American Horror Story saison 10 : critique du double raté de l'invasion alien

Camille Vignes | 26 octobre 2021
Camille Vignes | 26 octobre 2021

Avec la réussite de ses premiers épisodes, American Horror Story Double Feature  était très franchement prometteur, même si ses tribulations vampiriques ne laissaient guère de place à ce qui avait été annoncé en deuxième partie : l’invasion alien. Alors, après dix épisodes et trois ambiances très différentes les unes des autres, AHS confirme-t-elle son retour triomphant ?

 

LA FAIM, LA SOIF PUIS UN HUMAIN

Bienvenue dans la librairie des horreurs sauce Ryan Murphy, le pot-pourri des monstres et autres créatures inspirées de Shining et Rosemary’s Baby, de Freddy – Les griffes de la nuit, d’Halloween, et Poltergeist, de The Thing et de Freaks mais surtout d’Entretien avec un vampire, d’Alien et des vieux films de SF des années 50-60. Un pot qui, en dix saisons d’exploration, a plus souvent senti le poisson rance que la fleur séchée, répétant plus ou moins inlassablement les mêmes mécaniques sur fond d’esthétique et de mise en scène soignées.

Alors quand s’est ouvert cette nouvelle saison, jetant les grandes de lignes de ce qu’allait être Red Tide (sa première partie en six épisodes), des effluves doux heureux tout droit venus des années 2010 se faisaient sentir. Non parce que Double Future reprenait à Murder House une partie de ses intrigues, mais parce qu’elle réussissait en une poignée de minutes à instaurer une ambiance originale : point de spectres à l’horizon, créatures on-ne-peut-plus présentes à l’écran, mais de longues créatures étranges et blafardes, ainsi qu’une ambiance renouvelée, plus froide, plus distante et lugubre, plus décharnée, enracinée dans un concept purement génial et original.

 

photo, Finn WittrockFestin des familles

 

De tout temps, les créatures monstrueuses ont été utilisées par l’art pour explorer ce qu’être humain veut dire. Ce thème récurrent, celui de savoir si l’homme est un monstre, ou si le monstre est homme, n’a de cesse que de passionner les artistes. Et, depuis le Dracula de Francis Ford Coppola, la figure tragique du vampire, ces anciens êtres humains devenus cannibales suceurs de sang sans âme et sans scrupule en contrepartie de l’immortalité, est peut-être celle qui le raconte le mieux à l’écran.

Mais au lieu de rester dans le carcan bien installé de ce qu’est un vampire, qu’il soit dans le repentir ou dans l’action sanglante, Ryan Murphy est allé voguer vers des horizons nouveaux, insufflant à ces créatures une dimension profondément vile. Elle puise sa source dans l’égo mania des Hommes, cet amour inconsidéré d’eux-mêmes qui les persuade qu’ils sont meilleurs que les autres. Laissant encore une fois entrevoir le pire de l'être humain. 

 

photoLe vice pour motif : ce qui manque cruellement à la seconde partie

 

SON TALON D’ACHILLE EST LE TALENT DES AUTRES

Qu’on se le dise, la petite famille partie s’installer dans une ville de province pour y trouver un nouveau souffle est une histoire générique et connue. Impossible de ne pas déceler l’universalité de cette histoire avec le nom de la ville, Provincetown : pied de nez parfait fait à l'anonymat, fui par les hommes en quête de reconnaissance. Impossible aussi de ne pas voir en un claquement de cils l’inexorable chute qui l'attend. Cette famille, qui est déjà complètement bancale à cause d’histoires d’adultère, de ressentiment et de jalousie, a cru qu’un déménagement et un futur bébé seraient la réponse à tous ces maux.

La chute n’est pas la question dans Red Tide. Le bain de sang et de souffrance qui attend Dorris (Lily Rabe), Harry (Finn Wittrock) et Alma Gardner (Ryan Kiera Armstrong) non plus. On commence à les connaître les ressorts scénaristiques de la série, en tout cas assez pour savoir où elle peut vouloir nous emmener.

 

photoRendez-vous en terrain connu

 

C’est donc de voir le vice s’introduire dans ses personnages qui intéresse Ryan Murphy. Voir comment le vice détruit l'être humain qui pique la curiosité des spectateurs, comment certains le combattent, même trop tard, même sans but, jusqu’à la mort, pourvu qu’elle soit pathétique et sanglante. C’est la peinture d’un être humain sali par sa propre condition qui amuse.

Ce qu’il y a de purement jouissif avec Red Tide, c’est de voir que les faiblesses des uns viennent progressivement grignoter les ambitions des autres. Qui qu'ils soient, et quelle que soit leur situation, l’idée de reconnaissance, de célébrité et de réussite facile les dévore tous, comme ils dévoreront plus tard des jugulaires encore battantes. Karen (Sarah Paulson), outrée par le visage que prend cette ville depuis de longues années, se laissera finalement convaincre par l’idée de faire éclore sans travail son talent… quitte à devenir cet être sanguinaire qu’elle vomit sans retenue.

Et Doris, trop au fait de son absence de talent, tant il lui a été répété qu’elle était mauvaise, finira par se laisser tenter, avant de devenir cet être sans cervelle, sorte d’hybride entre le zombie et le vampire, juste par vanité, dans une scène d'un parfaitement tragique. 

 

photoLily Rabe, mère aimant redécorant le cimetière

 

AMERICAN POT-POURRI

Mais une fois passé le joyeux massacre de fin de mi-saison, une fois l’épilogue de cette histoire somme toute sympathique et qui pose un regard déprimant sur l’humanité close, Death Valley tombe là comme un cheveu sur la soupe. Très rapidement,  le spectateur comprend que rien, absolument rien, ne relira ces deux parties de saison, si ce n'est leur date de diffusion.

Dès lors, tout est un peu étrange dans cette deuxième partie. Rien ne fonctionne vraiment complètement. C’est à se demander si American Horror Story avait vraiment quelque chose à dire avec ses aliens, ou si elle a bâclé son intrigue extraterrestre par manque de temps et d’espace.

Visuellement, et dans l’incarnation des histoires faites par ses acteurs et actrices, Ryan Murphy loupe quand même rarement sa cible : quel que soit son propos, il réussit presque immanquablement à instaurer une ambiance particulière, raccord avec une époque, une idée. Et quand dans un noir et blanc magnifique, Death Valley ère dans les couloirs de la Maison-Blanche, ou dans d'autres décors années 50, 60 et 70, American Horror Story devient vraiment originale et passionnante. 

 

photoTout comme ces possessions extraterrestres

 

Malheureusement, le bât blesse dès lors que le récit se complique. Sautant entre trois époques - une contemporaine parfaitement oubliable, une hors du temps, sorte de laboratoire reproduisant avec maladresse le meilleur de Black Mirror, et la dernière vintage (la plus réussie) -, la série secoue alors un sac de problématiques trop plein et fait éclore pêle-mêle un flot de discours qui veulent tout et rien dire.

Les extraterrestres sont, certes, l'occasion pour Ryan Murphy de filmer avec brio les jeux de pouvoir et les conspirations politiques américaines, donnant même envie de le voir plus souvent se distinguer dans ce genre. Mais ils sont aussi là pour parler de racisme, d'invasion, de remplacement par le ventre, d'homme-machine, des dérives de la technologie, d'immortalité... Même les reptiliens sont évoqués (annonçant peut-être le thème de la prochaine saison ?).

 

photo, Sarah Paulson, Neal McDonoughTout ça en quatre épisodes ?!

 

Il en reste un sentiment de grotesque mal géré. Une fois Red Tide finie, la saison ne cesse de jouer de découpage, découpage de Double Feature en deux parties, découpage de Death Valley en époques et décors. Comme trop souvent, American Horror Story se repose sur son atout principal : son esthétique. Elle charrie tout l'imaginaire visuel et auditif connu et créé par l'industrie hollywoodienne au fil des décennies (au pif, coucou la 50 millième reprise d'Alien...), et le cite sans trop se mouiller.

Se dire que Death Valley aurait mieux fait de ne pas montrer ses aliens et de se contenter de jouer avec la politique américaine est bien triste quand on parle d'une série telle que celle-ci. Mais faire ça lui aurait sans doute permis de ne pas tomber dans toutes ces faiblesses atmosphériques et scénaristiques.

American Horror Story : Double Feature est disponible en intégralité sur MyCanal depuis le 21 octobre 2021 en France

 

Affiche

Résumé

Après un paquet de saisons sans grande saveur, Red Tide était une vraie respiration morbide, mais Death Valley fait perdre tout son crédit à la saison. Dommage, quand on sait à quel point l'arrivée des aliens était attendue par les fans. 

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Lecteurs

(2.3)

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commentaires
Frk
18/10/2022 à 22:14

Très déçu de cette saison 10, faut vraiment s'accrocher dès le début avec des épisodes de morts vivants peu crédibles pour finir avec des Aliens, cette saison n'est vraiment pas à la hauteur.....je m'étais abonné spécialement pour la voire.
En espérant que la saison 11 soit à la hauteur

Dim647849
14/08/2022 à 20:40

Hyper nul

jessyjoe
11/03/2022 à 13:21

Saison mitigée pour ma part.
Il a eu beaucoup de bonnes choses dans cette saison (et ça fait plaisir) mais aussi pas mal de choses manquantes ou mal développées.

SPOILERS:
La première partie Red Tide est très travaillé, avec une ambiance et une histoire qui revient au fondements de la série. Les personnages sont bien développés et l’histoire nous questionnent sur la condition humaine ainsi que sur nos choix et nos ambitions.
Malheureusement la fin de cette partie me semble bâclée. Les personnages principaux ou charismatiques disparaissent brutalement (Peut-être trop facilement) sans réel combat digne de leurs personnages. On distribue à tout va la pullule noir sans vraiment qu’ont comprennent les intentions (Et intérêts) des personnages, qui au départ était cohérent et bien définit. Cette fin m’a laissé un goût amer.

La deuxième partie est esthétiquement très belle avec ce N&B magnifique et l’introduction des Aliens dans une version différente (Plus horrifique) de la Saison 2. On mêle pas mal de sujet issu de l’histoire et de la culture Américaine ce que j’ai adoré. Arrive ensuite le côté contemporain qui est peu convaincant (tout comme les acteurs). Les épisodes sont passés à vitesse grand v sans développement de l’intrigue.

Mon plus gros problème dans cette saison est le manque de liens (Fort et évident) entre les deux parties comme on a pu le voir dans la plupart des autres saisons d’AHS. Ce qui fait la force de cette série, en plus de son esthétisme et de la récurrence de ses acteurs c’est aussi les liens faits entre chaque saisons. (Ce que cherche souvent les fans)
Ici on n’a ni vraies liens entre d’autres saisons passées mais aussi et surtout aucun entre les deux parties.
Le thème des Aliens était très attendus des fans mais ce que voulait surtout les fans c’est revoir les Aliens de la Saison 2, en savoir plus sur eux et pour fêter les 10 ans de la série, la mettre en lien avec cette saison 2 qui est la plus appréciée et la mieux noté de toutes. (Ça aurait été un bel hommage)

La seule interprétation que je peux me faire concernant les 2 parties.
C’est que la Scientifique de la Partie 1 qui a travaillé pour l’armée aurait travaillé et développé la pilule dans la Zone 51 en collaboration avec les Aliens (images dans la partie 2 dans des locaux secrets où sont développés les humains hybrides)
L’intentions des Aliens aurait été de diffuser cette pilule à grande échelle après avoir découvert « l’enfant Parfait » (Plutot avant même, mais ne la diffuserai qu’à grande échelle qu’après avoir trouvé l’enfant hybride) et ainsi faire le tri dans la population entre les Hommes doués et les autres voués à mourrir ou à tués les autres. Tout cela dans le but de réduire globalement la population mondiale et faciliter le repeuplement de la planète par la nouvelle génération.
Tout ça n’est que mon interprétation personnel qui cherche une cohérence des deux parties.
J’ai d’ailleurs fortement apprécié la critique de G&g& qui semble bien constructif.

G&g&
03/03/2022 à 16:48

Je me propose de vous faire ma propre critique. D'une part, car j'ai absolument adoré cette saison - pour moi l'une des plus saisissantes, satisfaisantes, des mieux écrites et des mieux jouées de la série. D'autre part, car j'ai l'impression que l'auteur de la critique n'avait pas les codes de la culture populaire des USA pour comprendre le sens de la saison, ou bien qu'il n'avait pas assez de temps pour écrire.

ATTENTION SPOILER

Ce qui m'a surpris au premier abord, c'est de voir le premier volet s'appeler "Red Tide". S'il est vrai que le récit fait la part belle aux buveurs de sang, les uns se rapprochant des goules et les autres des vampires, le récit tourne assez rapidement autour de la "pilule noire". Cette pilule est fabriquée par une ancienne scientifique de l'armée, appelée "l'alchimiste" par ses camés, à partir de "recherches top secrètes sur la créativité visant à rendre les soldats plus dociles aux ordres extrêmes".
Le meme de la pilule noire, développé sur internet et parti de celui des pilules bleues et rouges dans Matrix, suppose le fonctionnement suivant : quand vous la prenez, vous réalisez soudainement que vous n'êtes rien dans la société, que votre société n'est rien dans l'humanité, et que l'humanité n'est rien dans l'univers. Partant de là, vous avez deux options : ou le pessimisme vous abat et vous dévitalise, ou vous trouvez en vous la volonté de faire quelque chose de votre vie.
La seconde possibilité est généralement associée à la "volonté de puissance", la volonté créatrice des artistes, d'où la thématique de cette première partie. Si vous vous êtes toujours demandé ce qui fait une Star, la série vous donnera l'interprétation suivante : les grands artistes sont des vampires, ils tirent leur énergie vitale du sang des vivants, s'isolent hors du monde d'où ils trouvent leur inspiration pour produire des œuvres de génie. Les artistes ratés sont, au contraire, très enracinés dans le monde ; ils se ressemblent tous et cherchent du sang pour assouvir une soif insatiable liée à leur haine du monde.

L'expérience de la pilule noire produit ce qu'Eugene Thacker appelle le "pessimisme cosmique" (je recommande son livre de 2014/2015) : il n'y a aucun espoir de réelle prise en main de nous-mêmes et du monde, ainsi s'organiser n'a aucun intérêt. "Cosmique", dans "pessimisme cosmique", est entendu au sens de cosmos / organisation du monde et de soi-même.
Le premier volet représente l'inutilité d'essayer de se prendre en main - soit vous êtes un créatif, soit vous êtes un raté - le second volet représente l'inutilité d'organiser le monde dans lequel on vit. D'où le choix très intéressant de suivre d'une part le Président Eisenhower (1953-1961), un homme de pouvoir qui accepte de coopérer avec des aliens, et un groupe de jeunes de notre époque payant les conséquences de ses décisions.

Le Président suit une trajectoire où il est de moins en moins puissant. Au départ, il est respecté de ses hommes et gère les situations avec brio par son pacifisme et sa volonté de dialoguer avec les aliens. Plus la coopération USA/aliens avance, plus il réalise l'horreur des conséquences de ce à quoi il a souscrit et plus il devient impossible de revenir en arrière à cause de l'emprise des aliens sur le monde des humains (malgré leur vulnérabilité biologique à notre monde, étonnamment).
En parallèle, on suit le genre des "jeunes partis en vacances en terrain hostile". Ils jouent assez rapidement leur rôle de couveuse à alien. Les deux garçons nous emmènent dans la question sociale de la parenté dans les couples homosexuels, et celle existentielle du désir de gestation chez les hommes. Les deux filles font immanquablement penser au mythe de Ripley dans Alien, leur différence de traitement souligne la différence de thématique entre la série et la franchise (malgré des similarités comme le facehugging et l'utilisation d'humains pour la gestation).
Dans l'ensemble, il y a un patchwork de thèmes conspirationnistes jusqu'à l'absurde. La zone 51 a été installée par l'armée pour recevoir les expérimentations aliens, mais aussi pour mettre en scène l'alunissage de 1969, les aliens arrivent à préserver les humains des effets du temps (Amelia Earhart enlevée et Mamie Eisenhower par vœu d'immortalité), et les reptiliens font leur apparition sur la fin. La boucle est bouclée avec les derniers humains réalisant qu'ils vont devenir des bêtes de foire et que les aliens vont coopérer avec les reptiliens.

Les deux volets tournent autour de mystères qui ne sont jamais éclaircis. Le fait même qu'ils ne soient jamais éclaircis est cohérent avec le "pessimisme cosmique", qui s'inspire entre autres de Lovecraft et de sa fascination pour l'indicible :
On ne saura pas comment l'alchimiste fabrique ses pilules noires, on devine qu'il y a du sang d'impliqué, mais ce n'est pas vraiment une surprise. On ne saura jamais non plus pourquoi les goules sont toutes habillées comme la première personne à devenir une goule. On ne saura pas non plus comment les aliens, qui ont détruit leur planète, pourraient coexister avec les reptiliens. Et on ne saura jamais d'où vient l'hybride alien-humaine, ni ce qu'il est fait des nouveau-nés hybrides.
L'ignorance [cadavres de nouveau-nés]--[fabrication de la pilule noire], le lien entre les deux étant leur prise en charge par l'armée, renvoie au mythe de la "matière noire" dans la franchise Alien. On aurait tort, je crois, d'y voir une pâle copie de l'original. La série envoie ce mythe à un autre un niveau en maintenant l'ignorance : la franchise Alien était une "pilule rouge", elle dévoilait le sang derrière les pratiques capitalistes, la saison 10 d'AHS la dépasse avec la pilule noire.

NB : Je suis probablement biaisé par mon attachement au pessimisme cosmique, ainsi que par le fait de n'avoir vu les titres des parties et de la saison, "Double Feature", qu'après visionnage de la série.

Blondie59221
19/12/2021 à 15:18

Pourquoi faire 2 parties qui n'ont aucun rapport entre elles? Aucun intérêt ! la 1ère est pas trop mal, mais la fin est bâclée, la 2 ème ne m'a pas trop intéressé car trop grotesque à mon goût, et la fin n'en est pas une, bâclée elle aussi bref décevant!

pc
18/11/2021 à 21:50

Soyons clair, ils ne feront jamais aussi bien que la saison 1 et 2 ( à mon avis) ( en plus D Hôtel saison bien barrée). Depuis quelques saisons la série s essouffle. Cette saison 10 est bancale. Quel intérêt de mettre bout à bout deux histoires qui n ont rien à voir et qui empêche un réel développement notamment de la deuxième partie. Sans spoiler le dernier épisode laisse sur sa fin et on attend de voir sur l écran : à suivre. Mais non c est fini. La première partie est pas mal mais finit par traîner sur la longueur. Les acteurs sont toujours au top (la gamine est une actrice remarquable pour son âge), la réal aussi, quelques belles idées : les vampires errants sortes de mixte entre Nosferatu et Voldemort et leurs façons de se déplacer dans la première partie. Une partie de L histoire américaine en lien avec les extra terrestres dans la deuxième partie. Bref pas inoubliable mais ça se laisse regarder et ça fait un peu oublier les deux dernières saisons véritables purges pour moi.

Ladydy_purple18
04/11/2021 à 06:37

Cette saison a bien commencé mais je n'ai pas aimé le fait qu'il y est 2 partie sans aucun rapport, cela fait une "cassure" dans la saison. De plus la fin de la partie 1 laisse à désiré, on dirai qu'elle a été bâclé. Enfin, je trouve qu'il manque des épisodes, la partie 2 nous laisse sur une fin pas finie je dirai, trop de questions pas de réponses..

Nesse
28/10/2021 à 18:57

Sans plus cette saison 10 ( tout les perso sont détestables surtout la gamine au violon) , pour la partie 2 aux secours !La fin est bâclé comme une impression qu'il manque un épisode.
J'ai détesté la saison 5 et la 10 et j'en peu plus de Sarah Paulson.

killercovid
27/10/2021 à 21:52

un monumentale chef d'œuvre depuis 10ans!!!

roulaoup
27/10/2021 à 15:51

Terriblement déçu par cette saison. je m'attendais tellement à un twist du même type que Roanoke, du faite que la partie 2 soit en faite un des sénarios écrit par l'auteur de la Partie 1. Cela aurait fait un super twist ! Pourquoi deux parties sans aucun rapport ?!!!!!! Aucun interet !

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