Critique : Twilight - chapitre 1 : Fascination
La sexualité a toujours été au cœur du mythe vampirique, en
particulier sous la forme de l'éveil des sens et de la frustration. C'est sur
ces bases
Isabella Swan, 17 ans, déménage à Forks, petite ville pluvieuse dans l'État de Washington, pour vivre avec son père. Elle s'attend à ce que sa nouvelle vie soit aussi ennuyeuse que la ville elle-même. Or, au lycée, elle est terriblement intriguée par le comportement d'une étrange fratrie, deux filles et trois garçons. Bella tombe follement amoureuse de l'un d'eux, Edward Cullen. Une relation sensuelle et dangereuse commence alors entre les deux jeunes gens : lorsque Isabella comprend que Edward est un vampire, il est déjà trop tard.
La sexualité a toujours été au cœur du mythe vampirique, en
particulier sous la forme de l'éveil des sens et de la frustration. C'est sur
ces bases
On lui a tapé dessus, on l'a tourné en ridicule, on l'a érigé au panthéon des pires films qui soient, et pourtant. Promis, juré, Twilight c'est (très) bien.
Alors que la saga vampirique Twilight a révélé Robert Pattinson, l'acteur n'était a priori pas le premier choix de Stephenie Meyer, l'autrice des romans.
Dans la peau d'un personnage secondaire dans quatre des cinq films de la saga, l'actrice se souvient de conditions de tournage déplorables.