films), le casting de la nouvelle trilogie X-Men a pris un engagement sur quelques années et l'on peut comprendre sans problème qu'à terme, ils aient envie de changement. Or, alors que la mode des super-héros n'a jamais autant cartonné, certains y voient là matière à s'assurer encore plus une retraite dorée et on imagine sans peine que les négociations doivent aller bon train dans les bureaux des studios.

S'il est déjà établi que James McAvoy reviendra dans New Mutants, la saga mère des X-Men connaitra évidemment un autre volet et le concernant, rien n'est encore décidé. Jennifer Lawrence a décidé de nous teaser comme une sale sur son possible retour dans la peau bleue de Mystique, après avoir dit un peu partout qu'Apocalypse était son dernier, au micro d'Entertainment Weekly :

"J'adorerais revenir. J'aime mes fans et j'aime ce personnage. Et puis je réfléchis au temps qui passe, à combien trois mois est une période conséquente dans une année. Et donc je ne sais plus. Je ne devrais pas être aussi sincère."

Il va sans dire qu'en maitrisant aussi bien le chaud et le froid, Lawrence adresse un message à ses fans tout autant qu'au studio. Une telle déclaration n'ayant pour but que de tester la réaction de son public, probablement pour faire monter les enchères avec le studio, sa participation réelle ou non risque de se décider en fonction du nombre de zéros sur son chèque. Et la comédienne jette encore plus le trouble en révélant qu'elle s'est mise d'accord avec ses partenaires :

"Fassbender, McAvoy et moi nous sommes demandés si nous allions revenir. Et la Fox devrait s'inquiéter parce que si l'un de nous ne veut pas revenir, les autres suivront."

Le message ne saurait être plus clair.