xXx : Vin Diesel sera de nouveau Xander Cage pour un quatrième épisode

Ah ça, notre Baboulinet préféré ne lâche rien hein. C'est le moins que l'on puisse dire. On lui pique progressivement son Fast & Furious ? Pas grave, il s'en fout. Il lui reste xXx. Alors c'est sûr, c'est moins bien, mais ça marche aussi.

Oui parce que la franchise xXx a quand même réussi à atteindre le milliard de dollars de recettes dans le monde entier depuis son lancement en 2002. Alors ok, Marvel y arrive en un seul film, Fast & Furious aussi, mais franchement, c'est pas mal. Après, c'est sûr, il reste les films et là, tout de suite, ça se complique.

Baboulinet cherche les restes de sa carrière grâce à ses potes informaticiens de l'extrême

Parce que même en mettant le maximum de neurones au repos, la vision de xXx : Reactivated était quand même très douloureuse. Mais voilà, le film a cartonné en Chine et juste après sa sortie, Baboulinet avait déjà annoncé la mise en chantier d'un quatrième épisode. Mauvais présage confirmé aujourd'hui par le Hollywood Reporter qui nous confirme qu'xXx 4 trouvera bien le chemin des plateaux pour un tournage prévu en décembre prochain. D'ailleurs le film sera toujours mis en scène par D.J. Caruso, déjà coupable de Reactivated.

Dom... non, Xander Cage

Ce pourrait être le projet du retour en grâce pour Baboulinet, qui a visiblement décidé de ne rien tourner d'autre que ses franchises, mais ce sera en tout cas un film très personnel puisque sa compagnie, One Race, a racheté les droits de la franchise à Revolution Studios, aidé par The H Collective et d'autres partenaires financiers, histoire d'êtres les seuls maîtres à bord. De quoi oublier les tensions sur le tournage de Fast & Furious 8 avec Dwayne Johnson, lequel lui a visiblement volé la vedette au point d'avoir maintenant droit  son propre spin-off sur Hobbs & Shaw, avec Jason Statham.

Si on n'ira pas jusqu'à tenter de savoir ce que le quatrième xXx va raconter avant qu'on nous en parle, nul doute qu'il sera question de grosses explosions, de McGuffin à la con, de nanas en tenues légères même par -20°C et surtout, surtout, de Baboulinet. Du Baboulinet partout, du Baboulinet tout le temps. Du Baboulinet tout seul dans son bocal, qui tourne en rond, en pensant être le roi du monde. Et quelque part, on a hâte. On ne se refait pas.

Un cinéma clairement inspiré de Truffaut et Tarkovski