Critique : Stress
Il était une fois une époque bénie où Guy Marchand (déjà dans le rôle d'un détective privé) tenait le rôle titre d'un film d'angoisse avec tension, suspense et adrénaline. Bon, on n'est pas non plus dans du Friedkin, loin de là, mais cette histoire d'harcèlement nous rappelle que le cinéma français d'alors ne dédaignait pas à jouer gratuitement avec nos nerfs
André Dussolier s'échappait de chez Resnais pour aller fricoter avec Carole Laure, habituée de ce type de productions (l'excellent Asphalte). Jean-Louis Bertucelli préparait, lui, la cohorte des réalisateurs fans de genre qui furent contraints de rejoindre la télévision face au peu d'engouement de leurs productions, à l'instar de Joël Santoni et de son génialissime Mort un dimanche de pluie.
Lecteurs
(0.0)