Jolies pépées et psychopathes pour Marcus Nispel
16 janvier 2012
|
16 janvier 2012
|
Marcus Nispel est un saint homme. Épris
de grand cinéma, décidé à sauver les classiques, le réalisateur
a pris la décision de mettre un terme à la vague de remakes qui
sévit actuellement en mettant en scène les plus mauvais, histoire
que les moguls Hollywoodiens laissent en paix les plus cultes sagas.
Voilà qui explique la déconfiture de Conan, et l'adoration de
Tonton pour la chose. Blague à part, Marcus s'apprête à réaliser
une œuvre originale, une adaptation certes, mais ni prequel, ni
reboot, ni relecture, ce dont on se félicite. Il devrait s'agir d'un
projet qui prend la poussière depuis 2009. Le très alléchant
Hack/Slash.
Pourquoi alléchant ? Parce qu'il y est question d'une jeune femme bien décidée à massacrer les vils assassins qui faillirent la réduire en charpie, soit un synopsis sympathique et annonciateur de salutaires accès de violence. Ajoutez à cela une plastique remarquable et un certain goût pour le fétichisme, et vous tenez un projet des plus excitants.
Vous aimerez aussi
commentaires
Aucun commentaire.