Critique : Diana Vreeland

Perrine Quennesson | 1 octobre 2012
Perrine Quennesson | 1 octobre 2012
La voix caverneuse et éraillée de Diana Vreeland résonne dans le génial documentaire Diana Vreeland : the eye has to travel. Réalisé par la petite belle-fille de Diana, le film revient sur la vie de cette extraordinaire rédactrice en chef de Vogue. Il commence sur un She's like a rainbow des Rolling Stones qui donne le ton : Vreeland était rock n'roll, créative et ne craignait pas de recommencer pour se réinventer. Extravagante, franche et ouverte sur le monde, elle a su capter l'essence de toutes les époques pour créer les modes.  Instinctive, elle savait repérer ce qui serait le hit de demain. Pas vraiment belle, elle a fait d'elle une icône inévitable. Parsemé d'interviews de ses contemporains et d'archives des siennes, le documentaire rend un hommage sans langue de bois à une femme avant-gardiste (même presque 15 ans après sa mort) qui faisait de la morosité son pire ennemi. Vivifiant comme un gin tonic !

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