Les nouveautés films et séries à voir sur Amazon Prime en août

La Rédaction | 10 août 2022 - MAJ : 10/08/2022 18:27
La Rédaction | 10 août 2022 - MAJ : 10/08/2022 18:27

Parce qu'il n'y a pas que Netflix dans ce monde et que d'autres plateformes voient leur catalogue grandir chaque jour, chaque semaine et chaque mois, on a décidé de faire le point sur les nouveautés prévues sur Amazon Prime VideoChaque début de mois, Ecran Large reviendra donc sur quelques nouveautés ajoutées par Amazon Prime Video dans son catalogue, films et séries confondus, originaux ou pas, dans une liste non exhaustive.

Alors, quels sont les films et les séries à ne pas manquer sur la plateforme de streaming en août ?

 

Rambo : Photo Sylvester StalloneAvec une grosse dose de Sylvester Stallone

 

Déjà disponible

La disparue

Durée : 1h35

 

La Disparue : Gerard ButlerC'est qui le patron ?

 

Ça parle de quoi ? Will conduit sa future ex-femme, Lisa, chez ses parents lorsqu'elle disparaît mystérieusement à une station-service. Afin de la retrouver, Will, désespéré, se rend à la police qui ne lui sera d'aucun secours et ira jusqu'à le suspecter. Déterminé à trouver Lisa lors d'une terrifiante course contre la montre, fuyant les autorités, Will s'enfoncera dans les bas-fonds criminels.

Pourquoi il faut regarder ? Un mari désespéré se lance à la recherche de sa femme mystérieusement disparue. Le schéma est si commun qu’il suscitera immanquablement une certaine lassitude. Subséquemment, on ne regardera pas La Disparue pour l’originalité de son concept. Le spectateur se laissera donc plutôt tenter par Gerard Butler, qui n’apporte certes rien de nouveau à ce genre qu’il a déjà bien épuisé au gré de ses diverses performances, mais qui de fait, ne risque pas de décevoir.

La production est modeste. Dirigé comme un téléfilm du dimanche, ce nouveau métrage de l’acteur et cinéaste Brian Goodman à le mérite de ne pas prétendre vouloir faire du grand cinéma. Divertissement de série B aussi insipide qu’efficace, ce pseudo thriller d’action manque d’une intrigue réellement solide, mais était-ce réellement ce que l’on venait y rechercher ?

Notre critique de La Disparue

Alexandre

Sortie : 2005 - Durée : 2h50

 

Alexandre : Photo Colin Farrell, Jared LetoJuste "amis"

 

Ça parle de quoi ? Le film narre la vie d'Alexandre le Grand (-356 à -323) du point de vue d'un de ses principaux généraux, Ptolémée, de son enfance à sa mort, des cours d'Aristote aux conquêtes qui firent sa légende, de l'intimité aux champs de bataille.

Pourquoi il faut regarder ? Très superficiellement d’abord, pour Angelina Jolie, qui n’a jamais été aussi glaçante, féline, et majestueuse que dans le métrage d’Oliver Stone. De façon plus instruite désormais, Alexandre se regarde avant tout pour sa démesure. Film agressif jusque dans la mise en scène de ses dialogues, le métrage est à la hauteur de son personnage titre.

Brillamment porté par un Colin Farrell qui signe là l’un de ses plus grands rôles, ce biopic est une oeuvre brutale qui s'inscrit sciemment dans une logique de débordement perpétuel. Tout y est excessif : l'interprétation, le dispositif cinématographique du cinéaste, les scènes de batailles, la bande originale signée par le regretté Vangelis, la chevelure peroxydée de sa tête d'affiche... L'oeuvre est viscérale, et si elle souffre par moments de son jusqu'au-boutisme, la générosité de son traitement saura l'excuser auprès du spectateur.

Palo Alto 

Sortie : 2013 - Durée : 1h40

 

Palo Alto : Photo Emma RobertsElle peut nous souffler sa fumée au visage quand elle veut

 

Ça parle de quoi ? Piégés dans le confort de leur banlieue chic, Teddy, April, Fred et Emily, adolescents livrés à eux-mêmes, cherchent leur place dans le monde. Ils ont soif de sensations fortes et testent leurs limites. L’alcool, les drogues et le sexe trompent leur ennui. Ils errent sans but dans les rues ombragées de Palo Alto.

Pourquoi il faut le regarder ? Après Francis Ford, Roman et Sofia, c’est au tour de Gia Coppola, la petite fille du premier cité, de se tourner vers la réalisation. Sorte de Virgin Suicides post-2010Palo Alto traite du malaise adolescent et revisite le teen drama avec beaucoup de poésie et de sincérité. Les jeunes du film, joués par Emma Roberts, Nat Wolff ou encore Jack Kilmer (le fils de Val Kilmer qui joue aussi dans Palo Alto) sont tous au bord du gouffre et cherchent désespérément à vivre une aventure sensationnelle.

Adapté du recueil de nouvelles de James Franco, qui joue ici un entraineur sportif un peu trop entreprenant avec son élève jouée par Emma Roberts (ce qui était donc prémonitoire), Palo Alto est le cliché du film indé, mais n’en est pas moins un film réussi, aussi doux que tragique.

Tous en scène 

Sortie : 2016 - Durée : 1h50

 

Tous en scène : PhotoPhoto de famille

 

Ça parle de quoi ? Buster Moon est un élégant koala qui dirige un grand théâtre, jadis illustre, mais aujourd’hui tombé en désuétude. Buster est un éternel optimiste, un peu bougon, qui aime son précieux théâtre au-delà de tout et serait prêt à tout pour le sauver.

Pourquoi il faut le regarder ? Tous en scène, ou Sing en version originale, est tout simplement un pot-pourri de mignonnerie. Créé par les studios d’animation Illumination au même titre que la franchise Moi, moche et méchant (et donc Les Minions), Le Lorax ou encore Comme des bêtes, Tous en scène est un film musical réalisé par Garth Jennings sur des animaux mélomanes qui s’affrontent lors d’un concours de chant.

Si vous êtes en vacances avec vos petits cousins, profitez-en pour regarder (et aimer) Tous en scène sans culpabiliser, un film pour enfants oui, mais qui pourrait vous surprendre (et vous faire bouger la tête sur le rythme de tubes planétaires).

Showgirls

Sortie : 1996 - Durée : 2h11

 

Showgirls : photo, Elizabeth Berkley, Gina GershonBarbie Las Vegas

 

Ça parle de quoi ? Nomi (parce que No-Me, tavu c'est malin) arrive à Las Vegas pour devenir une superstar. Mais elle va devoir commencer en bas de l'échelle, vendre son corps et son âme pour avancer, et fréquenter les pires pourritures pour réaliser qu'elle doit vraiment se barrer, et aller vers un endroit meilleur (Hollywood) (rires).

Pourquoi il faut le regarder ? Parce que c'est une hallucination dont le monde ne se remettra jamais, et tant mieux. Personne n'aurait pu prévoir que Showgirls, censé reproduire le miracle Basic Instinct avec le réalisateur Paul Verhoeven et le scénariste Joe Eszterhas, allait être un tel désastre à sa sortie. En 1995, ce fut un échec commercial, un échec critique, un échec de vie même pour Elizabeth Berkley, qui a été envoyée directement en prison (version hollywoodienne) sans passer par la case succès.

Mais personne n'aurait pu imaginer que Showgirls allait ensuite devenir un pur objet de pop culture, un monument de camp, et un chef-d'œuvre post-moderne qu'Andy Wahrol doit sûrement regarder tous les dimanches soir là où il est. Après la honte, il y a ainsi eu la gloire, qui a résonné jusque dans les séances de rattrapage, les spectacles de drag queens et la réhabilitation quasi totale de tous les gens de bon goût. 

Showgirls mérite tout ça et bien plus encore tant c'est un film kamikaze, unique, absurde et magnifique, où tous les curseurs sont poussés au maximum, et où tout le talent corrosif de Paul Verhoeven prend vie dans la plus belle des pires villes du monde. Un film en toc massif, qui illustre à merveille la bêtise, la laideur, le ridicule et la candeur de l'american dream.

Indiana Jones - La saga

Sortie : 1981-2008 - Durée : 1h55 / 1h58 / 2h07 /2h03

 

Les Aventuriers de l'Arche Perdue : Photo Harrison FordQuand Amazon Prime augmente "discrètement" ses tarifs

 

Ça parle de quoi ? D'un gentil professeur d'archéologie qui aime les fouets, les beaux chapeaux et piller des tombes.

Pourquoi il faut le regarder ? Que dire qui n'a pas déjà été dit sur les quatre trois films Indiana Jones, si ce n'est qu'ils sont encore aujourd'hui le summum de l'hommage pulp et aventureux à la littérature qui a tant nourri Spielberg et Lucas ? Là où le réalisateur des Dents de la mer aurait pu n'offrir qu'une simple série B ultra-efficace, il a conçu des chefs-d'oeuvre du cinéma d'aventure par une mise en scène d'une élégance folle, toujours au service d'une narration fonçant à 200 à l'heure.

On pourrait penser au plan-séquence discret qui présente le personnage de Marion dans Les Aventuriers de l'arche perdue, avec cette caméra captant d'une traite ce jeu à boire dans son bar. Ou au montage parfait de la scène des wagons dans Le Temple maudit. Ou aux dialogues ciselés entre Harrison Ford et Sean Connery dans La Dernière croisade. Bref, c'est toujours aussi culte, et ça ne risque pas de bouger.

Treize Vies 

Durée : 2h27

 

Treize vies : Photo Joel Edgerton, Colin Farrell, Viggo MortensenTrio de légende

 

Ça parle de quoi ? L'incroyable histoire vraie de l'immense effort mondial pour sauver une jeune équipe de football thaïlandaise, qui s'est retrouvée piégée dans la grotte de Tham Luang à cause d'une tempête de pluie. 

Pourquoi il faut le regarder ? Parce que cette ambitieuse reconstitution de Ron Howard sur l’un des plus gros sauvetages de l’histoire semble être un de ses films les plus impressionnants. Le cinéaste a notamment évoqué un challenge pour cette réalisation comparable à Apollo 13 ou BackdraftTreize vies est tiré d’une histoire vraie et cherche à rendre justice à un événement qui a fait collaborer diverses nations pour éviter une tragédie. Un geste de cinéma salvateur en des temps de rupture et de trouble.

Ode à l’entraide et à l’abnégation, le long-métrage réunit un impressionnant casting qui s’est durement entraîné pour incarner les sauveteurs. On retrouve notamment Viggo Mortensen, Colin Farrell, et Joel Edgerton en immersion dans cette captivante mission. Si Treize Vies n’a pas pour but de surprendre (le documentaire sur le sujet ou une fiche Wikipédia nous révèlera aussi bien le dénouement de cette histoire), c’est bien la mise en scène d’une telle opération, des hommes qui la composent et de ses enjeux qui fait fonctionner toute cette histoire et nous procure quelques palpitations à la suivre.

Notre critique de Treize vies

Rambo - La saga

Sortie : de 1982 à 2008 - Durée : 26 ans

 

Rambo : photoIl nous enterrera tous 

 

Ça parle de quoi ? De Sylvester Stallone qui bombe le torse et dégaine son gros couteau dans la peau de John Rambo, un ancien béret vert et héros de la guerre du Vietnam qui est arrêté pour vagabondage de retour au pays et se retrouve traqué par un policier sadique après s'être enfui du commissariat. Une fois qu'il a charcuté plein de policiers, il crie : "C'était pas ma guerre !" puis range son couteau et va en prison. Ensuite, il retourne au Vietnam où il découpe des Soviétiques, avant d'en chasser d'autres en Afghanistan. Il finit par massacrer des méchants en Birmanie avant de revenir aux États-Unis. 

Pourquoi il faut les regarder ? Pour se laver les yeux après le dernier Rambo : Last Blood. La saga a peut-être perdu sa subtilité en cours de route (au point de troquer le couteau, l'arc et les flèches contre une giga sulfateuse montée sur camion), mais les films n'ont jamais été de simples défouloirs et buffet de viande avec un Stallone en héros testostéroné. À l'image du premier Rocky qui était autant, voire plus, un drame social qu'un film de boxe, le premier Rambo de 1982 traite avec empathie et sérieux le traumatisme de la guerre, l'ingratitude du gouvernement américain qui considère ses soldats comme de la main-d'oeuvre jetable et la remise en question d'un conflit injuste et injustifié.

Plus que les exécutions sanglantes, ce sont ces maltraitances sociales qui se retrouvent au coeur du scénario et se reflètent dans la condition de son protagoniste : un homme brisé devenu incassable. Comme le boxeur de Philadelphie, le personnage de Rambo est par ailleurs un monument de la culture populaire, même si la saga ne lui pas forcément toujours hommage sur ses cinq opus, le cinquième étant la parfaite caricature dont elle voulait s'éloigner. 

 

Bientôt disponible

First Love - 19 août 

Durée : 1h36

 

First Love : Photo Sydney Park, Hero Fiennes-TiffinAu cinéma, l'amour est pur si les murs sont blancs

 

Ça parle de quoi ? Jim, un lycéen de terminal vit les hauts et les bas d'une première relation amoureuse avec Ann. Au même moment, les parents de Jim doivent faire face aux retombées de la crise financière de 2008.

Pourquoi il faut le regarder ? Après Sous l’aile des anges et Friday’s ChildFirst Love est le troisième film du cinéaste américain A.J. Edwards qui est, pour la petite anecdote, un proche collaborateur de Terrence Malick pour qui il a été monteur sur trois de ses films (A la Merveille, Knight of Cups et Song to Song). Pour cette troisième réalisation, le cinéaste nous livre un coming of age en apparence classique certes, mais qui aborde le sujet de la crise économique.

En plus de mettre en scène Diane Kruger, dont on apprécie toujours la présence, First Love nous introduit deux petits jeunots, Hero Fiennes-Tiffin (nul autre que le neveu de Ralph Fiennes) et Sydney Park, aperçue dans The Walking Dead et plus récemment dans Killer Game. Même si tout laisse penser que First Love sera une énième comédie romantique pour ados, on se laisse convaincre par ce pitch un peu plus sérieux.

Romulus - 26 août

Durée : 10 épisodes de 60 minutes environ

 

Romulus : photo Silvia CalderoniEn marche vers l'histoire

 

Ça parle de quoi ? Trois destinées, celles de deux hommes et d'une femme, vont participer à la fondation de la ville de Rome (ainsi qu'à sa légende)...

Pourquoi il faut la regarder ? Parce que cette série historique est injustement méconnue alors que son ambition est particulièrement intéressante. Romulus est une création de Matteo Rovere, qui avait réalisé en 2018 Romulus et Remus, déjà passionné par le mythe de la fondation de Rome. Avec cette nouvelle production, il tente de reproduire, façon Vikings, un fragment de l’antique histoire italienne.

La série n’a pas à pâlir de ses visuels ni de sa direction artistique radicale, très au corps de son sujet. Elle a par ailleurs été tournée entièrement en latin archaïque (avec la possibilité de changer la langue pour les spectateurs) afin de rester fidèle à l’époque qu’elle met en scène. Romulus est une découverte à faire et qui vous a sans doute échappé puisqu’elle n’a pas fait beaucoup de chemins en dehors de l’Italie. Si vous êtes passionné d’histoire, de récits antiques et mythiques non édulcorés, Romulus pourrait sans doute vous ravir. 

Fury - 26 août

Sortie : 2014 - Durée : 2h14

 

Fury : photoÀ la guerre comme à la guerre

 

Ça parle de quoi ? Avril 1945. Les Alliés mènent leur ultime offensive en Europe. À bord d’un tank Sherman, le sergent Wardaddy et ses 4 hommes s’engagent dans une mission à très haut risque bien au-delà des lignes ennemies. Face à un adversaire dont le nombre et la puissance de feu les dépassent, Wardaddy et son équipage vont devoir tout tenter pour frapper l’Allemagne nazie en plein cœur…

Pourquoi il faut regarder ? Argumenter en défaveur de la guerre n’a rien de nouveau dans l’histoire du cinéma, mais David Ayer y apporte une saveur particulière. La mise en scène sans ambages du cinéaste souligne avec une âpreté consciente la ligne ténue entre glorification symptomatique et réalité des faits. 

Expérience visuelle, sonore, et surtout viscérale, Fury plonge le spectateur en territoire allemand aux côtés de cinq soldats américains. Le cambouis perpétuellement incrusté à l’épiderme et la lassitude en bandoulière, les personnages mènent davantage le récit que le conflit dépeint par le métrage. Les différents comédiens se jettent ainsi à corps perdu dans leurs rôles respectifs quitte, quelquefois, à grossir des traits déjà obtus, mais la sincérité de leurs interprétations excusera les éventuels clichés. Le jeune Logan Lerman ressortira néanmoins grande révélation du métrage ; l’effroi de son regard continuera de hanter le spectateur longtemps après que le générique soit fini de dérouler.

Le Samaritain - 26 août

Durée : 1h39

 

Samaritan : photoI Believe I Can Fight 

 

Ça parle de quoi ? Sam Cleary a 13 ans et suspecte son mystérieux et solitaire voisin, Mr. Smith, d'être en réalité une légende qui se cache au grand jour. Il y a 25 ans, Le Samaritain, un justicier superpuissant de Granite City, a été déclaré mort après un combat tragique contre son rival, Nemesis (oui, vraiment). Certains habitants ont cependant bon espoir qu’il soit encore en vie. Alors que la ville est au bord du chaos et que les crimes se multiplient, Sam se donne pour mission de persuader son voisin de sortir de sa cachette et de reprendre du service.

Pourquoi il faut le regarder ? À l'image de Tom Cruise, Sylvester Stallone fait partie des stars dont la filmographie est en lien étroit avec la carrière, les hauts, les bas et les crises d'ego. Maintenant que Rambo et Rocky sont derrière lui, tout comme Expendables prochainement, Sly voulait certainement prouver qu'à 76 ans, il peut encore s'imposer comme l'outsider auquel personne ne croyait ou que la plupart pensaient fini. Le synopsis est d'ailleurs bien clair sur ce point : "Tout le monde pensait que le Samaritan était mort".

Après avoir joué des héros mythiques et glissé vers le genre super-héroïque (Les Gardiens de la Galaxie, The Suicide Squad), ce n'était presque qu'une question de temps avant que l'acteur veuille avoir son propre super-héros qui sauve des gens - voire le pays - et en tue d'autres au besoin. C'est juste dommage qu'il fasse ça sans gros couteau ni gants de boxe.

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commentaires
Franken
12/08/2022 à 14:43

@Morcar

Sinon, il y a des sites qui permettent de pallier à la nébulosité de l’interface d’un Prime Video.
Comme Justwatch, par exemple, qui permet de checker au jour le jour les sorties sur toutes les plateformes de streaming.

Euh
11/08/2022 à 14:50

Si vous ne savez pas quoi voir dans le bordel de Prime, voyez, revoyez ou rerevoyez Zero zero zero

Morcar
11/08/2022 à 09:48

Merci pour cet inventaire. C'est tellement compliqué de retrouver quoi que ce soit dans l'interface de Prime que je n'aurais jamais vu tout ça. J'ai noté ce qui m'intéressait pour les visionner prochainement.