Critique : Canine
Une maison. Un couple grec et ses trois enfants, au moins majeurs, pas
si loin de la trentaine. Autour du domicile familial, rien. Le chaos.
Le vide. C'est en
Le père, la mère et leurs trois enfants vivent dans les faubourgs d'une ville. Leur maison est bordée d'une haute clôture. Les enfants n'ont jamais franchi la clôture. Leur éducation, leurs loisirs, leurs amusements, leur ennui, leur entraînement physique se conforment au modèle imposé par les parents, en l'absence de toute empreinte du monde extérieur. Les enfants pensent que les avions qui volent au-dessus de la maison sont des jouets et les zombies, des petites fleurs jaunes. Une seule personne a le droit de s'introduire chez eux : Christina, qui travaille comme agent de sécurité dans l'usine du père. C'est pour satisfaire les pulsions sexuelles du fils que le père fait venir Christina. Dans la famille, tout le monde l'adore, l'aînée des filles surtout. Un jour, Christina lui offre un serre-tête qui scintille, s'attendant à recevoir quelque chose en retour.
Une maison. Un couple grec et ses trois enfants, au moins majeurs, pas
si loin de la trentaine. Autour du domicile familial, rien. Le chaos.
Le vide. C'est en
Une partie de la France est soumise au couvre-feu, et c'est l'occasion de revoir les meilleurs films de confinement.