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Entre tensions internes, reshoots coûteux et les choix créatifs douteux, d’après certaines sources internes à Marvel, Captain America 4 : Brave New World aurait été un naufrage prévisible.
Initialement attendu comme le climax de la Phase 5 du Marvel Cinematic Universe, Captain America : Brave New World s’est révélé être un sacré pétard mouillé. Avec un budget estimé à 180 millions de dollars, c’est ce qu’on appelle un échec cuisant, d’autant plus que la presse semble unanime concernant la piètre qualité du premier film avec Anthony Mackie dans le rôle de Captain America. Il ne reste donc plus qu’à espérer que Thunderbolts*, dont on connait enfin la signification de l’astérisque, sauve les meubles. L’espoir fait vivre.
La débâcle de Captain America 4 était-elle prévisible ? Les rumeurs de bordel en coulisses et de multiples reshoots étaient déjà largement répandues. Des révélations viennent de faire surface, les langues de certains techniciens du film se délient, et montrent un vrai chaos en coulisses.
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Captain America 4 : Brave New War
Selon un article de Vulture publié le 13 février 2025, le tournage de Captain America : Brave New World a été plombé par des projections tests catastrophiques qui ont poussé la production a lancé des reshoots coûteux, mais aussi par la peur des producteurs du film, qui ont vu dans la représentation du personnage de Red Hulk, incarné par Harrison Ford, un amalgame avec Donald Trump.
Par crainte de retombées publiques et politiques, le titre du film a même été modifié, passant de New World Order à Brave New World, « New World Order » (Nouvel Ordre Mondial) étant une locution souvent utilisée par les partisans de Trump. Au-delà de ces considérations politiques, des sources internes à la production soulignent un manque de direction claire et une vision artistique floue, auxquelles seraient venues se greffer les comportements problématiques de plusieurs acteurs, et particulièrement Harrison Ford.
L’une des sources de Vulture, qui a tenu à garder l’anonymat, a expliqué que l’acteur avait été difficile à gérer sur le plateau, et que les séances de motion capture, nécessaire à la création du Red Hulk, lui auraient tapé sur les nerfs :
« Harrison Ford était l’un des artistes les plus grincheux auxquels j’ai eu affaire. C’est triste. Je suis un fan. Mais c’était une vraie diva. Je ne sais pas si vous vous en souvenez, mais il a eu un accident d’avion. Il ne pouvait même pas lever son bras gauche au-dessus de sa poitrine. Nous devions habiller Harrison Ford, qui a plus de 80 ans, avec ces capteurs de mouvement.
J’avais l’impression qu’il détestait ça et qu’il ne voulait pas le faire. Et quand Harrison avait fini, il avait fini. Tout le monde essayait de faire des pieds et des mains pour le rendre heureux. Cela a créé un environnement de travail très délicat. »
Les nerfs à vif
La même source Vulture a assuré que la plupart des techniciens qui travaillaient sur le plateau et sur le montage du film, avaient la certitude que le film serait raté. Les monteurs en particulier n’en pouvaient plus de voir de nombreuses scènes filmées retirées du montage final, avant d’y être de nouveau inclus, et ainsi de suite :
« J’ai travaillé sur les reshoots. Je pense que tous les membres de l’équipe savaient que ce ne serait probablement pas un bon film. Certaines séquences d’action n’étaient pas crédibles. Nous avons eu beaucoup de frustrations sur le plateau.
Une fois les prises de vue principales terminées, on s’est dit : « Oh, on va introduire le chef de la Société du Serpent. » On le mettait en place, puis on le supprimait, puis on le remettait en place. C’est très coûteux à faire. Mes collègues qui ont passé plus de temps que moi sur Brave New World m’ont dit : « Oui, cette production a été très difficile ». »
Le technicien a ensuite expliqué qu’entre la gestion des égos de certains acteurs, les séquences filmées mises au rebut et le budget qui s’envolait, ce Captain America : Brave New World a été le tournage le plus compliqué auquel il a eu affaire :
« Le problème était de gérer les egos des stars. Il n’y avait que Harrison Ford. C’était donc un peu décevant. En fin de compte, c’est le tournage Marvel le plus tendu auquel j’ai participé. Tout le monde a vraiment eu chaud au cul. »
Les courageux qui veulent se faire leur propre idée sur l’étendue du naufrage peuvent se rendre dans les salles de cinéma. Captain America : Brave New World est disponible dans les salles obscures depuis le 12 février 2025.
J’ai vu la scnéne Harisson ce transforme en HULK ROUGE OMG comment dire. juste HORRIBLE. Et quand le Captain lui fait un discours il redevient le Président… Courage pour ceux qui paye leur place pour voir ce MARVEL.
Caporal America.
Pas étonnant que les séances de motion capture aient tapé sur le système de papy Ford… il n’a plus l’âge pour ces co… neries! Déjà que c’est très dur pour des jeunes acteurs, comme l’ont souvent expliqué les acteurs de Avatar ou Andy Serkis. On ne devient pas un bon acteur de motion capture du jour au lendemain, et surtout pas à 80 balais!
Moi non plus je ne comprends pas pourquoi les studios ont cédé et accepté Ford dans le rôle. Je pense que la négo a dû se faire avant la sortie de Indy 5 et qu’ils ont parié sur le succès du film, qui aurait « relancé » la carrière de Ford… si on peut dire! Manque de bol, Indy 5 s’est royalement planté. Bref, désastre total cette histoire. Ford va pouvoir dire adieu aux blockbusters… et tant mieux pour lui, à un moment il faut savoir dire stop.
Ford à plus que l’âge de la retraite sérieux! Ils auraient pu prendre quelqu’un d’autre… Pour moi Marvel la uniquement recruté pour son Nom, pas pour son tallent »actuel ».
Hollywood c’est tout ou rien : soit on a droit à des promos insipides, verrouillées, désincarnées, et garanti 100% démago et langue de bois …et parfois le vent tourne et on a des vraies infos qui tâchent sur les coulisses de cette machine infernale alors même que le film vient juste de sortir.