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Presque quarante ans après le premier opus, voici S.O.S. Fantômes : l’Héritage. La nostalgie a-t-elle trouvé un bel écrin ?
On pensait la saga SOS Fantômes morte après l’opus de 2016, décrié par une grande partie de la presse et du public. Mais non, le réalisateur Jason Reitman, fils d’Ivan Reitman, créateur du premier Ghostbusters, a repris le flambeau a l’occasion de SOS Fantômes : l’héritage. Entreprise nostalgique, parfois comparée à Stranger Things lors de sa promotion, verse-t-elle dans l’hommage, le sauvetage ou le recyclage ? Simon essaie de nous en dire un peu plus.
Pour plus de détails encore, lisez donc notre critique écrite !
Je suis allé le voir hier avec mes enfants, et je n’ai pas du tout ressenti la même chose. Evidemment, le film fait des références au premier volet, ça reste quand même une suite officielle des deux SOS Fantômes existants, mais ça reste discret. L’ennemi est le même, mais l’intrigue est différente. Et j’ai trouvé le film et les références faites à Ramis très respectueuse du défunt acteur.
J’ai aussi apprécié que le film n’appelle pas nécessairement à une suite, même si on devine que si succès il y a, elle verra le jour. Là, le film fonctionne bien tout seul, même sans avoir vu les deux précédents, et n’appellent pas nécessairement à un autre volet.
En regardant le générique, j’ai été surpris de découvrir soudain le nom d’un membre du cast qu’il ne me semblait pas avoir vu à l’écran, quand soudain HOP ! Le voilà ! 🙂
Reitman n’est pas décédé, bravo. ^^
Étrangement, là où la nostalgie me laisse totalement de marbre (Star Wars, Terminator, stranger things, et j’en passe), ce film a vraiment marché sur moi !
@Iscariah
Absolument, j’ai fait un lapsus débile en pensant à Harold Ramis.
« Fils de feu Ivan Reitman »??? Il n’est pas encore décédé, que je sache…