Les nouveautés films et séries à voir sur Disney+ en mai

La Rédaction | 9 mai 2022
La Rédaction | 9 mai 2022

Parce qu'il n'y a pas que Netflix ou Amazon Prime Video dans ce monde et que d'autres plateformes voient leur catalogue grandir chaque jour, chaque semaine et chaque mois, on a décidé de faire le point sur les nouveautés prévues sur Disney+Chaque début de mois, Ecran Large reviendra donc sur quelques nouveautés ajoutées par Disney+ dans son catalogue, films et séries confondus, originaux ou pas, dans une liste non exhaustive.

Alors, quels sont les films et les séries à ne pas manquer sur la plateforme de streaming en ce mois de mai ?

 

photo Star

 

DÉJÀ DISPONIBLE

les agents du shield saison 7

Sortie : 2020 - Durée : 13 épisodes d'environ 45min

 
Photo Clark Gregg
La fin d'une époque du MCU en série 

 

Ça parle de quoi ? Les agents du SHIELD sont transportés dans le temps et atterrissent à New York en 1931. Avec leur tout nouveau Zephyr capable de voyager dans le temps, ils se lancent à la poursuite des Chronicoms, déterminés à détruire l'agence avant même qu'elle ne soit créée.

Pourquoi il faut la regarder ? Parce qu’avant les Falcon et le Soldat de l’Hiver, Loki, Hawkeye et autres Moon Knight, le MCU en série c’était Les Agents du S.H.I.E.L.D. Son lien avec l’univers filmique se réduisant à quelques clins d’œil un peu inconséquents et à un récit parallèle indépendant, cette production créée par, entre autres, Joss Whedon reste une extension pas inintéressante de l'univers du MCU déployé au cinéma tout en en étant relativement affranchi.

La série se conclut sur une saison 7 où les personnages, après avoir été dans l'espace et le futur, se retrouvent dans le passé pour lutter une dernière fois contre les Chronicoms. Le personnage de Phil Coulson, joué par Clark Gregg, revient (encore) à la vie pour accompagner la fine équipe toujours interprétée par Chloe Bennet, Ming-Na Wen, Elizabeth Henstridge et tous les autres. Avec son voyage dans le temps à la Avengers : Endgame, Les Agents du S.H.I.E.L.D se termine sur un périple d'une jolie ambition.

Notre critique de la saison 7 des Agents du S.H.I.E.L.D

coeurs ennemis

Sortie : 2019 - Durée : 1h49

 

Coeurs ennemis : photo, Keira Knightley, Alexander Skarsgård Avant d'être viking, Alexander Skarsgård était Allemand

 

Ça parle de quoi ? Allemagne, 1946. Au sortir de la guerre, lors d’un hiver rigoureux, Rachel Morgan arrive dans les ruines de Hambourg pour y rejoindre son mari Lewis, un officier britannique en charge de la reconstruction de la ville dévastée... mais tout ne va pas se passer comme prévu.

Pourquoi il faut le regarder ? La reine des récits d’époque Keira Knightley, muse de Joe Wright, se retrouve propulsée en 1945 à Hambourg dans Coeurs ennemis, réalisé par le cinéaste britannique James Kent. Intitulé Aftermath en version originale, soit “contrecoup”, Coeurs ennemis traite de l’après-guerre, de la destruction, de ce qui reste alors que tout semble perdu. Rachael Morgan, mariée au Colonel Lewis Morgan (Jason Clarke), trouve en Stefan Lubert (Alexander Skarsgård) plus qu’un cœur ennemi, une âme aussi meurtrie que la sienne.

Si l’histoire reste assez basique, le film ravira les férus de mode et de costumes d'époque. Réalisés par Bojana Nikitovic, qui a travaillé en tant qu’assistante sur le Marie-Antoinette de Sofia Coppola, les costumes capturent à merveille l’ambiance générale du film et offre à Keira Knightley, après sa robe verte iconique de Reviens-moi, une resplendissante robe dorée restée gravée dans les mémoires. Coeurs ennemis plaira aux fans de films d’époque et de romances tragiques.

 

bientôt disponible

oussekine - LE 11 MAI

Durée : 4 épisodes d'environ 1h

 

Oussekine : PhotoRetour sur le drame qui chamboula la France en 1986

 

Ça parle de quoi ? La bouleversante histoire d’une famille en quête de justice après cette tragique nuit du 5 au 6 décembre 1986 qui a durablement marqué la société française de l’époque. 

Pourquoi il faut la regarder ? Parce qu'Oussekine revient sur l'impact sur la France du meurtre de Malik Oussekine par des membres de la brigade des "voltigeurs" - ces policiers en moto chargés de répondre par la force aux attaques de manifestants contre le projet de loi Devaquet, en 1986. Un sujet terriblement d'actualité au lendemain de l'élection présidentielle ainsi que d'événements récents qui soulevaient un certain nombre de questionnements sur la légitimité de la violence dans le corps policier français.

On retrouve dans cette série quelques noms connus comme Kad Merad, Olivier Gourmet et Laurent Stocker, mais aussi des visages moins identifiés comme le jeune Sayyid El Alami (Zombi Child, Une si longue nuit), Tewfik Jellab (La Marche, Paradise Beach) et Naidra Ayadi (Polisse, Stillwater). Derrière la caméra, Antoine Chevrollier a co-créé la série et s'est aussi chargé de la réalisation, après avoir travaillé sur quelques épisodes du Bureau des légendes et Baron noir.

how i met your father - LE 11 mai

Durée : 10 épisodes d'environ 25 minutes

 

How I Met Your Father : photo, Hilary DuffTed Mosby version Hilary Duff

 

Ça parle de quoi ? Dans un futur proche, Sophie raconte à son fils l’histoire de sa rencontre avec son père. Un récit qui nous catapulte dans le New York d’aujourd’hui avec Sophie et son groupe d’amis très unis composé de Jesse, Charlie, Ellen, Valentina et Sid.

Pourquoi il faut la regarder ? How I Met Your Mother est une sitcom culte régulièrement rediffusée, mais personne ou presque n’avait demandé de relecture moderne avec l’ancienne Lizzie McGuire de retour chez Disney avec How I Met Your Father. Le casting se veut cependant plus inclusif, et le scénario s’emparera des thématiques et problématiques de notre époque (alias les réseaux sociaux), tout en gardant a priori l’humour caractéristique des sitcom rétro. À voir si la série trouvera son ton et son identité ou si elle sera un autre décalque inutile. 

Malgré tout, pour rester optimiste, on pourra peut-être y trouver une certaine ambiance nostalgique avec ce nouveau groupe d’amis new-yorkais qui passent leur temps à squatter les uns chez les autres ou à trainer dans leur pub-QG pour raconter leur vie sentimentale. Et comme la « Mother » en question n’a pas tellement eu le traitement qu’elle méritait dans la série originale, espérons que le « Father » du reboot bénéficiera d’un peu plus d’attention. 

l'incroyable hulk - LE 13 mai

Sortie : 2008 - Durée : 1h52

 

L'Incroyable Hulk : photoUn héros en veine 

 

Ça parle de quoi ? Le scientifique Bruce Banner cherche désespérément un antidote aux radiations gamma qui ont créé Hulk.

Pourquoi il faut le regarder ? Faute de pouvoir nous proposer le Hulk de Ang lee, passionnante expérimentation qui tentait avec plus ou moins de succès d'émuler l'esthétique de la bande-dessinée, Disney+ accueille la version MCU du géant vert, L'Incroyable Hulk, certes mieux produite et moins bancale, mais forcément moins audacieuse.

Le second film de la saga de Kevin Feige est parfois un peu poussé sous le tapis lorsqu'on évoque la cohérence de son univers, principalement parce que, produit juste après le premier Iron Man, il ne partage pas grand-chose avec les futures apparitions du personnage. Mark Ruffalo ne lui prêtait alors pas encore ses traits. C'est Edward Norton qui avait cet honneur. Et il s'en sort très bien, ou du moins, mieux que son adversaire, L'Abomination campée par Tim Roth, sur le papier symbole de la dualité dévorante qui hante Banner mais dans les faits double grossier.

sneakerella - LE 13 mai

Durée : 1h51

 

Sneakerella : Lexi Underwood, Chosen JacobsSinon, le classique d'animation aussi est sur Disney+ 

 

Ça parle de quoi ? El, ado magasinier dans la boutique de chaussures qui appartenait autrefois à sa mère décédée, prend soin de cacher son talent de styliste. Quand il rencontre Kira King, la fille farouchement indépendante de Darius King - légende du basket et roi de la chaussure de sport -, El décide de réaliser son rêve, celui de devenir un styliste reconnu dans le monde très fermé de la sneaker.

Pourquoi il faut le regarder ? Par curiosité, principalement. Le pitch et la bande-annonce de Sneakerella veulent notre mort cérébrale, mais on se sentirait presque insensibilisé après la franchise Comme Cendrillon avec Hilary Duff et Selena Gomez, les versions avec Anne Hathaway et Camilia Cabello, le remake de Disney, et surtout les embarrassantes Nouvelles Aventures de Cendrillon avec Marilou Berry.

Surtout que pour cette revisite, Disney choisit de donner le rôle principal à un acteur, remplace la belle-mère par un beau-père, le carrosse par une voiture de luxe (orange), Marraine la Fée par une BFF, le Roi par « Sa Majesté des Sneakers », le Prince par l’ambitieuse Kira King et la célébrissime paire de pantoufles de verre par des Skechers qui font de la lumière. Ça colle un sourire sardonique, mais ça a le mérite de tenter, d’innover, de jouer à fond la carte de la modernité et de la romance teen.

life & beth - le 18 mai

Durée : 10 épisodes d'environ 30 minutes

 

Life & Beth : Photo Michael Cera, Amy Schumer Un Michael Cera barbu et une Amy Schumer mouillée

 

Ça parle de quoi ? Beth est une femme dont la vie apparemment idéale suscite l’envie et l’admiration de ses anciens camarades de classe. Ce tableau idyllique vole pourtant bientôt en éclats à la suite d’un incident qui l’oblige à se confronter à son passé.

Pourquoi il faut la regarder ? Après sa présentation plutôt critiquée des Oscars, l'humoriste Amy Schumer continue sa diversification en tenant le premier rôle de Life & Beth, qu’elle produit et réalise également. Un nouveau premier rôle donc, sept ans après Crazy Amy de Judd Apatow, nommé deux fois aux Golden Globes, qu’elle a également écrits.

Dans Life & Beth, la vie parfaite de la vendeuse de vin vole en éclats quand elle décide de tout plaquer pour vivre à la campagne. La comédie fun et légère est également parsemée de moments touchants, voire bouleversants, inspirés de la vie d’Amy Schumer. Si la série n’invente rien, la présence de Michael Cera apporte une touche décalée qui vient rafraichir le tout.

Tic et Tac : Les Rangers du Risque - LE 20 mai

Durée : Encore inconnue pour le moment

 

Tic et Tac : Les Rangers du Risque : photoAu moins, ça ne peut pas être pire que Space Jam 2 

 

Ça parle de quoi ? De nos jours, Tic et Tac évoluent autant dans le monde de l’animation que dans celui des humains. Depuis la déprogrammation de la série dont ils étaient les héros, ils ont pris des directions diamétralement opposées. Sauf que lorsque leur ancien partenaire Jack le costaud disparaît mystérieusement, Tic et Tac n’ont d’autre solution que de refaire équipe pour partir à son secours.

Pourquoi il faut le regarder ? Même si la série des années 90 était super chouette, l’idée de faire un film Tic et Tac : Les Rangers du Risque sur Disney+ (trente ans après) n’a rien de très emballant sur le papier. Disney veut un peu plus titiller la nostalgie de ses abonnés, avec un concept proche de Qui Veut la peau de Roger Rabbit, où Tic et Tac sortent du cartoon et de leur personnage pour en recréer d’autre. Tout ça dans une démarche méta propre à l’auto-citation promotionnelle (mais la balle perdue pour Cats dans la bande-annonce détourne un peu l’attention). 

Pourtant, le film promet de prendre un peu plus de hauteur que les remakes ou reboots en série de Disney en mettant au coeur de son intrigue l’évolution de l’animation ces trente dernières années. À en juger par la bande-annonce, le scénario semble vouloir aborder les divers progrès techniques - la 2D, la 3D, la motion capture -, la diversification des médias avec notamment le jeu vidéo. Le film a également l’air de vouloir tacler l’uniformisation des productions et la perte de techniques plus artisanales… auxquelles participe notamment Disney. Il reste à voir si le film proposera une vraie réflexion sur son sujet, ou se contentera d’un sage constat gentiment moqueur. 

Le client - LE 20 mai

Sortie : 2016 - Durée : 1h56

 

Le Client : photo"Je vois des gens presque morts"

 

Ça parle de quoi ? À 11 ans, Mark Sway est témoin du suicide d’un avocat véreux qui se confesse à lui avant de mourir. Désormais tiraillé entre ce qu’il sait et ce qu’il ne pourra jamais dire, le jeune garçon est alors autant courtisé par la police que par les mafiosi.

Pourquoi il faut le regarder ? Et bien parce que Joel Schumacher n’a pas réalisé que de mauvais films, aussi surprenant que cela puisse paraître. Bien avant le costume à tétons de Robin ou la combinaison acide de Poison Ivy des illustres Batman Forever et Batman et Robin, le cinéaste s’est avant cela illustré dans le thriller avec une certaine aisance. Sans pouvoir être considérés comme de petits chefs-d’oeuvre, Le Droit de Tuer, Chute Libre, encore ou Phone Game sont des métrages somme toute parfaitement corrects et divertissants, et Le Client s’inscrit exactement dans cette veine.

Thriller judiciaire adapté d’un roman de John Grisham, Le Client brille dans un premier temps par la performance stellaire de Susan Sarandon, avocate à la vulnérabilité touchante et à la volonté d’acier. Si la réalisation de Schumacher est efficace, le métrage souffre malgré tout de quelques longueurs et invraisemblances. Film au suspense procédural sans prétention, Le Client se laisse amplement regarder, ne serait-ce que pour le duel entre Sarandon et Tommy Lee Jones.

obi-wan kenobi - LE 27 mai

Durée : 6 épisodes

 

 

Ça parle de quoi ? Dix ans après le drame de Star Wars : Episode III - La Revanche des Sith, et alors que règne l’Empire Galactique, Obi-Wan Kenobi se lance dans une mission cruciale au cours de laquelle il devra affronter des alliés désormais devenus ennemis et faire face à la colère de l’Empire.

Pourquoi il faut la regarder ? Parce que c'est tout simplement l'événement de l'année sur Disney+ ! Après une postlogie qui a tout fait pour effacer le souvenir de la prélogie, Lucasfilm a enfin compris que les trois derniers films de George Lucas ont leurs fans. Alors certes, Star Wars : Obi-Wan Kenobi sent la piqûre nostalgique sans grande raison d'être, qui devrait justifier de façon capillotractée que ce cher Ewan McGregor parte à l'aventure hors de Tatooine.

Mais difficile de résister face à une telle proposition, où le Dark Vador d'Hayden Christensen devrait avoir l'occasion de briller, d'autant que la série a été confiée à Deborah Show, l'une des réalisatrices de The Mandalorian désormais rompue à l'exercice. Au vu de ses bandes-annonces qui en montrent assez peu, on en vient à espérer un certain lot de surprises. Prions pour que Lucasfilm ait vraiment mis les petits plats dans les grands. 

aladdin - LE 27 MAI

Sortie : 2019  - Durée : 2h09

 

Aladdin : photo, Will Smith Freddy ne sera plus seul à hanter vos cauchemars désormais

 

Ça parle de quoi ? Quand un charmant garçon des rues du nom d’Aladdin cherche à conquérir le cœur de la belle, énigmatique et fougueuse princesse Jasmine, il fait appel au tout puissant Génie, le seul qui puisse lui permettre de réaliser trois vœux, dont celui de devenir le prince Ali.

Pourquoi il faut le regarder ? Vous le savez. Vous le savez très bien, là, tout au fond de vous, pourquoi vous devez regarder Aladdin. Ce n’est pas pour se prouver qu’effectivement, il arrive à Guy Ritchie de faire des mauvais films, non. Ce n’est pas non plus pour les chansons qui, bien qu’insupportables, n’en sont pas moins entrainantes pour autant. Ni pour le jeu d’acteur absolument flamboyant d’inconfort de Mena Massoud. Ni encore pour le scénario qui, très franchement, tient sur un tout petit mouchoir de poche pour enfant. Non. Non. Après tout, rien de tout cela, aussi grandioses ces éléments puissent-ils être, ne parvient à la cheville du seul, de l’unique, du redoutable… Will Smith bleu.

Si la formidable entreprise de recyclage d'adaptations en prises de vue réelles mise en place par Disney avait de quoi occasionner bien des soupirs, cette réadaptation d’Aladdin ouvre quant à elle toutes les vannes aux larmes les plus chaudes, que le métrage inspire le plus grand désespoir, ou une tordante crise de rire. 

noé - LE 27 MAi

Sortie : 2014 - Durée : 2h18

 

Noé : photoUn lundi à Dunkerque 

 

Ça parle de quoi ? L'histoire du personnage biblique Noé, homme promis à un destin exceptionnel alors qu'un déluge apocalyptique s'apprête à détruire le monde.

Pourquoi il faut le regarder ? Extrêmement important pour son auteur Darren Aronofsky, terreur des exécutifs de Paramount et provocation blasphématoire pour des dizaines de communautés religieuses, toutes confessions confondues, Noé devait ressusciter le divertissement biblique de masse, mais s'était fait en prime pas mal dézinguer par des spectateurs déçus. Pourtant, il mérite d'être reconsidéré, justement parce qu'il prend le contrepied du modèle hollywoodien.

Si certaines scènes embrassent l’ampleur de l’Ancien Testament pour proposer un spectacle écolo qui va jusqu’à résumer toute la Genèse en quelques minutes, le récit se resserre progressivement autour de la figure de Noé et de sa famille, ballotés entre la cruauté des châtiments divins et l’ambition de leur tâche, jusqu’à plonger sciemment dans leur intimité au lieu de se conformer au traditionnel climax pétaradant. Il restera tout de même un blockbuster sacrément singulier, qui plus est soutenu par l’une des plus magistrales bandes originales de Clint Mansell. Et ce n’est pas peu dire.

Il était une fois en Amérique - LE 27 MAI

Sortie : 1984 - Durée : 3h40

 

photoNew York filmé par Sergio Leone  

 

Ça parle de quoi ? À New York, à la fin de la prohibition, Noodles se réfugie dans une fumerie d’opium après un coup qui a mal tourné. Laissant les souvenirs remonter à sa mémoire, il se rappelle sa vie, entre sa jeunesse avec ses amis d’enfance, sa passion amoureuse avec Déborah et son ascension dans la pègre new-yorkaise.

Pourquoi il faut le regarder ? Parce qu'Il était une fois en Amérique est l'ultime long-métrage du légendaire réalisateur Sergio Leone. L'ampleur que l'on connait au cinéaste prend ici une tournure quasiment mythologique avec cette fresque démesurée de 3h40 sur l'amour, l'amitié, la trahison, l'argent et l'Amérique. Un récit crépusculaire qui plonge le spectateur dans le New York des années 20 jusqu'à la fin de la prohibition.

La mise en scène opératique du cinéaste est sublimée par la mélancolique bande originale d'Ennio Morricone. Au casting, de grands noms tels que Robert De Niro et James Woods, mais aussi Elizabeth McGovern, Treat Williams et Joe Pesci. Une collection d'immenses talents qui donnent corps à un film de gangsters légendaire, une peinture historique d'ampleur et une tragédie sensible.

 

Mais aussi...

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commentaires
Eddie Felson
09/05/2022 à 18:44

« Once upon a time in America »… à quand un article de fond sur cette pierre de rosette du 7eme art? Merci d’avance:)!

Simon Riaux
09/05/2022 à 16:28

@Kobalann

Botter en touche, parfois la moins indigne des non-réponses.

Kobalann
09/05/2022 à 16:16

@simon riaux

"Exécutions", "mutilations", "manifestations factieuses", vous avez oubliez de rajouter "instruments de Satan"

Au moins je ne suis pas déçu de votre com ^^ digne del Che Melenchon

Simon Riaux
09/05/2022 à 15:26

@Kobalann

Mutilations, éborgnements et exécutions en tout genres. Jusqu'aux manifestations factieuses, en armes, d'une fraction des dépositaires de l'autorité, face aux institutions démocratiques, désignant nommément la République comme leur adversaire.

Par exemple.

Kobalann
09/05/2022 à 14:12

"d'événements récents" (au pluriel ? lesquels ? N'hésitez a être precis) "qui soulevaient un certain nombre de questionnements" (lesquels ? N'hésitez pas à être précis) "sur la légitimité de la violence dans le corps policier français."

Geoffrey Crété - Rédaction
09/05/2022 à 13:07

@Bizarre

Parce qu'il a un article dédié :
https://www.ecranlarge.com/films/dossier/962045-le-mal-aime-solaris-le-chef-doeuvre-avec-george-clooney-avant-minuit-dans-lunivers-sur-netflix

@Louig

Vu qu'on a consacré pas mal d'articles à ses films (encore récemment : Chute libre), ça va je pense.

Louig
09/05/2022 à 12:58

the lost boys et l'expérience interdite ..... on ne connait pas son Joel Schumacher sur EL !

Bizarre
09/05/2022 à 11:05

Et pourquoi pas un petit focus sur Solaris ?