Si Dieu a mis sept jours à achever son œuvre, Darren Aronofsky a mis un an pour représenter la Création dans Noé.
L’inspiration biblique dans le cinéma de Darren Aronofsky n’aura échappé à personne. Que ce soit l’Arbre de Vie dans The Fountain, le héros christique de The Wrestler ou le mari-Créateur de Mother!,disons que le Divin est une constante chez le cinéaste, par ailleurs grand adepte du dolorisme. Oui, le sacrifice, ça le connaît, et avec Noé en 2014, il s’attaque à l’une des figures les plus emblématiques dans ce domaine.
Malheureusement pour lui, le film s’attire les foudres des communautés religieuses, de confession chrétienne, évangélique et musulmane, au point d’être interdit de sortie dans certains pays. Qu’importe, le cinéaste assume la fresque mythologique plus proche du Seigneur des Anneaux que des Saintes Écritures, et se permet même de revisiter la Genèse dans une scène expérimentale géniale.
Au commencement, les poissons assuraient niveau plongeon
L’ÉVOLUTION VITESSE GRAND V
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Je crois avoir trouvé le film moyen, en tout cas je me rappelle avoir été déçu de la BO de Clint Mansell et globalement le film ne m’a pas marqué… Sauf cette scène, incroyablement bien faite et efficace, je la reregarde régulièrement elle n’a pas pris une ride
Je crois avoir trouvé le film moyen, en tout cas je me rappelle avoir été déçu de la BO de Clint Mansell et globalement le film ne m’a pas marqué… Sauf cette scène, incroyablement bien faite et efficace, je la reregarde régulièrement elle n’a pas pris une ride
Film top pour ma part !