Dépucelage gore et amours torrides : la rentrée est brûlante sur Filmo !

La Rédaction | 30 août 2022
La Rédaction | 30 août 2022

C'est la sécheresse pour tout le monde mais pas pour les abonnés de Filmo, qui ont droit à une rentrée en sueur, à base d'orgie gore, d'amour et de dépucelage.

Les curieux seraient bien inspirés de tâter des 14 jours d’essai gratuit, après quoi il leur en coûtera 6,99 euros par mois, pour poser les yeux sur un catalogue parmi les plus attrayants disponibles en France. Blockbusters, pépites, films rares, genres inattendus ou joyaux oubliés de réalisateurs géniaux, on trouve de tout sur Filmo.

La preuve avec trois films représentatifs d'un des catalogues les plus variés et jubilatoires de la SVoD disponible sous nos latitudes. Une sélection qui devrait permettre à tout un chacun de survivre au-delà de cette rentrée, grâce à une bonne dose de rire, quelques frissons et un sursaut bienvenu de sensualité ensoleillé. Au programme, le premier film gore de l'histoire du cinéma, le célèbre dépucelage qui rendit célèbres Judd Apatow et Steve Carell, ainsi qu'une tornade érotique à la gloire de Paz Vega.

Et parce que la vie est belle, sachez que si vous utilisez le code ELFILMO, vous bénéficierez de deux mois offerts sur la plateforme Filmo !

 

40 ANS TOUJOURS PUCEAU

 

40 ans, toujours puceau : photo, Steve CarellSans les mains !

 

Le film qui fracassa la comédie américaine en l'an de grâce 2005 est rapidement devenu un classique du genre, d'autant plus que son maître d'oeuvre, Judd Apatow, n'a pas tardé à se tailler la part du lion en matière d'humour outre-Atlantique. Il est d'ailleurs frappant de voir que plus de 15 ans après ce succès tellurique, personne n'est venu réclamer sa couronne pour s'assoir à sa place sur le trône du LOL. Mais si le scénariste producteur et réalisateur n'a eu de cesse de multiplier les projets, passant progressivement de metteur en scène révéré à pape du genre, capable de s'intégrer aussi bien à la télévision, qu'au cinéma ou sur les plateformes, il a su évoluer avec son temps.

Epousant désormais une veine volontiers plus mélancolique, voire romantique, on a tendance à oublier la puissance de ses éclats de rire originaux. Et c'est pourquoi le débarquement de 40 ans, toujours puceau, ou les mésaventures d'un homme plus tout jeune mais pas moins bouillant du slip, fait le plus grand bien. Non seulement le long-métrage aura servi de coup d'accélérateur à tout une galerie de comédiens incroyablement attachants, mais il demeure aujourd'hui encore une petite leçon de narration, d'humanité, de générosité comique et d'humour gras. Aussi indispensable qu'une épilation tardive et plus réjouissant qu'une rupture de frein, c'est l'éclat de rire idéal pour survivre à la rentrée.

 

BLOOD FEAST

 

Orgie sanglante / Blood feast : Photo Blood FeastC'est Maïté qu'on assassine !

 

Aujourd'hui, la première série médicale venue est plus gore qu'une visite sur un hôpital de campagne en plein génocide. En effet, au cours de ces trente dernières années les déflagrations de violence graphique ont progressivement contaminé tous les genres, et il n'est guère nécessaire pour être exposé à des boyaux de se planquer dans un poisseux cinéma de quartier. Par conséquent, redécouvrir aujourd'hui le premier long-métrage de l'histoire du cinéma à avoir fait gicler la tripaille, provoquant un scandale massif au passage, est d'autant plus intéressant.

C'est en 1963 que le Blood feast de Herschell Gordon Lewis éclabousse ses spectateurs. Cela fait alors trois ans que son réalisateur souhaite s'inspirer du succès et de la réputation de Psychose d'Alfred Hitchcock. Mais, sans doute conscient de ne pas être exactement aussi génial que le grand Hitch, il va remplacer ses ambitions de mise en scène par un goût prononcé pour la boucherie et le grand-guignol. D'où cet étonnante histoire de traiteur de mariage, porté sur le cannibalisme, et désireux d'organiser un banquet peu banal. Véritable curiosité, ainsi que note d'intention à l'influence invraisemblable, le film a donné naissance à tout un genre, qui fit de la contestation et du détournement des codes en vigueur ses maîtres-mots.

 

LUCIA ET LE SEXE

 

Lucía y el sexo : Paz VegaJolie raie

 

Alors oui, la période estivale s'achève. Certes, il faut retrouver le chemin du bureau, de l'école, de la fac, ou de sa cellule. Mais ce n'est pas une raison pour ne pas prendre encore une bonne tranche de sensualité gorgée de soleil. Et cela tombe bien, parce que Filmo nous propose de jeter les yeux sur Lucía et le sexe, qui a le bon goût de dépoussiérer beaucoup des stéréotypes liés à la représentation de l'érotisme au cinéma. Et comme cette déclaration d'amour à l'amour, à ses dédales, labyrinthes et jeux perpétuellement recommencés est portée par Paz Vega et Tristan Ulloa, on en redemande.

Depuis ses débuts, le passionnant Julio Medem se sera penché sur de vertigineux et sexuels portraits de femmes. Rendu célèbre par Les Amants du Cercle polaire, c'est avec Room in Rome et surtout le film aujourd'hui proposé par la plateforme. Rencontre d'une jeune femme et d'un écrivain, alors que tous deux cherchent l'opportunité de renouveler leur vie sentimentale, amoureuse, et charnelle, le film séduit par sa qualité solaire, l'évidence ludique avec laquelle il embrasse ses protagonistes, et contamine son spectateur d'une évidente envie d'aimer.

Ceci est un article publié dans le cadre d'un partenariat. Mais c'est quoi un partenariat Ecran Large ?

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commentaires
Serievore
04/09/2022 à 07:57

Un film inconnu de 1963,
Un autre film inconnu qui n a du atttirer les gens quebpar la presence du mot sexe dans le titre, et une comedie certes sympa, mais comme on en trouve beaucoup d autre, ca fait peu, TRES TRES peu pour justifer de payer un abonnement de 7 euros mensuel, alors qu on peut louer un film pour 3ou4 euros...

Surtout que si ce sont ces 3 films qui ont choisi pour etre la vitrine de Filmo, j ai peur de connaitre le niveau de ceux qui n ont pas ete choisi. Ca doit pas boler haut du coup.

MoiLeVrai
01/09/2022 à 13:18

@monsieurpomme je te rejoins. Ceci etant, les titre sont souvent déjà explicites et sonnent très pub "Dépucelage gore et amours torrides : la rentrée est brûlante sur Filmo !" j'aurai mis ma main à couper qu'il s'agissait d'un partenariat et j'ai d'ailleurs cliqué sur l'article (que je n'ai pas lu et ne lirai pas) uniquement pour me le confirmer :D

MonsieurPomme
31/08/2022 à 18:09

ça serait mieux de trouver article sponsorisé au début près du titre qu’à la toute fin

Chéri-Bibi
30/08/2022 à 22:26

L'image illustrant Blood Feast est en fait tirée du second film d'HG Lewis, le délirant 2000 Maniacs.